Il ne s'agirait donc que de "mesurettes" ? La pavillon Belge a encore de beaux jours devant lui !
Attention, ce texte n'est qu'un article paru dans Le Monde et n'a donc rien d'officiel. N'empêche, on reste encore une fois sur le
cul devant une telle incompétence.
Le sextant : "un tel instrument est-il toujours une nécessité à l'heure de l'ordinateur GPS et alors que "rares sont ceux qui savent
encore s'en servir" .
Bien sur que ça reste une nécessité au large !!!! C'est la seule manière de se positionner qui ne soit pas tributaire du bon vouloir
d'une administration.
"Les interrogations portent (...) sur l'intérêt d'une barre franche de secours et sur des objets comme une montre d'habitacle ou
un compas à pointe sèche."
Ah bon, c'est inutile ça ? Ce n'est pas mon avis, masi alors absolument pas.
Que l'on rende ces équipements non obligatoires est une chose, mais qu'on les présente comme inutile est abérant.
Ensuite, on passe la 5eme de 5 à 6 milles. Le texte du Mode dit "de la côte", mais je suppose qu'il s'agit d'un abri. Qui veut
m'expliquer ce que ça change ? Merci.
Ne soyons pas mauvais joueur. C'est déjà inespéré d'avoir fait ce premier pas vers une "libéralisation" de la sécurité en mer dans
la plaisance.
Il faut bien reconnaitre que le Gouvernement a rempli son role, après la tempete du Fastnet, en s'assurant que, à l'heure de
la "démocratisation" de la plaisance, les pères de famille inconscients ne périraient pas en mer faute de matériel de
sécurité "suffisant".
Depuis, la technologie a évolué (quoi qu'encore, on applique toujours ce bon viel Archimède ), et a permis de développer
d'autres games de matériel de sécurité.
Surtout, le marché technique a 20 ans de recul.
20 ans, pour une réglementation, c'est énorme. Il fallait l'adapter, voire la refondre.
On peut en attendre beaucoup, de ce projet de réglementation.
Il est vrai, comme le souligne JM. DELUY, que les journalistes ont parfois des propos calamiteux.
On espère bien que le compas, le sextant et la barre franche resteront toujours utiles en mer (à moins de piloter un fer à
repasser ultramotorisé).
Ce qu'il faut attendre de la réglementation, si seulement nous avions notre mot à dire, ce serait plutot d'évoluer d'un
système "tout normatif", vers un système incitatif, qui autorise une norme équivalente.
Il me vient tout d'un coup une idée folle: Et si nous nous saisissions de cette question?
C'est l'instant révé: le Secrétariat d'Etat à la Mer est pret à revoir sa réglementation.
Je vous propose donc de participer à une e-petition qui sera remise officiellement au MInistre avant la rentrée.
Bonjour,
pour un constructeur "amateur",le remaniement réglementaire en cours semble rester absurde;comment justifier la nécéssité de
pratiquer des mesures de stabilité "in vivo" alors que les calculs d'un architecte renommé sont disponibles,que la coque pontée-
lestée est certifiée cat A par le chantier pro.Des mesures de stabilité peuvent se justifier sur des machines de course mais sont
grotesques par ailleurs et bien entendues très couteuses;si la loi va réellement obliger un aménageur amateur de monocoque de
croisière à faire constater une stabilité déjà connue,,il ne me restera plus,à mon regret,qu'à compléter mon dossier pour obtenir
le pavillon belge sous lequel l'auto-certification est la règle,d'aiileurs simple application des directives communautaires.Merci de
votre réponse,en particulier sur le plan juridique.
suis en accord avec JMD, ce sera bien une réforme qui n'en sera pas une...
A croire que dans ce pays, aucune réforme de fond n'est possible...
Attristant pour notre pays et nos ports qui vont continuer à voir des bateaux sous pavillon belge ou autre...
En ce qui me concerne, il n'est pas question de remettre en cause mes choix en ce qui concerne la sécurité : ce ne sera pas le
pavillon français!
Cordialement,
Pol
Tout à fait d'accord avec les deux posts précédents, propriétaire d'un voilier construit en amateur sur plans d'un architecte pro,
avec courbe de stabilité largement au delà de bien des voiliers de séries. Pourquoi faire vérifier cette stabilité par un organisme
de certification ? Entre le cout et les conséquences pour le voilier, c'est complétement débile et m'incite a rester sous pavillon
belge. L'alternative est d'autocertifier son bateau, mais avec la catégorie C à la clé. Après, les contrôles se font rarement au
large. Quels sont les risques ?
J'y ai cru quelques instants, mais en fait ce nouveau réglement sur la plaisance ne me permettra toujours pas de naviguer avec
mon petit carnet orange...
Il ne s'agirait donc que de "mesurettes" ? La pavillon Belge a encore de beaux jours devant lui !
