Ci-dessous le tracé de cette étape et le fichier google earth depuis notre départ : Mediterranée 2014-12.kmz

Mardi 15 Juillet 2014

Cet après midi, visite du vieux quartier de Trapani.

Mercredi 16 Juillet 2014

Apres quelques courses, nous partons de Trapani vers midi.

Nous passons cette fois ci par le nord de l’ile de Levanzo.

Nous arrivons au mouillage à Cala Manione sur l’ile de Marettimo

Nous montons au fort pour savourer la vue sur la baie avec le bateau tout petit en bas.

Au retour une petite baignade dans cette eau bleue à 25 degrés nous fera le plus grand bien.

Jeudi 17 Juillet 2014

Ce matin départ vers 9h00, nous passons devant le village et le port de Marettimo.

Ensuite nous contournons l’ile par le sud avant de mettre le cap vers la Sardaigne.

Le vent nous portera jusqu’au milieu de la nuit.

Vendredi 18 Juillet 2014

Vers 4h00 du matin le vent nous abandonne et nous passerons le reste de la journée au moteur pendant 16h sur une mer d’huile.

Vers 20h à l’approche de la Sardaigne, le vent daigne revenir un peu pour notre arrivée de nuit au mouillage de Porto Giunco. Il était temps, nous avons du attaquer notre jerrican de réserve de gazole.

Samedi 19 Juillet 2014

Nous découvrons notre mouillage au petit matin

Puis nous partons faire le plein d’eau et de gazole a Villasimius de l’autre cote du Capo Cavallo.

Nous passons l’après midi au mouillage devant la plage pour une petite baignade et du coup, nous y restons aussi pour la nuit.

Dimanche 20 Juillet 2014

Un coup de vent d’Ouest est annonce dans l’après midi pour les 2 journées à venir.

Nous restons donc au mouillage a Villasimius en attendant qu’il arrive pour retourner nous mettre à l’abri à Porto Giunco.

Ce n’est qu’avant la tombée de la nuit que nous changeons de coté car le vent d’ouest n’est toujours pas là.

Il n’arrivera que très tard vers 23h30.

Lundi 21 Juillet 2014

Le coup de vent est bien là, mais la mer est praticable pour remonter la Sardaigne par l’Est.

Nous partons donc sous génois seul qui suffit amplement pour nous pousser a plus de 5 nœuds.

Vers 11h30 dans une rafale, le génois descend tout seul. C’est la sangle du point de drisse qui vient de lâcher. Nous affalons le génois et finissons notre route au moteur vers le mouillage le plus proche a Capo Ferrato.

Atelier voilerie l’après midi pour recoudre la sangle en place, en fait c’était seulement le fil qui cousait la sangle qui était brulé par les UV. Elle s’est donc décousue proprement sans déchirure.

Bénédicte enfile la chaise de calfat pour aller faire un tour en tête de mat récupérer la drisse de génois.

Mardi 22 Juillet 2014

Ce matin, nous pensions que le vent serait plus calme pour hisser le génois réparé la veille.

Et bien non, le vent souffle encore plus fort et l’anémomètre enregistre des rafales a plus de 70 km/h qui font fumer la mer quand elles arrivent.

Ce sera donc une journée d’attente au mouillage. Nous n’irons même pas a terre de peur que le bateau dérape sur son ancre.

Mais demain ça devrait aller mieux selon les prévisions météo.

Mercredi 23 Juillet 2014

Vers une heure du matin le bruit de la chaine qui frotte sur les rochers nous réveille. Un coup d’œil dehors et plus de doute le bateau a dérapé et nous ne sommes plus dans la zone de sable.

Petite manœuvre de nuit pour aller remettre l’ancre dans le sable et allonger encore le mouillage.

Le reste de la nuit fut calme et au petit matin le méchant vent d’ouest est remplacé par un gentil vent de NE. Nous hissons donc le génois et reprenons donc notre route vers le nord.

Tout au long de la journée le vent tourne vers le sud et nous pouvons mettre le spi

Mais en fin d’après midi, c’est la pétole et nous ne pourrons être à Arbatax a une heure décente ce soir. Nous nous replions donc sur un petit mouillage entre plage et rochers ou nous passerons la nuit seul dans cet endroit ou il y a à peine 2 mètres d’eau. Le dériveur a cet avantage pour ça même en Méditerranée. Du coup nous avons le temps de nous baigner un peu et de prendre l’apéro au coucher du soleil.

Jeudi 24 Juillet 2014

Petite baignade matinale avant de partir vers Arbatax par vent de travers.

A bientôt

Didier et Bénédicte