équipement de tri martolod

équipement de tri martolod

Posté par : Joel
26 Décembre 2010 à 20h
Dernière mise à jour 20 Novembre 2014 à 08h
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Notre Allures 44, tri martolod (joel)

 

En quoi est-il différent du standard ?

 

Pour l’extérieur :

- nous avons cherché à minimiser les interventions sur la plage avant : d’où solent et trinquette à enrouleur, par contre genacker sur emmagasineur. Nous avons fait l’impasse sur le tourmentin. La trinquette en fera fonction grâce à son enrouleur. Nous nous voyions pas de toute façon envoyer un tourmentin sur la plage avant par gros temps. (rappel toutes les prises de ris sont intégralement renvoyés sur le piano par un système de poulies)

- gréement et tangon de spi pour le solent et le genacker mais pas de spi pour l’instant. Peut-être achat d’un spi assez lourd symétrique d’occasion pour les alizées en 2012. à voir.

- échelon pour monter dans le mat jusqu’à la bôme et pour se caler en haut du mat

- ligne de vie : en cours de définition avec le chantier, elle sera centrée sur le bateau pour retenir le marin à l’intérieur du bateau et éviter de passer par dessus la filière.

- bimini avec prolongation latérales pour se protéger du soleil, même en fin d’après midi, le soleil est difficilement supportable sous les tropiques : en cours de définition avec le chantier. Cela permettra de créer une espèce de tente au niveau du cockpit et donc un espace de vie protégé non seulement du soleil mais aussi de la pluie.

- un winch de roof électrique pour la drisse de GV en particulier, comme ça pas d’hésitation pour prendre un ris ou le lâcher.

- 2 winch de cockpit supplémentaires et surdimensionnés

- rail de fargue ajouré : pratique pour mettre un filet ou monter un barber hauler, facilité l’évacuation de l’eau.

- roue steer’ngo, c’est à dire démontable, pour faciliter l’accès à la plage arrière mais aussi la ranger dans la carré lors des hivernage ou stations en marina pour compliquer le vol du bateau.

- radar traceur sur la colonne de barre sans répétiteur à l’intérieur.

- table fixe dans le cockpit

- éolienne et 2 panneaux solaires sur le portique arrière.

- mains courantes dans la jupe arrière

- propulseur d’étrave

- pas de commande à distance du guindeau : l’idée c’est qu’il faut être à l’avant du bateau pour contrôler le mouillage

- par contre commande à distance du pilote. Cela permet de diriger le bateau en restant à l’abri ou de l’arrêter en cas de chute à la mer (la nuit en particulier)

- couleur lazybag, bimini, capote et chute voiles d’avant : rouge

- douche de pont eau chaude et froide pour minimiser l’utilisation des douches dans les cabinets de toilette : ça fout de l’eau partout, on marche avec des chaussures sales et on dégueulasse tout l’intérieur du bateau (un peu maniaque mais pas trop, juste traquer les salissures à la source, c’est plus facile de nettoyer l’extérieur que l’intérieur)

- prise 12v sur colonne de barre pour un éclairage volant sous le bimini

- à acheter : une troisième ancre avec de la chaine, une sangle d’amarrage de 50 ou 100m pour amarrage arrière, balise de détresse

 

Pour l’intérieur :

- banc de veille dans la descente

- configuration classique 3 cabines

- 3 couchettes de mer

- 5 batteries et isolateur galvanique

- un ordinateur avec logiciel de navigation (encore à choisir et acheter) et transmission de la centrale de navigation

- GPS portable traceur

- une protection anti-vol et anti-intrusion

- 2 cuves eaux noires de 50l dans les 2 salles de bain

- un navtext

- un amplificateur de signal pour téléphone et Internet 3G

- un désalinisateur pur survivor

- pompe à pied eau douce

- un aspirateur dyson

- à acheter : iridium ou équivalent en 2012, compresseur à air pour annexe à fond gonflable, 3 VHF portables étanches

 

J’ai du oublier une chose ou deux, mais c’est à peu près ça.

 

Options non prises :

- AIS (remplacé par radar et veille)

- balcons pied de mat (toutes les manœuvres, même les prises de ris sont ramenées au cockpit)

- BLU (remplacé par Iridium et amplificateur GSM)

 

joel

 

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