Visit the "land of sea and sun"

Visit the "land of sea and sun"

Posté par : Bernard
05 Avril 2014 à 00h
Dernière mise à jour 05 Décembre 2014 à 17h
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C’est le nom que se donne le pays d’Antigua et Barbuda.

 

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 D’ailleurs, on vient de changer d’immatriculation de Volitans …

Les souvenirs d’Antigua que nous garderons de cette île sont ses eaux turquoises et ses « super » marinas…

 

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Voici l’entrée de la marina de Jolly Harbour : 0,8 miles ( 1,6 km) soit 15 mn d’annexe pour se rendre au ponton des douanes.

 

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Cette marina est immense et vide, et apparait peu vivante. De jolies maisons sur pilotis forment ses berges avec devant chacune, un parking à bateau comme celui-ci

 

 Les fonds sont en plateau à …2,5 / 3m. Autant dire que le sondeur (qui nous donne la profondeur) que nous avons réglé à 2m sous la quille sonnait tout le temps !  Et même dans le chenal d’accès.

 

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Cette vue du chenal est prise du haut du mat ou nous avons démonté l’anémomètre qui ne fonctionne plus.

 

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Magnifique vue de Deep bay  (Antigua) située juste au sud de la capitale St John, du fort qui la surplombe (Volitans  est à droite).

 

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Pour visiter la capitale St John, nous avons mouillé devant  le port de pêche par les mêmes faibles profondeurs et en eau trouble.

 

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Comme dans les autres îles des Caraïbes, les maisons sont gaies et colorées , et les voitures sont de beaux  4X4.

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Comme nous voyions l’église depuis le mouillage, nous avons marché jusqu'au parvis. Mais elle est en permanente restauration à cause des catastrophes naturelles (incendie, cyclone, tremblement de terre).

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Au retour des courses en ville,

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nous lavons l’annexe des potentiels insectes embarqués et indésirables à bord. Bernard en profite pour se rafraichir après la « suée » de la virée en ville, dans une eau a 27°C.

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L’eau est si chaude  que nous recherchons particulièrement les spots de snorkelling : voici un poisson coffre  " zinga "peu farouche.

 

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Sur les barrières de corail, un poulpe se camouflait grâce à sa peau « caméléon »

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Bernard  s’amuse à gratter la roche, ce qui attire les girelles.

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Et toute plongée  est réussie si l’on arrive à dénicher une murène dans son trou,

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Ou une raie, les tortues étant  tropfarouches pour être photographiées.

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Après plusieurs autres mouillages  sauvages, l’autre  marina renommée d’Antigua, « English harbour » à la fois le port de l’amiral Nelson et le point de départ des régates d’Antigua  chaque année en avril.

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L’exploration de l’île en vélo parmi les chèvres, nous a fait découvrir 

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le « donkey sanctuary » ou se retrouvent  les ânes  abandonnés . Nous avons  compati et parrainé  « Angel » dont la mère est décédée en arrivant dans le sanctuaire, suite à des mauvais traitements. Ce centre est subventionné par le gouvernement car en liberté,  ils provoquent des dégâts (accidents de voitures, section de canalisation et clôture abimées...)

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Par vent arrière en quittant Antigua,

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nous avons pêché  et vite relâché un barracuda non comestible, car suspect de ciguatera (intoxication par une toxine neurotrope). Mais nous sommes régalés quand même de deux thazards maqueraux.

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A Barbuda, les fonds sont tout aussi turquoises  le long d’une immense  et étroite plage déserte de 10 km  de long. Elle sépare la mer d’un lagon  tout aussi immense (devenu parc naturel) au bout duquel se trouve

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Codringtown, le principal village de l’île,  très étendu et composé de petites maisons distantes les unes des autres. Ce fut un jeu de piste que de trouver successivement la maison des douanes, puis celle de l’immigration, et enfin le bureau du port hébergé dans la poste.

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Pour accéder au village, nous avons donc porté l’annexe sur la dune à l’allée et au retour après avoir traversé le lagon pendant 35mn… C’est vrai que nous n’avons pas souhaité faire appel au « water taxi".

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En repassant sous le vent de l’île où se trouvent tous les abris de l’alizée d’est, nous nous régalons de crépuscules sur la mer.  (voir  l’île de Nevis à droite, destination  pour le mois d’avril)

 Nous ne désespérons pas d’arriver à saisir le « rayon vert » en photo. Nous l’avons clairement vu  deux ou trois fois, sous forme de lentille verte (comme peuvent  le témoigner Claire et Alice qui l’ont vu en Janvier à Grenada).

