J'en ai monté un l'année dernière sur mon canote. C'est très facile à monter à condition de prendre aussi un "splitter" qui
permet d'utiliser l'antenne VHF déjà installée. Le splitter est un mot intraduisible. Il a pour fonction d'isoler le
récepteur de l'AIS à l'émission en VHF. A défaut de splitter il faut une autre antenne VHF sinon le récepteur de l'AIS est
détruit par la sauce à l'émission.
Le boitier AIS a aussi besoin de recevoir la position du GPS via son entrée NMEA183. C'est très pratique et complète le RADAR.
Il donne l'identité du bateau (de plus de 20m), son cap , sa vitesse et sa position. La route de collision est très facile à
voir.
Son seul inconvénient est d'être en "North-up" et sans possibilité d'être en "Heads-up"
Pour ceux qui traversent la manche ou toutes zones de gros trafic maritime, c'est un super outil.
le "splitter" se traduit assez simplement par le terme "séparateur", généralement admis aussi bien pour du filtrage en fréquence
(dans le cas de l'AIS, on "sépare" le canal AIS des autres canaux VHF) que pour la séparation voix-données ("voice-data
splitter").
L'obligation d'emport de l'AIS n'est pas liée à une longueur, mais à une jauge (300 ou 500 UMS selon que le voyage est ou non
international) ou au transport de passagers; en particulier la plupart des navires de pêche ne l'utilisent pas.
ci dessous, pour l'information de ceux que celà intéresse, un lien donnant accès à des informations sur l'AIS et le contenu des
messages (annexe 3 du document).
a installer facile
a lire avec un ecran propre pas trop bien
a lire avec max sea bien
a lire sur le adar et max sea tres bien
plutot que separateur je prefere duplexeur
captainjpp
Le terme splitter est très galvaudé ; c'est un vrai caméléon "séparateur" . On trouve plus de 19 millions d'occurences sur
le net.
Pour le splitter dédié à l'AIS, comme d'habitude, le site de Christian Couderc est super bien fait et renseigne parfaitement
tout ce qui concerne l'électronique de bord (et bien d'autres choses). Ce site est une mine à idées et une excellente
référence pour moi. J'en profite pour tirer mon chapeau à cette personne pour son travail et à ses talents de pédagogue.
Bref, tout le monde a raison, mais l'essentiel n'est-il pas d'acheter du matériel qui rend les services attendus en
exploiitant au mieux le contexte existant ?
Je ne ferai pas de pub, mais en mettant sur google les mots clés "splitter vhf", on trouve tout plein de fabricants et de
revendeurs.
au prix du duplexeur/séparateur VHF, il peut être raisonnable d'installer une antenne spécifique à l'AIS (par exemple dans le
balcon), en prévoyant de l'utiliser comme antenne VHF de secours, au cas où.
tout depend si on a le temps de tirer des fils supplementaires
de toute facon jfp tout bon marin a forcement l antenne de secour dans sa boite avec son cable
qui vaut pas cher
par securite
pour faire des essais qunad on a un probleme
et bien sur la preter si un copin a des problemes
cela ce voie jfp que vous avez plus souvant demande a ce que on vous rachoute une antenne
que de le faire vous meme
l idee en plaissance c est quand meme la simplification au max
et la ave l antenne de secour et le duplexeur que de temps gagne et en augmenant la securite
personnellement je suis en train de gagner un fil
et il est plus simple et efficace pour la sécurité d'avoir une antenne supplémentaire dejà à poste, plutôt qu'un composant
supplémentaire sur la descente d'antenne VHF, qui apporte toujours une atténuation et peut claquer.
bien sur on vas mettre tout les cable en double dans un bateau
si vous vous saviez jfp le nombre de km de fil que je commence par enlever sur un bateau que je prends pour une mise au point
un fil d antenne bien placer qui fait fonctionner la radio va vivre quelques dizaines d annees
autre chose
l utilisation de la vhf aujourd hui dans la plaissance a beaucouq dimninue au moins en med
alprs profitons de cet evenement pour utiliser le fil de cette antenne pour l ais
qui lui va fonctionner de plus en plus
captainjpp
pas d'accord, pour les raisons dejà exposées (sécurité, simplicité, prix).
bonnes navigations
JF Perrouty
lors d'importantes modifications à bord d'un bateau à bord duquel je m'occupais de télécommunications, on a débarqué 150
tonnes de câblages inutiles; il faisait plus de 40m
c est pour cela jfp vos idees ne sont pas toujours tres bonne dans la plaisance
un parce que vous navez pas sorti vos petit sous pour vos modifs
deux vous aviez des sous fivre pour faire le travail
les projets dans la plaisance sont tenu tout d abord par la caisse de bord
le plaisancier n aime pas beaucouq depenser
passer un cable en doube pour la vhf coute pas mal mon amis
de toute facon il vous faut l antenne de secour si on demate
en general on a tous une vhf portable
sinon pourquoi pas passer ausi le cable du radar en bouble et bien sur les feux en double
jfp heuresement que l on fait pas appel a vos competence pour armer un bateau de plaisance
ou pire pour faire les lois pour le materiel a bord de securite
deja que tres peu de bateaux naviquent
captainjpp
j'ai l'impression qu'on melange beaucoup de choses.
Je vois ce que veut dire jpp, je suis un peu d'accord avec lui...
Si qq'en soit la raison, le duplexeur venait a ne plus fonctionner correctement, il y a la possibilité de le shunter et brancher
l'antenne en direct sur la radio.
Si l'on considere maintenant l'intéret d'une deuxieme antenne VHF fixe:
1: il ne peut s'agir que d'un fouet à l'arriere, deux antennes en "tete de mat" s'interfereraient mutuellement.
2: Le fouet a l'arriere devra etre de grande taille pour etre efficace, ceci à cause de la propagation "directe" de ce type d'ondes.
Il me semble que les standards pour une antenne VHF non racourcie mesurent 5 ou 6m de long.
3: La justification d'une deuxieme antenne par le demâtage est a mon sens un argument discutable.
La situation de detresse necessitant l'appel vers la terre concerne selon moi uniquement deux cas précis. Le premier,blessures
corporelles graves consécutives au demâtage; le second, impossibilité de rejoindre un port par ses propres moyens, c'est à dire
une reserve carburant qui serait insuffisante.
Il va de soi que le deuxieme cas implique necessairement une position du bateau hors zone A1 ou trop eloignée de la cote pour
la rejoindre au moteur...donc VHF inutile surtout si la zone est peu frequentée.
Pour la plaisance, à mon avis, les solutions les plus adaptées dans ces cas tres particuliers, sont la RLS ou l' inmarsat c.
persiste et signe, aux intéressés de choisir: mieux valent deux installations simples, sur un bateau de moins de 15m, qu'un
duplexeur qui implique une intervention peu souhaitable sur une descente d'antenne.
d'autant plus qu'une antenne AIS relativement basse (sur balcon ou portique), voire intérieure sur un bateau en verre-résine,
offre une portée bien suffisante pour obtenir une situation des navires émettant AIS intéressant le voilier.
Pour la proximité, il faut vraiment deux antennes très proches pour que les interférences soient dangereuses, d'autant que l'AIS
rejette sans doute très bien ce qui n'est pas son canal. Voir le montage standard des antennes ASN pour les bateaux ayant des
VHF ASN de classe A (antenne canal 70 indépendante): les deux antennes sont rarement à plus de 2m l'une de l'autre; donc
effectivement pas deux antennes en tête de mât, mais possibilité d'en mettre deux de part et d'autre d'un portique ou sur deux
barres de flèche.
La détresse est autre chose: d'accord pour la nécessité d'une RLS (radiobalise de localisation des sinistres, souvent dite balise
Sarsat-Cospas) ou un standard C équipé. Pour la VHF, une seule utilité en cas de détresse, pouvoir communiquer avec les
sauveteurs sur zone (si la VHF ASN ne fonctionne pas pour des raisons de démâtage ou d'énergie); ce qui conduit au choix que
j'ai fait, une VHF fixe ASN, une balise et une VHF portable étanche (plus polyvalente qu'une antenne de secours, et sans
câblage supplémentaire
Voir à l'année 2004 le rapport sur le Saint Léon, au lien ci dessous; le rapport sur l'autre accident n'est pas encore publié.
Effectivement je me souviens de l'histoire de l'étang de thau. Dans ce domaine vous etes reconnu comme spécialiste, on ne peut
que s'incliner devant vos analyses.
Un accident n'est jamais autre chose qu'un concours de circonstances. Il convient alors de le combattre par une vigilance
permanente, un soin et une attention particuliers par rapport matériel qu'on utilise.
Une chose est sûre: En terme de communication maritime je trouve que le SMDSM est un exemple à suivre pour la
plaisance.Malheureusement elle en a été écartée, est ce volontaire ou non, je l'ignore. Je ne peux pas m'empecher de faire le
parallele avec le traitement des problemes medicaux... (et PAF les pieds dans le plat, ahahha)
Je viens d'installer le récepteur AIS à mon bord: coût 1 euro. Un simple fil soudé au bon endroit dans ma VHF, canal 88
avant les filtres. Unefiche jack 3.5mm dans la carte son. Un logiciel que j'ai payé 25 euros et ça marhe au poil.
Dans qq jours je mettrai des photos sur sextan.com rubrique AMUITZ.
