Découverte des tangonnets et tangons Amel

Découverte des tangonnets et tangons Amel

Posté par : Guylaine et Max
22 Juillet 2015 à 10h
Dernière mise à jour 08 Janvier 2020 à 05h
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Quelques jours en Juillet.

Avant le montage des tangons, notre plus jeune équipière décide de nettoyer l'annexe.

Pendant ce temps, les autres équipiers vaquent à divers autres tâches :

Après ces préliminaires, passons aux choses sérieuses :

Tangonnets et tangons Amel, une curiosité qui nous tenait depuis un petit moment, enfin satisfaite !

Très bien pour le vent arrière (+ ou - 20° du vent arrière quand le Ballooner est tangonné en ciseau avec le Génois).

Encore fallait-il en essayer le montage : c'est fait ! Voici ce que ça donne :

Le tangon doit être dans l'alignement du tangonnet, sauf si le roulis risque de faire enfourner le tangon. Dans ce cas on peut le relever d'un mètre ; si besoin de plus, cela devient risqué et on l'enlève !

Le manuel du propriétaire du Super Maramu, très didactique, nous a servi de guide, car il n'existe pas de manuel pour le Santorin : dommage, mais le Super Maramu étant identique (2 m de plus cependant) nous nous en tirons très bien.

Plusieurs amis étant à bord, tout le monde apprend et participe à la manoeuvre.


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​Un bon bon apéritif avec huitres, moules et pieds de berniques crus et au citron (une merveille !) récompense l'équipage.

Quelqu'un découvre que c'est son anniversaire. Il est tout ému !

La sortie vers Groix et retour en Villaine nous a également permis de tester le Code D : c'est une voile magique sur enmagasineur ! Plus de 7 nds avec à peine 10 noeuds de vent pour le meilleur angle de vent.

En premier, essais sur babord :

Des plis !

Puis essai sur tribord :

Le passage par Port Haliguen pour prendre puis déposer une partie de l'équipage nous a permis également de faire la connaissance du Super Maramu "Badinguet" de retour sous grand pavois et corne de brume d'un périple autour du monde de 7 ans (nous en suivions déjà le Blog sur Internet depuis plusieurs mois : très intéressant). A notre demande, son skipper nous montre aimablement sa baille à mouillage, séparée en deux par une petite planchette pas très haute, posée dans le sens longitudinal sous l'entrée de la chaîne. Cela permet à celle ci de s'y poser alternativement à tribord et à babord et évite ainsi tout surpatage. Sur le Santorin un équipier doit répartir à la main la chaîne à chaque remontée depuis la cabine avant, sous peine de ne pas pouvoir la descendre au coup suivant. Nous ferons cette modification simple qui permet de libérer un équipier.

Ces essais de voilures nous ont mis en confiance, comme tout ce que nous découvrons encore sur ce magnifique voilier ! Application lors de notre traversée vers l'Espagne. Photos à suivre dans le prochain billet.

Emplacement

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