Encore à Lisbonne...
Encore à Lisbonne ! C'est vrai qu'on vous avait habitués à beaucoup mieux, avec des changements de lieux environ tous les 10 jours en saison; de belles navigations et quelques traversées palpitantes... Hélas, trois fois hélas, les avaries cette année ont sonné le glas de nos aventures nautiques.
Nous nous sommes alors consacré à la recherche du nouveau pied-à-terre que nous souhaitions au Portugal, ayant décidé de ne plus rester aux Canaries pour différentes raisons, dont les multiples chicaneries administratives que nous y avons subies...
Bien, nous avons trouvé une maison qui nous convient près de Sesimbra, à 30 mn. env. au sud de Lisbonne, près des plages de la côte atlantique. Entre les recherches immobilières, quelques moments d'évasion; ici une photo de traces de pattes de dinosaure retrouvées non loin de là :
Phare du Cabo Espichel
La réparation de la coque endommagée à Mohammedia s'effectue ces jours-ci, sans trop de hâte; entre le mauvais temps qui continue depuis deux semaines - il y a eu carrément une tornade sur Alcobaça ! - (cf. note du 25.10.2013 avec photo du monastère du XIVème s. construit suite à une histoire d'amour malheureuse; pour ceux que l'Histoire intéresse, lire "La reine crucifiée" de Gilbert Sinoué) et le chantier qui ne semble pas vraiment pressé... Nous espérons qu'ensuite nous pourrons aller naviguer un peu sur le Tage ou le Rio Sado et profiter du mois d'octobre, si le temps le permet. Mi-novembre à mi-décembre nous serons occupés à notre déménagement entre La Palma, Canaries, et Caixas, Sesimbra, ici au Portugal.
Au bord du Rio Sado
La saison de navigation sera déjà finie jusqu'au printemps prochain. Dire qu'en 2013 nous avions parcouru 6'000 miles... Difficile de promettre quoique ce soit, mais on essayera de faire beaucoup mieux l'année prochaine, notamment en retournant aux Açores pour l'été ! L'ambiance de ces magnifiques îles atlantiques nous a manqué et nous nous réjouissons de pouvoir y retourner. Si vous voulez revoir l'album de Sao Jorge ci-contre à gauche, vous comprendrez peut-être notre nostalgie; en les revoyant récemment, j'en avais presque les larmes aux yeux !
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