JFP les balises ne sont pas exactement le sujet
le sujet c est l ais
j ai rien contre que vous parliez de tout et rien
je crois que cela ne fait qu approter confissions a celui qui nous lis
je sais bien vos bateaux etaient tres gros
ici on ne parle pas des meme
salutations
captainjpp
approter confissions, sans doute, c'est vôtre langue et personne d'autre ne la parle , mais j'ai parlé rls non pas par plaisir
de sortir du sujet , mais pour répondre à l'ami Bravo.
pour les gros bateaux...c'est pour répondre à vos observations incessantes sur les bateaux de 40m auxquels vous faites sans
arrêt allusion et qui n'ont pas grand chose à voir avec les voiliers de la plupart d'entre nous sur ce site .
c est pour cela jfp que sur un bateau de 12 m par exemple vous depensez des sous pour mettre en place un second fil d
entenne
j ai quand meme l impression que je suis plus proche des solutions pour les voiliers jusqua 15 m que vous mon amis
de toute facon je ne parle que de ce que j ai utoilise par exemple l ais ici
autre chose jfp
je refait actuellemnt un 40 m exactement comme si je preparai un 15 m
pourquoi
pour gagner du temps et me passer des service de toute une faune de tout un panier de crabe
en quelle sorte plein d intermediaire qui n ont qu un but que de vous dire que ce que vous faite est pas bon
personnellemnt je monte j utilise et j en tire des conclusion
ce qui n est pas tout a fait votre cas jfp
vous n essayer pas assez bien sur vous ne monter pas et quand meme vous en tirez des conclusions
captainjpp
Re-bonjour,
C'est moi qui ai initié la question.
Merci bcp pour les réponses, je ne pensais pas initier de tels débordements.
Que chacun organise son bahut comme il pense; la voile est encore un domaine qui offre certains latitudes !
Euh... je pense que le détonateur de cette longue longue discussion a été le mot "Splitter" qui par voie de conséquence
suggère la discussion autours d'un antenne supplémentaire ou pas avec (ou pas) son cablage associé.
J'ai deux principes :
1°- l'électronique, ça marche ou ça fume et passé les maladies de jeunesse, ça tient longtemps sauf foudre, inversion de
polarité ou contact avec l'eau.
2°- plus il y a de pièces, plus il y a de pannes.
Bien sûr qu'il vaut mieux avoir une antenne VHF supplémentaire pour le cas où ; mais encore faut-il avoir de la place pour
la mettre quelquepart sans qu'elle gêne. Donc, chacun dans son canote fait comme il peut avec ses habitudes et son
programme. Pour ma part, dans le contexte du bord, j'ai fait le choix du "splitter". S'il grille, j'ai la possibilité de le
strapper et de m'en
passer en choisissant VHF ou AIS. Il est facile d'accès dans le tableau électrique.
Toujours est-il que ce splitter m'a évité d'avoir à repasser un cable supplémentaire dans une gaine qui, selon la loi de
l'emm.... maximum, est toujours inaccessible ou pleine comme un oeuf. Ce fut la raison principale de cet achat.
En tous cas,l'AIS est très utile mais comme cela a été dit, il ne faut pas oublier que bon nombre de bateaux (autres
plaisanciers ou pécheurs etc..) sont invisibles par l'AIS et que rien de remplace la veille.
Ceci dit j'ai bien aimé l'intervention de Amuitz sur son " bricolage" qui n'en n'est plus un au niveau des compétences
requises pour gérer la capture du bon signal au bon endroit dans sa VHF.
tout a fait logique alain
surtout que chez compass une antenne de secour dans ca boite coute je crois 32 euros
j ai envie de dire ou plutot d ecrire les conseilles sont rarement les payeurs
une remarque je prend lus de 1000 euros pour passer un cable dans un mat cela repressente
monter au mat
installer un passe coque
demonter les vaigrages
m abimer les mains bien sur
alors entre 32 euros et 100O euros qui hesite
une autre fois il y en qui cause et d autre qui font et bien sur qui gaantisse
salutation
captainjpp
jpp, il ne s'agit pas de 1000 euros contre 36, mais du prix et du poids de 5m de coax et d'une antenne (50 euros), pose à
charge de l'intéressé pour tirer le coax de sa table à cartes au balcon arrière (2h de travail à la portée de chaque propriétaire),
contre la même dépense pour un duplexeur, aves en prime le risque de bousiller sa descente d'antenne en montant le
duplexeur, et d'avoir à démâter pour réparer.
Ceci posé je comprends mal comment jpp fait pour naviguer 360 jours par an et en même temps passer des câbles dans les
mâts, installer des groupes électrogènes , de l'électronique...que sais-je encore
et bien jfp je reste dans mon idee parle de domaine qu il ne cannais pas biens
passer en deux heures un cable d antenne
si t en soit peu chaque proprietaire possede deja le materiel pour effectue cette operation
autre chose la situation d une antenne de vhf sur le balcon ar pas genial
manque de pratique jfp
comment tu fais sur l inox deu balcon ar ton cable est a l exterieur
a non tufais passer ton cable a l interieur du balcon et le tout en deux heures
pas tres pro
apres tu trou le pont
le duplexeur 185 euros je coupe le cable deux prises qui vont bien et chrono en main
trois minute apres ca marche
captainjpp
je ne parle que de choses que j'ai déjà faites (et je ne suis par très doué manuellement) sur un bateau de plaisance, pas pour
l'AIS, mais en passant du câble quand même. Alors chacun fait son choix, après avoir eu deux avis.
Je ne crois pas indispensable d'installer l'antenne AIS en tete de Mat les antennes de cargo sont déja hautes et 15 miles de
portée cela semble bien suffisant, c'est toujours mieux qu'un petit radar.
pas tres fort manuellement et pas tres fort en reglemntation maritime
en ais c est un peu plus normal c est nouveau
comme tout ce qui est nouveau il faut depenser quelques sous pour l essayer
mais bon c est toujour la meme histoire certain sont plus rapide que d autre
je resume
max sea et l ais va remplacer le radar je dirai a 90 pour cent
apres a vous de voir si pour 10 pour cent vous voulez depenser 5000 euros
inconvenient j ai commence avec max sea
je suis oblige de continuer avec furuno l un lis l autre
je ne l ai bien sur pas fait par hazard
furuno etand de tres bonne qualite pour les radars
et l environement max sea ais
vous voye jfp certain regarde sur quel balcon ils vont placer une seconde antenne
d autre travail cetain materiel plusieurs annees pour converger vers un point
salutations
captainjpp
J'ai fait installer un AIS récepteur Maxdis/Nasa sur mon voilier, un Oceanis 411 Celebration, par AD Canet car je suis nul en
matière de montage/cablage, etc. Une antenne spécifique a été montée sur l'arceau arrière. L'AIS est interfacé à ma centrale de
navigation MaxSea 12.6.
Les résultats sont brillants : excellente information des bateaux équipés d'un émetteur (à compter du 1.7.07 tous ceux de plus
de 300 tonneaux, ce qui représente en général la quasi-totalité des bateaux que l'on peut rencontrer en haute mer) avec
indication d'une possible route de collision plus bien entendu tous les détails du navire.
La réception du signal est très bonne : entre 20 et 40 milles nautiques suivant la position à laquelle se trouve l'antenne de
l'émetteur - plus elle est haute, meilleur est le signal de réception. C'est amplement suffisant.
A contrario de ce qui se passe en France, les sémaphores espagnols et italiens sont déjà équipés d'un émetteur AIS.
Sur un plan technique il est précisé dans les documents que l'antenne VHF dédiée à la réception des signaux AIS doit être placée
à plus d'un metre de toute autre antenne. Il est vrai qu'un "duplexeur" peut être utilisé, mais ce dernier ne permet pas
l'utilisation simultanée de la VHF et de l'AIS. Cette antenne peut servir d'antenne de secours pour la VHF dans le cas d'une
défaillance de l'antenne principale.
Rentrant d'une croisière de 2 mois en Méditerranée je trouve cet investissement (qui en tout m'est revenu néanmoins à un prix
élévé -de l'ordre de 1000 euros- , en raison du coût de son installation et du prix du module AIS chez MaxSea) extremement
attrayant du fait de la sécurité complémentaire qu'il apporte ; l'interfacage sur MaxSea est remarquable. J'ai contacté à
plsuieurs reprises des cargos dans des conditions de mer dures pour leur signaler ma présence (très souvent il ne m'avait pas
vu) ce qui leur a permis de modifier légèrement leur route en plus d'assurer une veille encore plus active (une coque bleue dans
une mer forte n'est pas toujours facile à détecter depuis le pont d'un navire).
C'est indéniablement un produit à recommander. Lorsque le prix des AIS émetteurs sera plus raisonable, j'envisage d'en
installer un.
Seul problème : le récepteur AIS Maxdis est livré avec des port séries, alors que mon portable n'a que des ports USB. IL m'a
fallu mettre des adaptateurs Port Séries/USB dont le paramétrage n'est en aucun cas aisé.
deux remarques: pourquoi une coque bleue? peu visible effectivement et un four en pays chaud.l'ais marche aussi très bien
avec le logiciel de M.Lombard, qui est le moins cher du marché pour les fonctionnalitès qu'il apporte, et de plus se superpose sur
la cartographie. il parait que ça marche aussi avec Cmap sans probleme...
olivier
JP, pas d'accord avec toi quand tu dis que l'AIS et MAXSEA vont remplacer le radar. Va naviguer et tu comprendra l'utilité
du radar. En Mer Rouge, j'ai vérifié mon système Raymarine, avec le logiciel, avec ARPA, AIS, et j'ai comparé avec un copain
qui a MAXSEA. je passe dans des endroits ou lui n'ose pas passer, et lui a essayer de passer là ou MAXSEA lui indique de
passer, résultats récif corallien abimé...
Rien ne vaut la pratique, l'observation de la mer, et surtout la discussion avec les locaux.
