Curaçao 2 - l'île -
Bonjour,
Un petit mot pour vous décrire notre visite de l'île : décevante (Colette) mais intéressante (Alain).
Des lotissements et des resorts (hôtels) pour riches hollandais, des zones industrielles et des HLM horizontaux occupent une grande partie de l'île. Bof !
Des zones où les blancs se divertissent et où les noirs travaillent.
Des supermarkets hollandais pour les blancs.
Des supermarkets chinois pour les noirs.
On est proche des colonies ...
Tout ce qui est intéressant est payant, la côte est très privatisée et le coût de vie est plus élevé qu'en Europe.
Mais le nord est un peu plus préservé avec son parc national (trop cher pour nous) et ses petites criques.
Un paysage typique.
Chaque village a une église comme neuve.
Un jeune caracala huppé, rapace très friand d'iguane déambule le long de la route.
Nous visitons l'éventuel mouillage de Santa Cruz avec sa lagune.
Sa plage.
Et son seul bateau au mouillage : ils préfèrent tous s'entasser à Spanish Water : c'est bon à savoir !
Nous déjeunerons dans un charmant restaurant de Playa Lagun où nous mangerons enfin à peu près correctement.
En revenant par le grand pont nous verrons sortir devant le centre ville un énorme cargo : impressionnant !
Un monastère ?
Le lendemain nous visitons une exploitation d'Aloe Vera très appréciée par Colette pour ses produits dérivés : crèmes ou boissons.
L'esclavage est aboli ...
Très intéressante visite.
Nous visiterons la ferme d'autruches qui fait office aussi de zoo et de restaurant.
Du haut d'un mirador : la ferme.
Et la côte.
De charmants petits perroquets.
De curieuses tourterelles à lunettes.
Et quelques mygales.
Nous effectuons en camion bâché le tour de la ferme.
Un beau mâle.
Il y a aussi des cochons, des montons, des poneys etc ...
Des émeus australiens.
Les autruches sont parquées par âge : ici quelques mois.
Là, des adultes.
Colette pas très rassurée à l'autorisation de les nourrir.
Leur long cou est impressionnant.
Un beau couple.
D'un simple mouvement ample des bras, le guide déclenche chez ce mâle en rut une parade nuptiale.
(bigleux le mec ...).
Des crocodiles du Nil assurent le rôle d'éboueurs pour les viscères, les os sont donnés à des artistes locaux et le guano à la plantation d'aloe vera voisine.
L’œuf peut supporter 200 kg : c'est un peu juste, mais il supporte donc Colette.
Les nourrissons ...
Le lendemain nous irons aux grottes de Hato, près de l'aéroport.
Une ancienne et typique maison d'esclave.
Avant la grotte un charmant chemin botanique explicite la flore locale.
De beaux arbres.
D'anciens abris dans la roche.
Une curieuse formation rocheuse.
D'anciens pétroglyphes indiens.
Et enfin l'entrée de la grotte.
La roche entière est formée d'anciens coraux remontés des fonds par des phénomènes volcaniques.
De petites réserves d'eau douce forment de petites mares.
Quelquefois la voûte s'est effondrée.
De belles concrétions calcaires.
Cherchez une tête de pirate des Caraïbes ...
Et enfin retour à la maison (au bateau ...) pour huit à dix jours de loisirs et de bricolage divers avec ensuite retour à Bonaire.
Le retour nous inquiète un peu : contre le vent, la houle et les courants ...
Enfin donc, à bientôt.
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Anonyme (non vérifié)
2 Novembre 2014 - 12:00am
vos comptes rendus sont