Mardi 11 février 2014

Le monde se partage en 2 genres : ceux qui se font piquer et les autres. Répulsif, vêtements traités, heures du jour non propices, rien n’y fait. C’est une démangeaison permanente surtout sur le bas des jambes. Un vrai supplice que le cerveau efface des souvenirs très vite. C’est pour cela que j’en parle avant d’avoir oublié.

La fenêtre météo qui s’était ouverte hier vient de se refermer. Prochain créneau vendredi. En attendant on va faire un petit tour dans le Yucatan.

José vient de me donner mon zarpe triomphalement à 14h. Ca a mis 4 jours et non 3 comme je le pensais. La dernière fois, j’avais gueulé, je n’avais pas donné de propina et j’avais été obligé d’aller sur le continent pour avoir mon permis de naviguer mais ça n'avait pris que 2 jours. Ce coup-ci, j’ai donné de la propina à chaque officiel, j’ai toujours souri et ça a pris 4 jours.  Aucune conclusion hâtive, aucune préconisation sauf peut-être d'éviter le Mexique à la voile.

José, l'homme clé de la marina Paraiso

J’ai demandé autour de moi si l’entrée en Corée du Nord était plus facile. J’attends la réponse. Robin et Jacky, citoyens britanniques en croisière depuis 8 ans dans 44 pays différents et peut-être futurs acquéreurs d’un Allures d’occasion, n’ont jamais rien vu de comparable à une entrée au Mexique.

échoppe à Isla Mujeres, les voitures de golf étant le moyen de déplacement favori des touristes américains souvent très imbibés.