Un radar t'indiquera un récif, mais certainement pas ton AIS. (AIS qui n'est que pour l'indication de bateau d'un certain
tonnage, et qui ne sera jamais fiable a plus de 80%.
exemple dans le détroit de Tiran, des bateaux sont indiqués au mouillage alors qu'ils font route et vice versa...
La présence du séparateur dans la VHF me paraît quasi certaine puique la même antenne fait l'émission et la réception en VHF.
A mon avis, le séparateur à pour fonction principale d'isoler la partie réception sensible à quelques µVolts de la puissance
d'émission (de l'ordre du KV) afin de ne pas griller ses étages d'entrée du récepteur. Si je pense juste, alors il est présent.
Le principe d'un seul et même appareil qui fait les deux fonctions, c'est assez séduisant car on gagne une place dans une
zone toujours encombrée.
Mais beaucoup de VHF modernes ont une pile au lithium pour conserver en mémoire les fréquences des canaux VHF. Gare à la
panne sournoise d'une pile mémoire usée. ça m'est arrivé et ce n'est pas au détour d'une vague en pleine mer qu'on trouve
une pile aussi confidentielle que chère.
Amicalement à tous
Alain
ERIC ,
je ne dis pas remplacer
je dis que si on est juste en budjet et que l achat du radar pour un bateau est limite
l associatif mas sea et ais va presque compenser le radar
bien sur si vous avez le budget du radar il faut acheter
je dis aussi a un bateau qui s equipe aujourdhui de commencer par le programe de nav et l ais
de l utiliser et apres de decider si on veut le radar couple ou non
j vois quelques bateaux aujourd huiun petit peu decu d avoir achete un radar non compatible
et de decouvriir apres coup le programe de nav et l ais
ils sont decu de ne pas pouvoir les coupler
c est vrai que cette interference n est pas evidente a comprendre
on vois ici sur ce forum que des personnes penvent etre tres qualifie en maniment de l electronique
mais n ont pas cette vision du probleme
captainjpp
Je me pose la question très iconoclaste, semble t-il au vu de l?émerveillement collectif pour la coûteuse bête, de l?utilité réelle de
l?AIS.
Ce qui m?intéresse c?est de voir et d?être vu.
VOIR : J?ai mon radar (et mes yeux, merci !) et ses diverses fonctions. Je peux savoir où est l?ennemi (entendez le cargo ou le
chalutier abordeur), vers où il va, sa vitesse, de nuit, dans la brume, etc? Et en plus je peux même être réveillé si je dors. Merci
le watchman. Pas besoin d'AIS donc, si j'ai un radar.
ETRE VU : C?est là que çà se corse car le réflecteur radar de grand papa est inefficace, l?Activ?écho serait en voie d?interdiction
et l?AIS c?est certes très bien mais je ne suis pas certain (et même certain du contraire) que le petit pêcheur ou le petit caboteur
soit équipé AIS. Et je crains plus le petit pêcheur de 15 à 30 m que le gros cargo ou le gros pêcheur qui ont théoriquement plus
de moyens pour assurer une veille efficace. Le pêcheur ou caboteur a toujours un radar, pas toujours surveillé ou en service,
d?accord mais au moins il en a un et le regarde (parfois). Et s?il le regarde il verra tout de suite un gros écho si je suis équipé
Activ?echo. Et un gros écho, çà le concerne (le petit écho, il s?en fout, « Z?onkaspousser, j?travaille, moi ! » et en plus il ne voit
guère les petits bateaux). Et en plus, mon petit voilier ne renverra pratiquement pas d?écho. Crac, glouglou !
Pour ma part je ne m?équiperai pas d?AIS mais me suis équipé d?un activ?écho.
Par ailleurs, il est vrai qu?il y a des restrictions à la vente de cet appareil en France alors même qu?il est recommandé aux
plaisanciers chez nos voisins européens. Sans commentaires sur cette différence. Mais je voudrais bien connaître cette
directive, savoir de qui elle émane et surtout si elle a force de loi car, que je sache, une administration ne peut décider de ce qui
est autorisé ou pas. Si c?est le cas, çà veut dire qu?à plus ou moins courte échéance, il ne sera même plus possible d?avoir le
matériel anglais. Les gabelous et autres Aff Mar. y veilleront.
Quant à l?argument d?une éventuelle difficulté à surveiller le rail d?Ouessant qui serait encombré de faux cargo vrais voiliers, je
rigole en pensant aux contrôleurs du ciel à Charles de Gaulle, par exemple. C?est autre chose comme encombrement ! Et a
priori, çà ne crashe pas tous les jours malgré des vitesses légèrement différentes de celles de nos jolis bateaux (même pour mon
cata préféré !).
Pour me résumer, pas d'AIS mais un Activ'écho. L'AIS me paraît typique du gadget pour la plaisance.
Mais je ne prétends pas détenir la vérité, si tant est qu'elle existe...
Bon vent à tous
A+
L'AIS est obligatoire pour les navires de jauges brutes > 300. C'est vrai, de ce point de vue la plaisance n'est pas concernée.
En tant que voiler, entendant la voile comme propulsion principale, vous n'êtes pas tenu de posséder un permis côtier pour
naviguer.
Permettez-moi de souligner une remarque de votre part: votre "rigolade" au sujet du rail d'ouessant. JE vous indique que selon
la règle 10 des colreg, en tant que voilier, vous ne devez pas gêner le trafic. Si toutefois vous décidez de le couper vous devez
le traverser selon une trajectoire perpendiculaire.
Pour votre interrogation concernant le droit ou l'interdiction d'utiliser un activ echo, il me semble que cette décision est du
ressort de l'anfr.
il est difficile de faire ses choix, devant une offre abondante, dont tous les composants ont leurs avantages, et avec un budget
limité.
J'en rajoute une couche, en disant qu'une voie d'avenir est l'équipement en AIS émetteur-récepteur de classe B (exemple de
produit sur le lien ci dessous, prix de l'ordre de 1000 euros) pour nos bateaux: signalisation à l'ensemble des bateaux équipés
(comme l'a dit Bravo, avec diverses exceptions et dérogations ) non seulement de sa présence mais aussi de son
identification et de ses éléments cinématiques. Cet équipement devrait avoir pour les centres de situation l'avantage de faire le
tri immédiat entre "gros" et "petits", contrairement au transpondeur radar.
Le choix dépend quand même beaucoup de la zone de navigation: AIS et radar presque indispensables en manche est et mer du
nord (ou dans le détroit de Malacca), mais un compas de relèvement suffisant au large ou en méditerranée quand la veille est
assurée en permanence, avec toutes les situations intermédiaires (solitaire, Gibraltar, manche ouest ou Finisterre...).
Problème supplémentaire: les risques de saturation de la personne de quart par excès d'information et manque d'ergonomie des
installations (à ce titre la superposition ou la juxtaposition des images sur un seul écran est sans doute meilleure que
des "boîtes" séparées) qui peut conduire à des réactions irrationnelles ou, au contraire, à une absence de réaction.
Franchement un AIS, receveur ou émetteur sur un voilier d'une douzaine de mètres, je pense que c'est exagéré.
Avec un Radar ARPA, vous êtes scotché sur l'écran à pointer les targets.
Alors imaginez vous sur un voilier de cette taille, les yeux rivés sur l'écran, je suis sur que vous vous planterez. Que ce
soit sur un récif ou à cause du vent, car vous n'aurez pas vu venir la saute de vent.
Alors, je vous en prie, et je comprends tout a fait votre position devant ces trucs électroniques très attrayants, mais
laissez ces objets aux professionnels, formés et compétent à bord de grand yachts ou de cargos.
Vous réagissez face à une société de consommation. c'est attrayant, nouveau, on achète, et je suis sur que quand les
premiers émois de découvertes seront passés, vous vous lasserez bien vite de l'AIS.
Il y aura peut être autre chose. Le système embarqué qui régle les voiles directement sur vos winches hydrauliques, avec la
juste mesure de la tension en fonction de l'angle du vent et de la force du vent en corrélation avec les polaires de votre
bateau, de la date du carénage, de l'age du Capitaine, et du prochain bateau qui croisera votre route dans 6 miles.
Non franchement faire de la voile, c'est pouvoir sentir le vent, la mer etc..
Si c'est faire du presse bouton, c'est l'usine
personnellement l ais et le programe nav me simplifie de beaucouq mes navigations
beaucouq moins de stress et ce pour nav sur bateau de 14m de 40 m et de 210 m
beaucouq moins de temps passe a la preparation de la nav aussi
et dans les secteurs cites par jfp malaca ouessant
j ajouterai sur la derniere anneé des nav en mer rouge asie gibraltar
mais je dois rconnaitre que cela doitdependre de chacun
cela me laisse beaucouq plus de temps pour problemes de technique mecanique et electrique
et bien sur au petit verre de rose
autre remarque
avec l arriveé de l ais accouple a un programe de nav ou peut retarder l investissement du radar
quand a revenir au compas de relevement un reve pour moi
actuellement n etand pas rentier cela va rester un reve
captainjpp
pas daccord avec toi eric
sur un 12metres un ordi et l ais tres bien
l ais coute alors 300euros avec le duplexeur et bien sur il faut l obtion sur votre programe de nav
plein d avantage
et dans pas mal de situation
bien sur pour trouver les situations interressantes il faut pas mal de pratique dans differentes situations
il me serrai difficiles de donner une liste d avantage de l ais
cela depend beaucouq du programme de nav et de chzcun
mais chacun a ce niveau d investisement vas y trouver un avantage plus ou moins rapidement bien sur
captainjpp
Quand je suis en navigation sur le M/Y avec une vitesse de croisière entre 20 et 24 Kn, je comprends l'utilité de toutes les
aides à la navigation. j'ai tout a portée de ma vision, de manière ergonomique, avec camera CCD infrarouge aussi. il m'est
facile d'agir rapidement
Lorsque tu es sur un voilier à une vitesse de 6 à 8 kn, c'est différent. le temps de descendre à la table à carte, de lire
ton ordinateur de vérifier, et de remonter, franchement...
cela reste du gadget pour moi. ou alors il faut tout le système intégré à la barre avec écran tactile, étanche. Combien
peuvent se le payer.
