NIOUSE2
Papy Tao niouses chapitre 2
La chaleur encore et toujours.
Sortie en ville.
Quetzal ? Kesako ?
Hola,
5ème jour au Guatemala. On tente de s'habituer à la chaleur , nez en moins (néant -) les autochtones trouvent eux aussi qu'il fait particulièrement chaud. Un vendeur dans un magasin nous a demandé si on arrivait à supporter cette température ! Pour lui on est comme des Esquimau au Sahara !!
Nous allons au pueblo avec l'annexe -semi rigide avec moteur de 15cv- car c'est sur l'autre rive (rive gauche, au nord). Cette bourgade s'étend surtout le long de la route qui remonte vers Flores. Il y a beaucoup de camions qui passent et se mélangent avec les tuc-tuc, les deux roues, les piétons et les voitures. Bien sûr il n'y a pas de trottoir et la rue n'est pas bien large. De plus toutes les échopes sont au bord de la route. Nous déjeunons sur un coin de la seule table d'un mini « restaurant » en plein air au bord de cette route : riz, haricots, chili (sauce pimentée composée de petits bouts de radis, d'oignons, piments doux verts et rouges) et un choix de poulet ou de porc frit. Hier on a mangé le poisson qu'on avait demandé la veille. On voit passer des camions de toutes sortes : certains à deux étages, remplis de vaches (comme les bus Londoniens) qui montent vers le nord, puis d'autres camions similaires qui descendent vers le sud (?)
La monnaie ? Le Quetzal ; qui vaut 12 centimes d'€uros. Un pain : 1 Quetzal (ils sont petits). Le repas mentionné précédemment : 15 Quetzal, compris un grand verre de jus dilué d'ananas ou de papaye (1€80 pour les fâchés du calcul mental).
A bientôt pour ceux qui le veulent bien.
Papy Tao niouses, chapitre 3
Les Shadocks pompaient autrefois,il me semble …
Je peux vous proposer les Stroumpfs aussi, si vous voulez …
Une journée bien remplie.
Hola chers lecteurs francophones. On peut faire une version en Espagnol et une en Anglais sur demande (enfin si on trouve le temps)
La préparation du bateau continue. Notre histoire de glouglou nous a incité à essayer la pompe de cale manuelle -celle qui est à portée de main du barreur- et là pas glouglou ! Elle ne marche pas. Démontage, nettoyage, remontage : elle ne marche toujours pas. Re-démontage puis essai sans résultat. Achat d'un kit de pièces heureusement trouvé au magasin de la marina. Remontage : encore un échec ! Au final elle marche maintenant cette foutue pompe récalcitrante. Enfin on peut faire comme les Shadocks ! (enfin si besoin)
Erson, un Salvadorien d'origine, vient pour la sellerie. Il répare les banquettes du carré et le bimini (au dessus du cookpit) et en réalise un autre de rechange, à ramener.
Carlo fabrique un hardtop en polyester sur lequel viendrons se fixer les quatre panneaux solaires.
Ce travail a été commandé et payé par Jérôme il y a 10 mois mais n'est pas fini. Il faut lui payer à nouveau des fournitures car il ne les a plus.
Point de vue chaleur, ça ne baisse absolument pas et on annonce encore pire. La pluie est attendue pour bientôt. Peut être fera-t-il moins chaud. Les Rio Dulcéen nous ont dit qu'il faisait ordinairement moins chaud.
Jacques, du Sancerre La Gageure (voir des épisodes précédents de voyage, de Séville, de Madère, des Canaries, de Pointe à Pitre, de République Dominicaine, de Haïti, de Cuba) est revenu à son bord et on a eu le plaisir de le voir hier 28 avril.
Aujourd'hui 29 avril on s'est déguisé en Stroumpf : peinture antisalissure de coque, devinez de quelle couleur ? Gagné, c'est du bleu !
Le travail dans le bateau pour installer du nouveau matériel de navigation est pénible à cause de la chaleur : on transpire tellement qu'il faut se méfier du goutte à goutte sur les appareils.
Les journées sont bien remplies. C'est lever à 6h avec le soleil, travail le matin jusqu'à midi puis tour en ville où on mange et fait des courses, comprenant recherche de pièces pour Papy Tao. L'après midi de travail se termine vers 18h puis douche, repas du soir à bord, un peu d'ordinateur et au lit bien fatigué. Pas de problème pour s'endormir.
S'endormir ? Alors bonne nuit
A demain !
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