2/11/14
Direction Santa Maria, au sud de l'île, en aluguer, plein comme un oeuf (14 personnes dans un 10 places).

Jolie plage de sable blanc, mer transparente, soleil de plomb supportable grâce au vent. Le paradis des surfeurs mais mouillage très rouleur. Il y a un petit débarcadère pour les annexes car à cause des rouleaux, il n'est pas possible de débarquer sur la plage.

Les ruelles du village sont agréables et on discute longuement avec Paulho, un capverdien qui parle pas mal français. Ces discussions sont toujours un peu intéressées parce que nous finirons par lui acheter une petite statuette en bois mais elles nous enrichissent aussi sur la culture et le mode de vie des habitants.

Plus loin ce sera Bleu, sénégalais, qui nous apprendra à jouer au "ouril", jeu en bois avec des cases et des pions provenant d'un fruit tropical. Pensant aux longues journées qui nous attendent en mer, nous nous laissons convaincre d'en acheter un. Ca changera du scrabble sur Ipad qui triche.

Sur la plage, des restaurants plutôt chers. Nous mangerons une très bonne "cachupa" avec du thon dans un petit resto conseillé par Bleu.

Une place de la rue principale offre le WiFi gratuit et plusieurs bars aussi.

Retour en aluguer (pick up Ford King Cab). Une fois assis, nous attendons qu'il se remplisse pour pouvoir partir. Le chauffeur fait plusieurs fois le tour des ruelles pour héler les passants. Pas grand monde dans les rues un dimanche après midi. Au bout de 10´ il a son compte et on peut y aller.

On rentre par Espargos où on rachète des bananes et des oeufs. Nous avions bien évidemment oublié d'emporter une des boîtes à oeufs que nous trimballons depuis 3 mois. C'est donc dans un sac plastique que ces 6 oeufs feront le trajet jusqu'au bâteau. Rien de cassé !
La devise du Cap Vert ; No stress !

Ce soir, à Palmeira, c’est soirée brochettes et musique.