Surtout pour une balade d'un week end ou de quelques jours par an.
dans mon esprit l'AIS émetteur remplirait surtout la fonction de répondeur radar perfectionné, de nature à remplacer en mieux,
à coût équivalent le transpondeur radar et/ou le détecteur type mer veille, ce qui est de nature à dégager du temps et à réduire
la tension à bord du voilier (est-ce qu'il m'a vu, est-ce qu'il se rend compte que je suis lent et peu manoeuvrant? quel est son
CPA?...), donc à suivre mieux la navigation. Inconvénient majeur: l'information des navires non équipés n'est pas assurée.
la fonction réception AIS pose effectivement le problème de la surinformation de la personne de quart, conduisant soit à des
réactions inappropriées, soit à l'absence de réaction. Quand on voit des professionnels convenablement qualifiés (Tricolor par
exemple) se mettre dans de mauvais cas, on se dit qu'un plaisancier aura bien du mal à trier et à sélectionner l'information
permanente. il y a des progrès à faire en ergonomie; la présentation sur écran unique (superposition, juxtaposition, choix de ce
qui est ou non présenté) est à ce titre plus adaptée que les "boiboîtes" installées côte à côte qui peuvent favoriser la distraction
(au sens strict du terme). C'est pourquoi je reviens à mon opinion sur l'équipement utile en fonction de la zone fréquentée et du
type de navigation pratiqué: pourquoi s'encombrer et dépenser pour ce qui sera peu ou pas utilisé?
au fond je suis d'accord à la fois avec Eric (bien sélectionner l'information utile) et jpp (disposer de toutes les informations
pertinentes là où je suis pour assurer la conduite du navire) en s'adaptant à la priorité du moment; mais on rencontre rarement
des ferries là où on risque de se mettre au sec...
vive les "rentiers" (qui ont conduit des bateaux dans des endroits et à des immersions pas toujours habituelles
Pour commencer, je suis très content de retrouver Baami que je n'avais pas lu depuis longtemps. "Voir et être vu" tout est dit !
Voir : le radar nous informe d?une présence en Azimut/distance mais ne nous renseigne pas sur la nature de cet écho. Par
analyse dans le temps on peut connaître la route et vitesse de l?écho.
Un récepteur de type AIS (dites moi si je me trompe) offre le même service de positionnement et de route et vitesse sur un
navire avec en plus une information sur la nature de l?objet.
Dans tous les cas la portée de tels équipements ne dépasse pas la portée visuelle. Pourquoi parler de saturation d?écran ? Il me
semble ridicule de penser qu?un vulgaire skipper (moi par exemple) ne serait pas capable de traiter une dizaine, une quinzaine ou
même une vingtaine d?échos. Quant au guetteur sémaphorique d?Ouessant ou à l?opérateur du Bréguet Atlantique, ils auront
peut être quelques échos supplémentaires à traiter. C?est leur métier ! Ils ne sont pas qualifiés au nombre d?échos traités (jfp,
tu dois être au courant).
Etre vu : problème pour un "petit" voilier dont la surface équivalente radar est très faible. Le réflecteur radar classique dans le
pataras n?est pas performant et ne change pas les données du problème.
Un répondeur de type Activ?echo, fait apparaître le voilier comme un gros chalutier sur l?écran de celui qui veille. La position de la
réponse est inexacte, elle apparaît dans le bon azimut, mais plus loin que le position réelle en raison du temps de réponse
(balayage de toute la gamme radar de nav). Ceci est d?autant plus pénalisant que les deux bateaux sont proches. Non
seulement ce type de répondeur n?informe pas celui qui veille sur la nature de l?écho, mais en plus il introduit deux erreurs.
Un transpondeur AIS quant à lui donne des informations exactes et renseigne le veilleur sur la nature de l?écho. Les
professionnels se tournent tous vers cet équipement. Il me paraît judicieux que la plaisance en fasse même. Ainsi nous
parlerions tous le même langage.
Hervé, après l?affaire de la Jonque puis celle de Bugeled Breiz je pense que de plus en plus de petit pêcheurs voir caboteurs
s?équiperont d?AIS l?investissement est tout de même assez faible. Je ne crois pas non plus aux abordages
volontaires "z?ontkaspousser?" C?est juste mon avis.
en commençant par la fin, les pertes du Bugaled Breiz et de la Jonque ne sont pas dues à des collisions (mais celle du cistude
l'est). il est peu probable que les navires de commerce ou de pêche s'équipent de transpondeurs s'ils n'y sont pas contraints par
la réglementation.
Il ne s'agit pas de saturation d'écran mais de saturation d'information: on passe tellement de temps à analyser l'information
disponible que l'on tarde à réagir, ou l'on réagit excessivement. Il est très difficile, en situation rapprochée, de traiter une
dizaine de pistes, provenant de sources différentes, tout en surveillant la navigation. L'analyse des accidents passés le prouve;
voir lien ci dessous, tous abordages, en particulier Tricolor, année 2002. Sur un bateau de plaisance à bord duquel une seule
personne assure la veille la saturation sera vite atteinte si l'on prétend surveiller en même temps radar, AIS et navigation sur
trois écrans différents, difficilement lisibles en raison de leur taille limitée; la présentation d'éléments choisis selon la situation
(navigation seule au ras des cailloux, radar et AIS superposés par mauvaise visibilité ou en présence de navigation dense, avec
ou sans alarmes...) et traités par un bon logiciel (rapprochement pistes AIS et échos radar, calcul du CPA automatisé...), sur un
seul écran de bonne taille (10' minimum?) permet de réduire la charge d'analyse, et de continuer à assurer une veille optique
indispensable et de veiller les éléments "de garde" (sonde, relèvement en navigation, évaluation visuelle de l'inclinaison du
navire estimé dangereux).
En fait, sur un petit bateau ne dépassant pas 10 noeuds, il est relativement facile de se passer d'assistance électronique pour la
fonction anticollision, par visibilité convenable et compte tenu de la manoeuvrabilité du porteur: un compas de relèvement suffit,
et le cerveau humain traite très bien ce genre d'information.
bien d'accord sur les erreurs induites par le temps de réponse du transpondeur radar, et pour l'absence d'abordages volontaires
(mais la veille mal faite, et les alarmes coupées existent bel et bien). Et au fond les accidents sont très rares en fonction du
nombre de mobiles.
Apparemment mon avis concernant la capacité de veille concomitante à la barre et devant un écran avec quelques échos semble
optimiste. Cela provient certainement d?une déformation professionnelle (on croirait jpp) de mon habitude de naviguer au moins
à 180 n?uds et de traiter des échos par centaines (pas en Polynésie je te rassure). Bref, ton point de vue est certainement
partagé par de nombreux autres skippers. Peut être une grande majorité ?
Je continue de penser que même s?ils n?y sont pas obligés par une quelconque loi, les professionnels de la mer iront tôt ou tard
vers plus de sécurité. Aujourd?hui dans les zones de navigation dense, ce plus de sécurité est représenté par l?AIS. Ce système
va probablement devenir une référence incontournable si ce n?est pas déjà le cas. Le développement ultra rapide des systèmes
électroniques n?est plus à démontré. Les tarifs baissent constamment. Et le publique se laisse tenter par de plus en plus de
gadgets, pour preuve nos propres voiliers en comparaison de ceux de nos parents. Je crois fortement en l?avenir de l?AIS y
compris pour la plaisance. L?avenir dira si j?ai tord ou pas.
Enfin, je crois que le doute subsiste pour les affaires de la Jonque et du Bugaled Breiz, mais j?ai peut être loupé la dernière info?
tres bon parrallele au radar apra
tres tres bien sur petit bateau
differentes configurations disponible
tout depend de ce que l on a
captanjpp
J'en ai monté un l'année dernière sur mon canote. C'est très facile à monter à condition de prendre aussi un "splitter" qui
permet d'utiliser l'antenne VHF déjà installée. Le splitter est un mot intraduisible. Il a pour fonction d'isoler le
récepteur de l'AIS à l'émission en VHF. A défaut de splitter il faut une autre antenne VHF sinon le récepteur de l'AIS est
détruit par la sauce à l'émission.
Le boitier AIS a aussi besoin de recevoir la position du GPS via son entrée NMEA183. C'est très pratique et complète le RADAR.
Il donne l'identité du bateau (de plus de 20m), son cap , sa vitesse et sa position. La route de collision est très facile à
voir.
Son seul inconvénient est d'être en "North-up" et sans possibilité d'être en "Heads-up"
Pour ceux qui traversent la manche ou toutes zones de gros trafic maritime, c'est un super outil.
Alain
Merci bcp.
Je vais donc me décider pour cet achat.
Bonne nav.
Jcf
bonjour,
merci de ces bonnes indications pratiques.
le "splitter" se traduit assez simplement par le terme "séparateur", généralement admis aussi bien pour du filtrage en fréquence
(dans le cas de l'AIS, on "sépare" le canal AIS des autres canaux VHF) que pour la séparation voix-données ("voice-data
splitter").