 

PS: cette note a difficilement été mise en ligne grâce au seul free wifi disponible dans la ville : celui de la zone "duty free" des paquebots de croisière du port ZAnte à St Kitts.

 

 

 

 

 

 

 

Compliments pour votre blog bien documenté et agréable à lire. J'y retrouve quelques souvenirs récents et je découvre aussi des endroits que je n'ai pas pu visiter, faute de temps. Je quitte bientôt les Antilles après 2 ans de visites par épisodes, aussi avons-nous peu de chances de nous rencontrer. Je vous souhaite une bonne continuation !

le rayon vert, le bleu turquoise, les photos sous marines, le sable fin... des rêves en direct ! profitez bien ! Simone, je pense souvent à ta question (peut on différencier un coucher d'un lever du soleil ?) quand j'observe le soleil se lever sur la cathédrale, en face du lycée, le matin, en controlant les cartes des élèves. C'est l'art de trouver de l'intérêt à une tâche ... qui n'en a vraiment pas ! je vous embrasse Annick

Coucou,je viens de montrer à Maïté toutes les photos de votre périple depuis le début. Voici ce qu'elle vous dit:"Félicitations pour ces belles photos qui m'ont permis de vivre avec vous des moments merveilleux.Profitez bien de vos derniers mois d'aventure.Ici tout va bien.Amicalement.A bientôt"Maïté. Je rajouterai:L'abricotier et le cerisier sont en fleurs,votre jardin est toujours aussi superbe au printemps mais ça ne vaut pas les paysages magnifiques qui sont votre quotidien.Merci pour le blog. Amitiés.Sabine.

commentaire d'expert : "Facile de photographier une murène, elle est borgne, elle ne peut rien voir !" Longue et heureuse vie à Angel. Alain vous conseille de le ramener à Préfailles pour tondre la pelouse ! Bises

Cher Bernard, Bonjour, J’espère que tout se passe toujours aussi bien pour toi et Simone. Je suis très content pour vous. Vous paraissez rayonnants de santé et de bonheur. Merci beaucoup pour ces belles photos, c’est vraiment magnifique ! Tu me donnes envie de partir un jour ! Je te souhaite encore plus de belles découvertes, plus d’émerveillement et toujours encore plus de bonheur. Au plaisir de te relire et de revoir prochainement. Très amicalement, Said HAJEM. PS. Mes sincères amitiés à simone.

Wow! Cette étape est suuuper belle! Continuez à bien vous régaler. Comme le disait un commentaire précédent, vous êtes rayonnants,cela fait très plaisir à voir. Je remarque que les petites Antilles se suivent et ne se ressemblent pas: cette couleur turquoise - incroyable! Mais l'une des baies d'Antigua fait tout de même penser aux Saintes, non?. Je constate aussi que vous êtes toujours aussi volontaires que sportifs: porter l'annexe pour traverser une dune, escalader le mât pour prendre une photo, rien ne fait peur aux SNBDG ; ) Je vois enfin que vous êtes de plus en plus amis des bêtes: jamais sans vos chèvres, jamais sans votre âne! J'ai hâte de montrer le blog aux enfants (ils sont en vacances, on les retrouve pour Pâques dans quelques jours), ils vont a-do-rer. J'espère que vous ne tomberez pas, lors d'une prochaine étape, sur des terriers suspects "à protéger" ou "en voie de disparition"... vous seriez peut-être obligés d'adopter un animal à longues oreilles?! Des bises de nous deux

Encore un super reportage ! Quelle variété offrent ces îles antillaises ! J'ai particulièrement apprécié vos photos sous marines - pas si faciles à réussir -. Très mignon votre couple parrainant l'ânon ... Si vs avez à ouvrir de nouveau des noix de coco je précise le truc dont je vs ai parlé. 1°/ vider l'eau en perçant 2 trous ( les yeux du singe ) 2°/Prendre la noix ds la main et avec un gros couteau ou une machette taper de petits coups avec le fil non coupant sur la circonférence médiane perpendiculaire à l'axe passant par le nez du singe . vs faite tourner la noix ds la main et à un moment on entend que la noix est fêlée. les 2 moitiés se séparent proprement de part et d'autre de la circonférence frappée. Il suffit alors d'extraire la pulpe avec la pointe d'un couteau. On récupère ainsi 2 moitiés de coque dont celle qui n'est pas percée peut être transformée en bol. A bientôt ! PS Huguette a eu un long contact tel. sympa avec Pierre.

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