Note de l'auteur : N'en voilà du texte et de la photo (surtout pour Blandine) mais ce ne sera pas toutes les semaines comme cela, ici à POVOA, l'internet est top.

Mardi : la nuit a été agitée, le vent soufle du Nord-Est 5 à 6 Beaufort, nous sommes quand même abrités dans ce mouillage au Sud des îles Cies mais il ne faudrait pas que le vent tourne plus à l'Est, ce serait intenable.

Phare des îles Cies, il faut y monter : c'est un super point de vue

Départ vers 9H00 sous génois seul à moitié roulé, nous sommes quand même à 8/9 nœuds et arrivons rapidement à Baïona, à la Marina Deportivo. Bon accueil mais les toilettes sont dans des containers (bof) et le réseau Wifi est déplorable : le téléchargement d'une photo dure des heures. Je trouve le prix un peu cher (33€ la nuit mais il me font 10% car je croyais que la carte STW me donnerait une réduction mais cette marina n'est plus labellisée) vu la prestation (en plus la marina n'est pas du tout à l'abri de ce vent de Nord-Est, il faut traverser la zone de manutention des bateaux pour accéder aux toilettes et à la ville). L'après midi nous faisons le tour des remparts de la citadelle, puis les ruelles de la vieille ville, super promenade.

Les remparts de la citadelle

Christa : elle est canon !!!

Baïona : La baie

Baïona : réplique de la Pinta

Bïona : Le vieux quartier vu de la citadelle

Baïona : rues du vieux quartier

Baïona : rue du vieux quartier

Baïona : rue du vieux quartier

 Nuit pas du tout tranquille avec le vent qui hurle dans le gréement et le ponton qui grince le long du pylône, j'y remédierais le lendemain en coinçant le bidule qui tourne avec un morceau de bois (j'attends toujours l'intervention du marinero qui devait réparer le truc).

Mercredi : nettoyage du bateau et de l'annexe, pliage et rangement de l'annexe sur le pont en vue de la descente des côtes du Portugal où il y a peu de mouillages en perspective, bricolage. Après midi touristique : re tour de la Citadelle mais cette fois au pied des remparts et dans le sens inverse pour changer, puis la vieille ville où il fais bon flâner à l'abri du vent et du soleil.

Baïona : promenade au bas des remparts

Grista a besoin d'un peu d'exercice, ne trouvez vous pas ?

Nous avons fait la connaissance d'un couple de jeunes retraités sur leur voilier « Horus » qui ont un projet similaire au nôtre (La Grèce) mais dans 1 an ou 2, nous resterons en contact.

Jeudi : Baïona_>Povoa de Varzim : Journée de voile merdique presque sans vent, nous avons tiré un grand bord vers le large pour en trouver un peu plus, nous arrivons tard à Povoa : presque 21H00 heure Française c'est à dire 20H00 heure Portugaise pour 50 milles parcourus !!!.

Vendredi : visite de la ville que je n'avait pas vue en 2009 suite aux problèmes moteur. Nous venons de louper LA grande fête locale de San Pedro (St Pierre) : la ville est pavoisée, les balcons sont décorés et il y des genres de crèches dans les quartiers.

Povoa : Eglise

Povoa : une crèche ?

Povoa : centre d'information touristique installé dans les anciennes halles

Povoa est aussi une station balnéaire

Samedi : journée dans le brouillard, nous aussi car nous avons mal dormi à cause de la sirène de brume toute proche, c'est la même « mélodie » que notre super marché au Croisic → bonjour les boules quies. Re visite de la ville et courses.

Povoa : La mairie

Povoa : rue pavoisée, on marche à l'ombre!!!

Povoa : maisons avec façades recouvertes de carrelage

Povoa : encore une crèche ?

Povoa : balcon pavoisé

Povoa : fresque relatant de drame de 1892 : la disparition de 105 pescadeiros (pêcheurs)

Dimanche : nous prenons le métro (qui est en surface) tout neuf (4 ans), climatisé jusqu'à la station centrale Trindad de Porto.

Povoa : le terminus du métro de Porto

Visite à pied, en fin de compte le quartier historique au bord du Douro n'est pas bien grand. Je suis stupéfait de l'état de délabrement qui règne, c'est sale. L'explication est que la ville n'incite pas les propriétaires à restaurer leurs immeubles (c'est leur problème). Les gens vont à Porto pour y travailler mais ils vivent à l'extérieur.