L'obligation d'emport de l'AIS n'est pas liée à une longueur, mais à une jauge (300 ou 500 UMS selon que le voyage est ou non
international) ou au transport de passagers; en particulier la plupart des navires de pêche ne l'utilisent pas.
ci dessous, pour l'information de ceux que celà intéresse, un lien donnant accès à des informations sur l'AIS et le contenu des
messages (annexe 3 du document).
bonnes navigations
JF Perrouty
http://www.navcen.uscg.gov/marcomms/imo/msc_resolutions/MSC69-22a1-12.pdf
a installer facile
a lire avec un ecran propre pas trop bien
a lire avec max sea bien
a lire sur le adar et max sea tres bien
plutot que separateur je prefere duplexeur
captainjpp
Le terme splitter est très galvaudé ; c'est un vrai caméléon "séparateur" . On trouve plus de 19 millions d'occurences sur
le net.
Pour le splitter dédié à l'AIS, comme d'habitude, le site de Christian Couderc est super bien fait et renseigne parfaitement
tout ce qui concerne l'électronique de bord (et bien d'autres choses). Ce site est une mine à idées et une excellente
référence pour moi. J'en profite pour tirer mon chapeau à cette personne pour son travail et à ses talents de pédagogue.
Bref, tout le monde a raison, mais l'essentiel n'est-il pas d'acheter du matériel qui rend les services attendus en
exploiitant au mieux le contexte existant ?
Je ne ferai pas de pub, mais en mettant sur google les mots clés "splitter vhf", on trouve tout plein de fabricants et de
revendeurs.
Amicalement à tous
Alain
http://www.voilelec.com/pages/vhf.php
bonsoir,
au prix du duplexeur/séparateur VHF, il peut être raisonnable d'installer une antenne spécifique à l'AIS (par exemple dans le
balcon), en prévoyant de l'utiliser comme antenne VHF de secours, au cas où.
bonnes navigations
JF Perrouty
tout depend si on a le temps de tirer des fils supplementaires
de toute facon jfp tout bon marin a forcement l antenne de secour dans sa boite avec son cable
qui vaut pas cher
par securite
pour faire des essais qunad on a un probleme
et bien sur la preter si un copin a des problemes
cela ce voie jfp que vous avez plus souvant demande a ce que on vous rachoute une antenne
que de le faire vous meme
l idee en plaissance c est quand meme la simplification au max
et la ave l antenne de secour et le duplexeur que de temps gagne et en augmenant la securite
personnellement je suis en train de gagner un fil
captainjpp
bonjour,
et il est plus simple et efficace pour la sécurité d'avoir une antenne supplémentaire dejà à poste, plutôt qu'un composant
supplémentaire sur la descente d'antenne VHF, qui apporte toujours une atténuation et peut claquer.
bonnes navigations
JF Perrouty
bien sur on vas mettre tout les cable en double dans un bateau
si vous vous saviez jfp le nombre de km de fil que je commence par enlever sur un bateau que je prends pour une mise au point
un fil d antenne bien placer qui fait fonctionner la radio va vivre quelques dizaines d annees
autre chose
l utilisation de la vhf aujourd hui dans la plaissance a beaucouq dimninue au moins en med
alprs profitons de cet evenement pour utiliser le fil de cette antenne pour l ais
qui lui va fonctionner de plus en plus
captainjpp
bonsoir,
pas d'accord, pour les raisons dejà exposées (sécurité, simplicité, prix).
bonnes navigations
JF Perrouty
lors d'importantes modifications à bord d'un bateau à bord duquel je m'occupais de télécommunications, on a débarqué 150
tonnes de câblages inutiles; il faisait plus de 40m
c est pour cela jfp vos idees ne sont pas toujours tres bonne dans la plaisance
un parce que vous navez pas sorti vos petit sous pour vos modifs
deux vous aviez des sous fivre pour faire le travail
les projets dans la plaisance sont tenu tout d abord par la caisse de bord
le plaisancier n aime pas beaucouq depenser
passer un cable en doube pour la vhf coute pas mal mon amis
de toute facon il vous faut l antenne de secour si on demate
en general on a tous une vhf portable
sinon pourquoi pas passer ausi le cable du radar en bouble et bien sur les feux en double
jfp heuresement que l on fait pas appel a vos competence pour armer un bateau de plaisance
ou pire pour faire les lois pour le materiel a bord de securite
deja que tres peu de bateaux naviquent
captainjpp
j'ai l'impression qu'on melange beaucoup de choses.
Je vois ce que veut dire jpp, je suis un peu d'accord avec lui...
Si qq'en soit la raison, le duplexeur venait a ne plus fonctionner correctement, il y a la possibilité de le shunter et brancher
l'antenne en direct sur la radio.
Si l'on considere maintenant l'intéret d'une deuxieme antenne VHF fixe:
1: il ne peut s'agir que d'un fouet à l'arriere, deux antennes en "tete de mat" s'interfereraient mutuellement.
2: Le fouet a l'arriere devra etre de grande taille pour etre efficace, ceci à cause de la propagation "directe" de ce type d'ondes.
Il me semble que les standards pour une antenne VHF non racourcie mesurent 5 ou 6m de long.
3: La justification d'une deuxieme antenne par le demâtage est a mon sens un argument discutable.
La situation de detresse necessitant l'appel vers la terre concerne selon moi uniquement deux cas précis. Le premier,blessures
corporelles graves consécutives au demâtage; le second, impossibilité de rejoindre un port par ses propres moyens, c'est à dire
une reserve carburant qui serait insuffisante.
Il va de soi que le deuxieme cas implique necessairement une position du bateau hors zone A1 ou trop eloignée de la cote pour
la rejoindre au moteur...donc VHF inutile surtout si la zone est peu frequentée.
Pour la plaisance, à mon avis, les solutions les plus adaptées dans ces cas tres particuliers, sont la RLS ou l' inmarsat c.
bonjour,
persiste et signe, aux intéressés de choisir: mieux valent deux installations simples, sur un bateau de moins de 15m, qu'un
duplexeur qui implique une intervention peu souhaitable sur une descente d'antenne.
d'autant plus qu'une antenne AIS relativement basse (sur balcon ou portique), voire intérieure sur un bateau en verre-résine,
offre une portée bien suffisante pour obtenir une situation des navires émettant AIS intéressant le voilier.
Pour la proximité, il faut vraiment deux antennes très proches pour que les interférences soient dangereuses, d'autant que l'AIS
rejette sans doute très bien ce qui n'est pas son canal. Voir le montage standard des antennes ASN pour les bateaux ayant des
VHF ASN de classe A (antenne canal 70 indépendante): les deux antennes sont rarement à plus de 2m l'une de l'autre; donc
effectivement pas deux antennes en tête de mât, mais possibilité d'en mettre deux de part et d'autre d'un portique ou sur deux
barres de flèche.
La détresse est autre chose: d'accord pour la nécessité d'une RLS (radiobalise de localisation des sinistres, souvent dite balise
Voir à l'année 2004 le rapport sur le Saint Léon, au lien ci dessous; le rapport sur l'autre accident n'est pas encore publié.
Sarsat-Cospas) ou un standard C équipé. Pour la VHF, une seule utilité en cas de détresse, pouvoir communiquer avec les
sauveteurs sur zone (si la VHF ASN ne fonctionne pas pour des raisons de démâtage ou d'énergie); ce qui conduit au choix que
j'ai fait, une VHF fixe ASN, une balise et une VHF portable étanche (plus polyvalente qu'une antenne de secours, et sans
câblage supplémentaire
bonnes navigations
JF Perrouty
http://www.beamer-france.org/enquetes/enquetes.htm
Bonjour M Perrouty,
Effectivement je me souviens de l'histoire de l'étang de thau. Dans ce domaine vous etes reconnu comme spécialiste, on ne peut
que s'incliner devant vos analyses.
Un accident n'est jamais autre chose qu'un concours de circonstances. Il convient alors de le combattre par une vigilance
permanente, un soin et une attention particuliers par rapport matériel qu'on utilise.
Une chose est sûre: En terme de communication maritime je trouve que le SMDSM est un exemple à suivre pour la
plaisance.Malheureusement elle en a été écartée, est ce volontaire ou non, je l'ignore. Je ne peux pas m'empecher de faire le
parallele avec le traitement des problemes medicaux... (et PAF les pieds dans le plat, ahahha)
On a beaucoup dérivé par rapport au sujet d'origine.
Pour le recadrer et répondre précisément au sujet initial, on trouve une bonne explication ici:
http://www.cetmef.equipement.gouv.fr/publications/jt/jt2001_c5.pdf
Noter que ce document date de 2001 aujourd'hui l'objectif est atteint
Je viens d'installer le récepteur AIS à mon bord: coût 1 euro. Un simple fil soudé au bon endroit dans ma VHF, canal 88
avant les filtres. Unefiche jack 3.5mm dans la carte son. Un logiciel que j'ai payé 25 euros et ça marhe au poil.
Dans qq jours je mettrai des photos sur sextan.com rubrique AMUITZ.
Facile a faire et presque gratos!!
José Arocena sur Amuitz en escale à Curaçao.
http://sextan.com
vous vous etes branché sur le ... "discriminator output"
Voici ce que cela donne fait "maison".
http://www.sextan.com/article.php3?id_article=1424
José Arocena surAmuitz
http://www.sextan.com/article.php3?id_article=1424
oh je ne suis pas non plus electronicien, c'est qu'en ce moment j'ai plutôt l'entrainement pour sortir ce genre de conneries.
Lorsque j'ai lu votre message çà m'est revenu à l'esprit, j'avais en effet regardé de pres le programme shipplotter.
