Le mouillage à Positano s’avère bien rouleur.

Vendredi 15 juin:

Au matin, je fais route doucement vers Capri. Entre Capri et la punta Campanella, un italien en « Gomone » (Zodiac) me demande assistance. Plus de carburant. Je le traîne jusqu’à la pompe à essence de Capri. Normal ? Pas de merci. Les prochains auront peut être droit à un prix de remorquage façon Capri. Je voulais aller au beau mouillage de « marina piccola ». Du coup, je reste devant le port, dans le roulis des navettes.

Visite de Capri.

Impressionnante via Krupp

LA PHOTO DE CAPRI...

Coucher de soleil depuis la terrasse du funiculaire

 Je regarde le match de foot France Ukraine à la télé depuis un bistrot.

A la nuit tombée, je rejoins Sara. Mais où est passé la clef ? Nouveau tour de la ville au pas de course. Toujours pas de clef…

Retour au bateau. La nuit porte (« chuisa ») conseil. Je tente de dormir sur le pont avec la musique du mariage qui a lieu dans la maison au dessus du mouillage. A minuit, un magnifique feu d’artifice risque d'embraser le bimini et la capote de Sara ! Je me tiens prêt à éteindre l'incendie avec un seau d'eau.

Samedi 16 juin :

Dès l'aube je lève l'ancre pour Torre del Greco.

Départ de Capri à l'aube.

Une perçeuse prêtée sur un ponton me permet de venir à bout de la serrure... Tout va mieux, la porte est ouverte. On me propose à nouveau de me vendre les moules du port pour fêter cela. Cela doit être une spécialité napolitaine. Je décline encore une fois poliment en disant que je n'aime pas les moules.

Torre del greco, le port.

Semaine éprouvante entre les pertes de l'ordi et de la clef du bateau. Je crois que j'ai très largement battu Baudouin en matière de bêtises.

Dimanche 17 juin:

Retour vers Toulon en avion pour moi. Fin du premier chapitre de « la saga ».

A toi Kradok I pour la suite des aventures... et ne me refais pas le coup de la prise d'otage !... Je ne donnerais plus un sou pour te récupérer...