Attention, ce texte n'est qu'un article paru dans Le Monde et n'a donc rien d'officiel. N'empêche, on reste encore une fois sur le
cul devant une telle incompétence.
Le sextant : "un tel instrument est-il toujours une nécessité à l'heure de l'ordinateur GPS et alors que "rares sont ceux qui savent
encore s'en servir" .
Bien sur que ça reste une nécessité au large !!!! C'est la seule manière de se positionner qui ne soit pas tributaire du bon vouloir
d'une administration.
"Les interrogations portent (...) sur l'intérêt d'une barre franche de secours et sur des objets comme une montre d'habitacle ou
un compas à pointe sèche."
Ah bon, c'est inutile ça ? Ce n'est pas mon avis, masi alors absolument pas.
Que l'on rende ces équipements non obligatoires est une chose, mais qu'on les présente comme inutile est abérant.
Ensuite, on passe la 5eme de 5 à 6 milles. Le texte du Mode dit "de la côte", mais je suppose qu'il s'agit d'un abri. Qui veut
m'expliquer ce que ça change ? Merci.
Désespérément déserpéré,
JMD
Ne soyons pas mauvais joueur. C'est déjà inespéré d'avoir fait ce premier pas vers une "libéralisation" de la sécurité en mer dans
la plaisance.
Il faut bien reconnaitre que le Gouvernement a rempli son role, après la tempete du Fastnet, en s'assurant que, à l'heure de
la "démocratisation" de la plaisance, les pères de famille inconscients ne périraient pas en mer faute de matériel de
sécurité "suffisant".
Depuis, la technologie a évolué (quoi qu'encore, on applique toujours ce bon viel Archimède ), et a permis de développer
d'autres games de matériel de sécurité.
Surtout, le marché technique a 20 ans de recul.
20 ans, pour une réglementation, c'est énorme. Il fallait l'adapter, voire la refondre.
On peut en attendre beaucoup, de ce projet de réglementation.
Il est vrai, comme le souligne JM. DELUY, que les journalistes ont parfois des propos calamiteux.
On espère bien que le compas, le sextant et la barre franche resteront toujours utiles en mer (à moins de piloter un fer à
repasser ultramotorisé).
Ce qu'il faut attendre de la réglementation, si seulement nous avions notre mot à dire, ce serait plutot d'évoluer d'un
système "tout normatif", vers un système incitatif, qui autorise une norme équivalente.
Il me vient tout d'un coup une idée folle: Et si nous nous saisissions de cette question?
C'est l'instant révé: le Secrétariat d'Etat à la Mer est pret à revoir sa réglementation.
Je vous propose donc de participer à une e-petition qui sera remise officiellement au MInistre avant la rentrée.
Cordialement
Ariel DAHAN
Bonjour,
pour un constructeur "amateur",le remaniement réglementaire en cours semble rester absurde;comment justifier la nécéssité de
pratiquer des mesures de stabilité "in vivo" alors que les calculs d'un architecte renommé sont disponibles,que la coque pontée-
lestée est certifiée cat A par le chantier pro.Des mesures de stabilité peuvent se justifier sur des machines de course mais sont
grotesques par ailleurs et bien entendues très couteuses;si la loi va réellement obliger un aménageur amateur de monocoque de
croisière à faire constater une stabilité déjà connue,,il ne me restera plus,à mon regret,qu'à compléter mon dossier pour obtenir
le pavillon belge sous lequel l'auto-certification est la règle,d'aiileurs simple application des directives communautaires.Merci de
votre réponse,en particulier sur le plan juridique.
suis en accord avec JMD, ce sera bien une réforme qui n'en sera pas une...
A croire que dans ce pays, aucune réforme de fond n'est possible...
Attristant pour notre pays et nos ports qui vont continuer à voir des bateaux sous pavillon belge ou autre...
En ce qui me concerne, il n'est pas question de remettre en cause mes choix en ce qui concerne la sécurité : ce ne sera pas le
pavillon français!
Cordialement,
Pol
Tout à fait d'accord avec les deux posts précédents, propriétaire d'un voilier construit en amateur sur plans d'un architecte pro,
avec courbe de stabilité largement au delà de bien des voiliers de séries. Pourquoi faire vérifier cette stabilité par un organisme
de certification ? Entre le cout et les conséquences pour le voilier, c'est complétement débile et m'incite a rester sous pavillon
belge. L'alternative est d'autocertifier son bateau, mais avec la catégorie C à la clé. Après, les contrôles se font rarement au
large. Quels sont les risques ?
J'y ai cru quelques instants, mais en fait ce nouveau réglement sur la plaisance ne me permettra toujours pas de naviguer avec
mon petit carnet orange...
Fabien
http://www.voilier-quasar.com