Il est a noter que certains postes VHF possede la sortie sur le boitier.
bon si çà marche c'est l'essentiel
JFP les balises ne sont pas exactement le sujet
le sujet c est l ais
j ai rien contre que vous parliez de tout et rien
je crois que cela ne fait qu approter confissions a celui qui nous lis
je sais bien vos bateaux etaient tres gros
ici on ne parle pas des meme
salutations
captainjpp
bonjour,
approter confissions, sans doute, c'est vôtre langue et personne d'autre ne la parle
, mais j'ai parlé rls non pas par plaisir
de sortir du sujet , mais pour répondre à l'ami Bravo.
pour les gros bateaux...c'est pour répondre à vos observations incessantes sur les bateaux de 40m auxquels vous faites sans
.
arrêt allusion et qui n'ont pas grand chose à voir avec les voiliers de la plupart d'entre nous sur ce site
bonnes navigations
JF Perrouty
Too much! les gars kontinué, sé supr.
Capt Eric
c est pour cela jfp que sur un bateau de 12 m par exemple vous depensez des sous pour mettre en place un second fil d
entenne
j ai quand meme l impression que je suis plus proche des solutions pour les voiliers jusqua 15 m que vous mon amis
de toute facon je ne parle que de ce que j ai utoilise par exemple l ais ici
autre chose jfp
je refait actuellemnt un 40 m exactement comme si je preparai un 15 m
pourquoi
pour gagner du temps et me passer des service de toute une faune de tout un panier de crabe
en quelle sorte plein d intermediaire qui n ont qu un but que de vous dire que ce que vous faite est pas bon
personnellemnt je monte j utilise et j en tire des conclusion
ce qui n est pas tout a fait votre cas jfp
vous n essayer pas assez bien sur vous ne monter pas et quand meme vous en tirez des conclusions
captainjpp
Re-bonjour,
C'est moi qui ai initié la question.
Merci bcp pour les réponses, je ne pensais pas initier de tels débordements.
Que chacun organise son bahut comme il pense; la voile est encore un domaine qui offre certains latitudes !
JCF
Euh... je pense que le détonateur de cette longue longue discussion a été le mot "Splitter" qui par voie de conséquence
suggère la discussion autours d'un antenne supplémentaire ou pas avec (ou pas) son cablage associé.
J'ai deux principes :
1°- l'électronique, ça marche ou ça fume et passé les maladies de jeunesse, ça tient longtemps sauf foudre, inversion de
polarité ou contact avec l'eau.
2°- plus il y a de pièces, plus il y a de pannes.
Bien sûr qu'il vaut mieux avoir une antenne VHF supplémentaire pour le cas où ; mais encore faut-il avoir de la place pour
la mettre quelquepart sans qu'elle gêne. Donc, chacun dans son canote fait comme il peut avec ses habitudes et son
programme. Pour ma part, dans le contexte du bord, j'ai fait le choix du "splitter". S'il grille, j'ai la possibilité de le
strapper et de m'en
passer en choisissant VHF ou AIS. Il est facile d'accès dans le tableau électrique.
Toujours est-il que ce splitter m'a évité d'avoir à repasser un cable supplémentaire dans une gaine qui, selon la loi de
l'emm.... maximum, est toujours inaccessible ou pleine comme un oeuf. Ce fut la raison principale de cet achat.
En tous cas,l'AIS est très utile mais comme cela a été dit, il ne faut pas oublier que bon nombre de bateaux (autres
plaisanciers ou pécheurs etc..) sont invisibles par l'AIS et que rien de remplace la veille.
Ceci dit j'ai bien aimé l'intervention de Amuitz sur son " bricolage" qui n'en n'est plus un au niveau des compétences
requises pour gérer la capture du bon signal au bon endroit dans sa VHF.
Bonnes navigations à tous
Alain
tout a fait logique alain
surtout que chez compass une antenne de secour dans ca boite coute je crois 32 euros
j ai envie de dire ou plutot d ecrire les conseilles sont rarement les payeurs
une remarque je prend lus de 1000 euros pour passer un cable dans un mat cela repressente
monter au mat
installer un passe coque
demonter les vaigrages
m abimer les mains bien sur
alors entre 32 euros et 100O euros qui hesite
une autre fois il y en qui cause et d autre qui font et bien sur qui gaantisse
salutation
captainjpp
bonjour,
jpp, il ne s'agit pas de 1000 euros contre 36, mais du prix et du poids de 5m de coax et d'une antenne (50 euros), pose à
charge de l'intéressé pour tirer le coax de sa table à cartes au balcon arrière (2h de travail à la portée de chaque propriétaire),
contre la même dépense pour un duplexeur, aves en prime le risque de bousiller sa descente d'antenne en montant le
duplexeur, et d'avoir à démâter pour réparer.
Ceci posé je comprends mal comment jpp fait pour naviguer 360 jours par an et en même temps passer des câbles dans les
mâts, installer des groupes électrogènes , de l'électronique...que sais-je encore
bonnes navigations
JF Perrouty
et bien jfp je reste dans mon idee parle de domaine qu il ne cannais pas biens
passer en deux heures un cable d antenne
si t en soit peu chaque proprietaire possede deja le materiel pour effectue cette operation
autre chose la situation d une antenne de vhf sur le balcon ar pas genial
manque de pratique jfp
comment tu fais sur l inox deu balcon ar ton cable est a l exterieur
a non tufais passer ton cable a l interieur du balcon et le tout en deux heures
pas tres pro
apres tu trou le pont
le duplexeur 185 euros je coupe le cable deux prises qui vont bien et chrono en main
trois minute apres ca marche
captainjpp
bonsoir,
je ne parle que de choses que j'ai déjà faites (et je ne suis par très doué manuellement) sur un bateau de plaisance, pas pour
l'AIS, mais en passant du câble quand même. Alors chacun fait son choix, après avoir eu deux avis.
bonnes navigations
JF Perrouty
Je ne crois pas indispensable d'installer l'antenne AIS en tete de Mat les antennes de cargo sont déja hautes et 15 miles de
portée cela semble bien suffisant, c'est toujours mieux qu'un petit radar.
C'était juste pour relancer la polémique...
pas tres fort manuellement et pas tres fort en reglementation maritme
salutations
captainjpp
pas tres fort manuellement et pas tres fort en reglemntation maritime
en ais c est un peu plus normal c est nouveau
comme tout ce qui est nouveau il faut depenser quelques sous pour l essayer
mais bon c est toujour la meme histoire certain sont plus rapide que d autre
je resume
max sea et l ais va remplacer le radar je dirai a 90 pour cent
apres a vous de voir si pour 10 pour cent vous voulez depenser 5000 euros
inconvenient j ai commence avec max sea
je suis oblige de continuer avec furuno l un lis l autre
je ne l ai bien sur pas fait par hazard
furuno etand de tres bonne qualite pour les radars
et l environement max sea ais
vous voye jfp certain regarde sur quel balcon ils vont placer une seconde antenne
d autre travail cetain materiel plusieurs annees pour converger vers un point
salutations
captainjpp
J'ai fait installer un AIS récepteur Maxdis/Nasa sur mon voilier, un Oceanis 411 Celebration, par AD Canet car je suis nul en
matière de montage/cablage, etc. Une antenne spécifique a été montée sur l'arceau arrière. L'AIS est interfacé à ma centrale de
navigation MaxSea 12.6.
Les résultats sont brillants : excellente information des bateaux équipés d'un émetteur (à compter du 1.7.07 tous ceux de plus
de 300 tonneaux, ce qui représente en général la quasi-totalité des bateaux que l'on peut rencontrer en haute mer) avec
indication d'une possible route de collision plus bien entendu tous les détails du navire.
La réception du signal est très bonne : entre 20 et 40 milles nautiques suivant la position à laquelle se trouve l'antenne de
l'émetteur - plus elle est haute, meilleur est le signal de réception. C'est amplement suffisant.
A contrario de ce qui se passe en France, les sémaphores espagnols et italiens sont déjà équipés d'un émetteur AIS.
Sur un plan technique il est précisé dans les documents que l'antenne VHF dédiée à la réception des signaux AIS doit être placée
à plus d'un metre de toute autre antenne. Il est vrai qu'un "duplexeur" peut être utilisé, mais ce dernier ne permet pas
l'utilisation simultanée de la VHF et de l'AIS. Cette antenne peut servir d'antenne de secours pour la VHF dans le cas d'une
défaillance de l'antenne principale.
Rentrant d'une croisière de 2 mois en Méditerranée je trouve cet investissement (qui en tout m'est revenu néanmoins à un prix
élévé -de l'ordre de 1000 euros- , en raison du coût de son installation et du prix du module AIS chez MaxSea) extremement
attrayant du fait de la sécurité complémentaire qu'il apporte ; l'interfacage sur MaxSea est remarquable. J'ai contacté à
plsuieurs reprises des cargos dans des conditions de mer dures pour leur signaler ma présence (très souvent il ne m'avait pas
vu) ce qui leur a permis de modifier légèrement leur route en plus d'assurer une veille encore plus active (une coque bleue dans
une mer forte n'est pas toujours facile à détecter depuis le pont d'un navire).
C'est indéniablement un produit à recommander. Lorsque le prix des AIS émetteurs sera plus raisonable, j'envisage d'en
installer un.
Seul problème : le récepteur AIS Maxdis est livré avec des port séries, alors que mon portable n'a que des ports USB. IL m'a
fallu mettre des adaptateurs Port Séries/USB dont le paramétrage n'est en aucun cas aisé.
deux remarques: pourquoi une coque bleue? peu visible effectivement et un four en pays chaud.l'ais marche aussi très bien
avec le logiciel de M.Lombard, qui est le moins cher du marché pour les fonctionnalitès qu'il apporte, et de plus se superpose sur
la cartographie. il parait que ça marche aussi avec Cmap sans probleme...
olivier
JP, pas d'accord avec toi quand tu dis que l'AIS et MAXSEA vont remplacer le radar. Va naviguer et tu comprendra l'utilité
du radar. En Mer Rouge, j'ai vérifié mon système Raymarine, avec le logiciel, avec ARPA, AIS, et j'ai comparé avec un copain
qui a MAXSEA. je passe dans des endroits ou lui n'ose pas passer, et lui a essayer de passer là ou MAXSEA lui indique de
passer, résultats récif corallien abimé...
