Sur la route de Grenada, la plus au sud des îles de notre périple, se trouve l’île de Carriacou, indispensable pour la qualité de ses abris (ici Tyrell Bay),

ses mouillages idylliques (ici Sandy Island) avec de superbes snorkelling,

ses spots wi-fi, utiles pour charger les photos sur le blog,  

 au bord de l'eau, 

 et en famille ce qui duplique le plaisir !

 Carriacou est aussi la plus septentrionales des trois îles de l’archipel de Grenade (Carriacou, Petite Martinique et Grenada), et donc l’endroit où on peut faire les formalités d’entrée (clearance, customs), par chance assez facilement, et dans un décor assez pittoresque (ici Hillsborough) et 

 et authentique, ici le ponton de débarquement polyvalent devant lequel on a mouillé (d’ailleurs, quelle est l’anomalie sur cette photo ?). 

Puis nous avons pris la direction de Grenada (derrière nous au loin le port de St Georges) où Jonas nous a rejoint, 

et grâce à qui nous avons fait une pèche miraculeuse, avec une bonite …

dont l’estomac contenait encore un poisson-volant !

et , coup sur coup, un thazard maquereau ! Ce qui m’a permis une fois de plus de prouver que le hameçon à 10 centimes recouvert de bouts de sacs en plastique est aussi efficace que le rapala à 10 € !

Nous avons réveillonné en famille au mouillage de Grande Anse, en face de la capitale St Georges Harbour, 

puis un énorme orage, spectaculaire et impressionnant pas ses éclairs et ses ondées a duré toute la nuit jusqu’au petit matin.

Surtout, notre passage à Grenada a été l’occasion de repérer le chantier nautique de Prickly Bay, une des baies du sud-ouest de l’île, très abritée et avec des belles maisons à l’influence encore très british de ce pays membre du Commonwealth.

Nous y avons pris RDV pour réparer l’avarie de safran … et de coque, que nous avons découverte sous l'eau (photo ci-dessus) 

 par hasard en faisant du rangement à l’intérieur d’un placard à l’avant babord. En effet, lors de notre rencontre avec la baleine, il y avait eu un double choc, à deux secondes d’intervalle : le premier à l’avant expliquant cette fissure, et le second à l’arrière expliquant l’avarie de barre. Si nous avions découvert cette fissure à 1000 miles des côtes, nous n’en aurions pas dormi de tout le reste de la transat !!!

Fort de ce RDV et des propos plutôt rassurants du chef de chantier, nous sommes repartis pour 15 jours avec les enfants dans les Grenadines, sujet du prochain post à suivre …

Merci à Jean-Baptiste, Caroline, Jonas, de leur contribution pour les photos.