Rien ne vaut la pratique, l'observation de la mer, et surtout la discussion avec les locaux.
Un radar t'indiquera un récif, mais certainement pas ton AIS. (AIS qui n'est que pour l'indication de bateau d'un certain
tonnage, et qui ne sera jamais fiable a plus de 80%.
exemple dans le détroit de Tiran, des bateaux sont indiqués au mouillage alors qu'ils font route et vice versa...
Capt Eric
La présence du séparateur dans la VHF me paraît quasi certaine puique la même antenne fait l'émission et la réception en VHF.
A mon avis, le séparateur à pour fonction principale d'isoler la partie réception sensible à quelques µVolts de la puissance
d'émission (de l'ordre du KV) afin de ne pas griller ses étages d'entrée du récepteur. Si je pense juste, alors il est présent.
Le principe d'un seul et même appareil qui fait les deux fonctions, c'est assez séduisant car on gagne une place dans une
zone toujours encombrée.
Mais beaucoup de VHF modernes ont une pile au lithium pour conserver en mémoire les fréquences des canaux VHF. Gare à la
panne sournoise d'une pile mémoire usée. ça m'est arrivé et ce n'est pas au détour d'une vague en pleine mer qu'on trouve
une pile aussi confidentielle que chère.
Amicalement à tous
Alain
ERIC ,
je ne dis pas remplacer
je dis que si on est juste en budjet et que l achat du radar pour un bateau est limite
l associatif mas sea et ais va presque compenser le radar
bien sur si vous avez le budget du radar il faut acheter
je dis aussi a un bateau qui s equipe aujourdhui de commencer par le programe de nav et l ais
de l utiliser et apres de decider si on veut le radar couple ou non
j vois quelques bateaux aujourd huiun petit peu decu d avoir achete un radar non compatible
et de decouvriir apres coup le programe de nav et l ais
ils sont decu de ne pas pouvoir les coupler
c est vrai que cette interference n est pas evidente a comprendre
on vois ici sur ce forum que des personnes penvent etre tres qualifie en maniment de l electronique
mais n ont pas cette vision du probleme
captainjpp
Bonsoir,
Je me pose la question très iconoclaste, semble t-il au vu de l?émerveillement collectif pour la coûteuse bête, de l?utilité réelle de
l?AIS.
Ce qui m?intéresse c?est de voir et d?être vu.
VOIR : J?ai mon radar (et mes yeux, merci !) et ses diverses fonctions. Je peux savoir où est l?ennemi (entendez le cargo ou le
chalutier abordeur), vers où il va, sa vitesse, de nuit, dans la brume, etc? Et en plus je peux même être réveillé si je dors. Merci
le watchman. Pas besoin d'AIS donc, si j'ai un radar.
ETRE VU : C?est là que çà se corse car le réflecteur radar de grand papa est inefficace, l?Activ?écho serait en voie d?interdiction
et l?AIS c?est certes très bien mais je ne suis pas certain (et même certain du contraire) que le petit pêcheur ou le petit caboteur
soit équipé AIS. Et je crains plus le petit pêcheur de 15 à 30 m que le gros cargo ou le gros pêcheur qui ont théoriquement plus
de moyens pour assurer une veille efficace. Le pêcheur ou caboteur a toujours un radar, pas toujours surveillé ou en service,
d?accord mais au moins il en a un et le regarde (parfois). Et s?il le regarde il verra tout de suite un gros écho si je suis équipé
Activ?echo. Et un gros écho, çà le concerne (le petit écho, il s?en fout, « Z?onkaspousser, j?travaille, moi ! » et en plus il ne voit
guère les petits bateaux). Et en plus, mon petit voilier ne renverra pratiquement pas d?écho. Crac, glouglou !
Pour ma part je ne m?équiperai pas d?AIS mais me suis équipé d?un activ?écho.
Par ailleurs, il est vrai qu?il y a des restrictions à la vente de cet appareil en France alors même qu?il est recommandé aux
plaisanciers chez nos voisins européens. Sans commentaires sur cette différence. Mais je voudrais bien connaître cette
directive, savoir de qui elle émane et surtout si elle a force de loi car, que je sache, une administration ne peut décider de ce qui
est autorisé ou pas. Si c?est le cas, çà veut dire qu?à plus ou moins courte échéance, il ne sera même plus possible d?avoir le
matériel anglais. Les gabelous et autres Aff Mar. y veilleront.
Quant à l?argument d?une éventuelle difficulté à surveiller le rail d?Ouessant qui serait encombré de faux cargo vrais voiliers, je
rigole en pensant aux contrôleurs du ciel à Charles de Gaulle, par exemple. C?est autre chose comme encombrement ! Et a
priori, çà ne crashe pas tous les jours malgré des vitesses légèrement différentes de celles de nos jolis bateaux (même pour mon
cata préféré !).
Pour me résumer, pas d'AIS mais un Activ'écho. L'AIS me paraît typique du gadget pour la plaisance.
Mais je ne prétends pas détenir la vérité, si tant est qu'elle existe...
Bon vent à tous
A+
L'AIS est obligatoire pour les navires de jauges brutes > 300. C'est vrai, de ce point de vue la plaisance n'est pas concernée.
En tant que voiler, entendant la voile comme propulsion principale, vous n'êtes pas tenu de posséder un permis côtier pour
naviguer.
Permettez-moi de souligner une remarque de votre part: votre "rigolade" au sujet du rail d'ouessant. JE vous indique que selon
la règle 10 des colreg, en tant que voilier, vous ne devez pas gêner le trafic. Si toutefois vous décidez de le couper vous devez
le traverser selon une trajectoire perpendiculaire.
Pour votre interrogation concernant le droit ou l'interdiction d'utiliser un activ echo, il me semble que cette décision est du
ressort de l'anfr.
bonjour,
il est difficile de faire ses choix, devant une offre abondante, dont tous les composants ont leurs avantages, et avec un budget
limité.
J'en rajoute une couche, en disant qu'une voie d'avenir est l'équipement en AIS émetteur-récepteur de classe B (exemple de
) non seulement de sa présence mais aussi de son
produit sur le lien ci dessous, prix de l'ordre de 1000 euros) pour nos bateaux: signalisation à l'ensemble des bateaux équipés
(comme l'a dit Bravo, avec diverses exceptions et dérogations
identification et de ses éléments cinématiques. Cet équipement devrait avoir pour les centres de situation l'avantage de faire le
tri immédiat entre "gros" et "petits", contrairement au transpondeur radar.
Le choix dépend quand même beaucoup de la zone de navigation: AIS et radar presque indispensables en manche est et mer du
nord (ou dans le détroit de Malacca), mais un compas de relèvement suffisant au large ou en méditerranée quand la veille est
assurée en permanence, avec toutes les situations intermédiaires (solitaire, Gibraltar, manche ouest ou Finisterre...).
Problème supplémentaire: les risques de saturation de la personne de quart par excès d'information et manque d'ergonomie des
installations (à ce titre la superposition ou la juxtaposition des images sur un seul écran est sans doute meilleure que
des "boîtes" séparées) qui peut conduire à des réactions irrationnelles ou, au contraire, à une absence de réaction.
bonnes navigations
JF Perrouty
http://www.euronav.co.uk/Products/Hardware/AIS_B/CSB200.htm
Franchement un AIS, receveur ou émetteur sur un voilier d'une douzaine de mètres, je pense que c'est exagéré.



Avec un Radar ARPA, vous êtes scotché sur l'écran à pointer les targets.
Alors imaginez vous sur un voilier de cette taille, les yeux rivés sur l'écran, je suis sur que vous vous planterez. Que ce
soit sur un récif ou à cause du vent, car vous n'aurez pas vu venir la saute de vent.
Alors, je vous en prie, et je comprends tout a fait votre position devant ces trucs électroniques très attrayants, mais
laissez ces objets aux professionnels, formés et compétent à bord de grand yachts ou de cargos.
Vous réagissez face à une société de consommation. c'est attrayant, nouveau, on achète, et je suis sur que quand les
premiers émois de découvertes seront passés, vous vous lasserez bien vite de l'AIS.
Il y aura peut être autre chose. Le système embarqué qui régle les voiles directement sur vos winches hydrauliques, avec la
juste mesure de la tension en fonction de l'angle du vent et de la force du vent en corrélation avec les polaires de votre
bateau, de la date du carénage, de l'age du Capitaine, et du prochain bateau qui croisera votre route dans 6 miles.
Non franchement faire de la voile, c'est pouvoir sentir le vent, la mer etc..
Si c'est faire du presse bouton, c'est l'usine
Capt Eric
personnellement l ais et le programe nav me simplifie de beaucouq mes navigations
beaucouq moins de stress et ce pour nav sur bateau de 14m de 40 m et de 210 m
beaucouq moins de temps passe a la preparation de la nav aussi
et dans les secteurs cites par jfp malaca ouessant
j ajouterai sur la derniere anneé des nav en mer rouge asie gibraltar
mais je dois rconnaitre que cela doitdependre de chacun
cela me laisse beaucouq plus de temps pour problemes de technique mecanique et electrique
et bien sur au petit verre de rose
autre remarque
avec l arriveé de l ais accouple a un programe de nav ou peut retarder l investissement du radar
quand a revenir au compas de relevement un reve pour moi
actuellement n etand pas rentier cela va rester un reve
captainjpp
pas daccord avec toi eric
sur un 12metres un ordi et l ais tres bien
l ais coute alors 300euros avec le duplexeur et bien sur il faut l obtion sur votre programe de nav
plein d avantage
et dans pas mal de situation
bien sur pour trouver les situations interressantes il faut pas mal de pratique dans differentes situations
il me serrai difficiles de donner une liste d avantage de l ais
cela depend beaucouq du programme de nav et de chzcun
mais chacun a ce niveau d investisement vas y trouver un avantage plus ou moins rapidement bien sur
captainjpp
Quand je suis en navigation sur le M/Y avec une vitesse de croisière entre 20 et 24 Kn, je comprends l'utilité de toutes les
aides à la navigation. j'ai tout a portée de ma vision, de manière ergonomique, avec camera CCD infrarouge aussi. il m'est
facile d'agir rapidement
Lorsque tu es sur un voilier à une vitesse de 6 à 8 kn, c'est différent. le temps de descendre à la table à carte, de lire
ton ordinateur de vérifier, et de remonter, franchement...
cela reste du gadget pour moi. ou alors il faut tout le système intégré à la barre avec écran tactile, étanche. Combien
peuvent se le payer.
Surtout pour une balade d'un week end ou de quelques jours par an.
Capt Eric
La compétence est incontestable pour les gens qui ont connu la plaisance sans systeme de positionnement automatique.
Je ne suis pas convaincu que les plaisanciers 'tout le monde' sans GPS soit aussi audacieux que vous dans leurs navigations.
Je maintiens, compte tenu des zones à forts trafic, que l'ais a sa place, même chez les nuls comme vous dites.
bonjour Eric,
dans mon esprit l'AIS émetteur remplirait surtout la fonction de répondeur radar perfectionné, de nature à remplacer en mieux,
à coût équivalent le transpondeur radar et/ou le détecteur type mer veille, ce qui est de nature à dégager du temps et à réduire
la tension à bord du voilier (est-ce qu'il m'a vu, est-ce qu'il se rend compte que je suis lent et peu manoeuvrant? quel est son
CPA?...), donc à suivre mieux la navigation. Inconvénient majeur: l'information des navires non équipés n'est pas assurée.
la fonction réception AIS pose effectivement le problème de la surinformation de la personne de quart, conduisant soit à des
réactions inappropriées, soit à l'absence de réaction. Quand on voit des professionnels convenablement qualifiés (Tricolor par
exemple) se mettre dans de mauvais cas, on se dit qu'un plaisancier aura bien du mal à trier et à sélectionner l'information
permanente. il y a des progrès à faire en ergonomie; la présentation sur écran unique (superposition, juxtaposition, choix de ce
qui est ou non présenté) est à ce titre plus adaptée que les "boiboîtes" installées côte à côte qui peuvent favoriser la distraction
(au sens strict du terme). C'est pourquoi je reviens à mon opinion sur l'équipement utile en fonction de la zone fréquentée et du
type de navigation pratiqué: pourquoi s'encombrer et dépenser pour ce qui sera peu ou pas utilisé?
au fond je suis d'accord à la fois avec Eric (bien sélectionner l'information utile) et jpp (disposer de toutes les informations
pertinentes là où je suis pour assurer la conduite du navire) en s'adaptant à la priorité du moment; mais on rencontre rarement
des ferries là où on risque de se mettre au sec...
vive les "rentiers" (qui ont conduit des bateaux dans des endroits et à des immersions pas toujours habituelles
bonnes navigations
JF Perrouty
re,
autocorrection: il faut bien sûr lire "un plaisancier aura bien du mal à trier et à sélectionner l'information pertinente" et
non "permanente".
JFP
Pour commencer, je suis très content de retrouver Baami que je n'avais pas lu depuis longtemps. "Voir et être vu" tout est dit !
Voir : le radar nous informe d?une présence en Azimut/distance mais ne nous renseigne pas sur la nature de cet écho. Par
analyse dans le temps on peut connaître la route et vitesse de l?écho.
Un récepteur de type AIS (dites moi si je me trompe) offre le même service de positionnement et de route et vitesse sur un
navire avec en plus une information sur la nature de l?objet.
Dans tous les cas la portée de tels équipements ne dépasse pas la portée visuelle. Pourquoi parler de saturation d?écran ? Il me
semble ridicule de penser qu?un vulgaire skipper (moi par exemple) ne serait pas capable de traiter une dizaine, une quinzaine ou
même une vingtaine d?échos. Quant au guetteur sémaphorique d?Ouessant ou à l?opérateur du Bréguet Atlantique, ils auront
peut être quelques échos supplémentaires à traiter. C?est leur métier ! Ils ne sont pas qualifiés au nombre d?échos traités (jfp,
tu dois être au courant).
Etre vu : problème pour un "petit" voilier dont la surface équivalente radar est très faible. Le réflecteur radar classique dans le
pataras n?est pas performant et ne change pas les données du problème.
Un répondeur de type Activ?echo, fait apparaître le voilier comme un gros chalutier sur l?écran de celui qui veille. La position de la
réponse est inexacte, elle apparaît dans le bon azimut, mais plus loin que le position réelle en raison du temps de réponse
(balayage de toute la gamme radar de nav). Ceci est d?autant plus pénalisant que les deux bateaux sont proches. Non
seulement ce type de répondeur n?informe pas celui qui veille sur la nature de l?écho, mais en plus il introduit deux erreurs.
Un transpondeur AIS quant à lui donne des informations exactes et renseigne le veilleur sur la nature de l?écho. Les
professionnels se tournent tous vers cet équipement. Il me paraît judicieux que la plaisance en fasse même. Ainsi nous
parlerions tous le même langage.
Hervé, après l?affaire de la Jonque puis celle de Bugeled Breiz je pense que de plus en plus de petit pêcheurs voir caboteurs
s?équiperont d?AIS l?investissement est tout de même assez faible. Je ne crois pas non plus aux abordages
volontaires "z?ontkaspousser?" C?est juste mon avis.
Marc
bonsoir,
en commençant par la fin, les pertes du Bugaled Breiz et de la Jonque ne sont pas dues à des collisions (mais celle du cistude
l'est). il est peu probable que les navires de commerce ou de pêche s'équipent de transpondeurs s'ils n'y sont pas contraints par
la réglementation.
Il ne s'agit pas de saturation d'écran mais de saturation d'information: on passe tellement de temps à analyser l'information
disponible que l'on tarde à réagir, ou l'on réagit excessivement. Il est très difficile, en situation rapprochée, de traiter une
dizaine de pistes, provenant de sources différentes, tout en surveillant la navigation. L'analyse des accidents passés le prouve;
voir lien ci dessous, tous abordages, en particulier Tricolor, année 2002. Sur un bateau de plaisance à bord duquel une seule
personne assure la veille la saturation sera vite atteinte si l'on prétend surveiller en même temps radar, AIS et navigation sur
trois écrans différents, difficilement lisibles en raison de leur taille limitée; la présentation d'éléments choisis selon la situation
(navigation seule au ras des cailloux, radar et AIS superposés par mauvaise visibilité ou en présence de navigation dense, avec
ou sans alarmes...) et traités par un bon logiciel (rapprochement pistes AIS et échos radar, calcul du CPA automatisé...), sur un
seul écran de bonne taille (10' minimum?) permet de réduire la charge d'analyse, et de continuer à assurer une veille optique
indispensable et de veiller les éléments "de garde" (sonde, relèvement en navigation, évaluation visuelle de l'inclinaison du
navire estimé dangereux).
En fait, sur un petit bateau ne dépassant pas 10 noeuds, il est relativement facile de se passer d'assistance électronique pour la
fonction anticollision, par visibilité convenable et compte tenu de la manoeuvrabilité du porteur: un compas de relèvement suffit,
et le cerveau humain traite très bien ce genre d'information.
bien d'accord sur les erreurs induites par le temps de réponse du transpondeur radar, et pour l'absence d'abordages volontaires
(mais la veille mal faite, et les alarmes coupées existent bel et bien). Et au fond les accidents sont très rares en fonction du
nombre de mobiles.
bonnes navigations
JF Perrouty
http://www.beamer-france.org/enquetes/enquetes.htm
Bonsoir Jean-François,
Apparemment mon avis concernant la capacité de veille concomitante à la barre et devant un écran avec quelques échos semble
optimiste. Cela provient certainement d?une déformation professionnelle (on croirait jpp) de mon habitude de naviguer au moins
à 180 n?uds et de traiter des échos par centaines (pas en Polynésie je te rassure). Bref, ton point de vue est certainement
partagé par de nombreux autres skippers. Peut être une grande majorité ?
Je continue de penser que même s?ils n?y sont pas obligés par une quelconque loi, les professionnels de la mer iront tôt ou tard
vers plus de sécurité. Aujourd?hui dans les zones de navigation dense, ce plus de sécurité est représenté par l?AIS. Ce système
va probablement devenir une référence incontournable si ce n?est pas déjà le cas. Le développement ultra rapide des systèmes
électroniques n?est plus à démontré. Les tarifs baissent constamment. Et le publique se laisse tenter par de plus en plus de
gadgets, pour preuve nos propres voiliers en comparaison de ceux de nos parents. Je crois fortement en l?avenir de l?AIS y
compris pour la plaisance. L?avenir dira si j?ai tord ou pas.
Enfin, je crois que le doute subsiste pour les affaires de la Jonque et du Bugaled Breiz, mais j?ai peut être loupé la dernière info?
Amicalement,
Marc
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