Porto : la cathédrale

Petit tour sur la ligne 22 d'un tramway d'époque.

Tram de la ligne 22

L'intérieur ultra moderne : les dossiers sont réversibles pour être dans le sens de la marche

Déjeuner dans un restaurant sur le quai. L'après midi nous franchissons le Douro par un pont qui date d'Eiffel mais qui a été consolidé pour le passage du métro tout en haut, en bas ce sont les voitures, les piétons peuvent emprunter les deux. Humour Anglais : en haut, pendant que je prends des photos, Christa qui se tient éloignée du bord dit à un Anglais j'ai peur car c'est très haut, l'Anglais répond, oui c'est très long, vous savez nager ?!

Porto : le pont

Porto : escaliers sans fin

Porto : barque typique servant au transport des barriques

Porto : le quai

Porto : belles façades surplombant le Douro

Porto : vue sur le quartier de la cathédrale

Porto : quartier tombant en ruines !!!

De l'autre côté c'est Gaïa, une belle promenade longe le Douro, belle vue sur Porto.

Gaïa : les barques de transport du... Porto bien sûr

Gaïa : vue sur Porto

Nous visitons une cave pour ne pas rester ignorant quand à la fabrication du fameux breuvage et repartons avec un blanc doux et un rouge « TAWNY » de 10 ans d'âge.

Gaïa : visite d'une cave : notre guide

Gaïa : visite d'une cave : la réserve

Retour tardif au boat, bien fatigués mais contents de notre escapade.

Lundi : lessives et bricolage le matin, mise à jour du blog et une dernière balade avant notre départ demain pour Aveiro.

Grosses bises des Marmottes.

 

25,26.Woche

Zu den Spaniern im Allgemeinen : Sie haben eine eigene Gangart, die Arme nach hinten zu schlendern, wirkt sehr 'locker' echt cool. Die weiblichen wesen tragen fast ohne Ausnahme langes Haarkleid, das ab 40 Jahren gerne auf brunett umgefaerbt wird, um kein graues Haar erkennen zu lassen, denke ich.Die Kuerze der Miniroecke und die Hoehe der Stoeckel laesst manchmal fast an Strichkatzen erinnern, sie legen sehr wert, 'weiblich' zu wirken. Der Mann liebt es, seine so weibliche Gefaehrtin aus zu fuehren. Aber gut, Aeusserlichkeiten koennen taeuschen

 

Von Portosin aus machen wir einen Tagesausflug mit dem Bus nach Santiago de Compostella. Die Fahrt ist etwas lange, weil man in Noia umsteigen muss und auf die Verbindung wartet. Bei der Ankunft laufen wir noch dazu in die falsche Richtung ins Zentrum. Endlich im Herzen der Stadt angelangt, werden wir von allen Seiten von Bustouristen begleitet, die schon um 9 Uhr 30 die Kirche anfuellen. Wir, so wie alle Leute, stellen uns an, um den hL Jacques im Altarbereich zu beruehren oder zu kuessen. Einige Pilger wohnen mit aeusserst frommer Miene an der darauf folgenden Messe bei. Auch wir versuchen, uns ganz zu sammeln und wuenschen uns und den Mitmenschen das Beste. Gegen Mittag bummeln wir durch den Markt und kaufen ganz gute Empanadas (spanische, vor Allem galizische Spez.), die wir auf einer Bank verspeisen.

Strassenmusikanten in mehreren Ecken lassen uns die Ohren mit bekannten Klaengen begluecken, leider keine traditionelle Musik. Am NM bewegen wir uns rechtzeitig Richtung Busbahnhof zurueck , wobei wir uns trotz Plan noch einmal etwas verlaufen und steigen 2 Min. vor der Abf. In den Bus ! Wir sind die Meister im Verlaufen.

 

Von Portosin nach Pontevedra. Wir ankern an einer kleien Insel, die zwischen den beiden Ufern der Ria liegt. Wir legen mit unserem Beiboot eine etwas laengere Strecke als ueblich zureuck , um den typischen Fischerort Combarro zu besichtigen. Der Weg hat sich gelohnt. Hier findet man ein echtes Fischertreiben mit bescheidenen Haeusern, aber auch sehr touristenorientiert. In den Getreidespeichern aus Stein auf Pfosten wurde einst der Mais aufbewahrt,getrocknet, und vor Ratten geschuetzt. Uebrigens werden wir seit mehreren Tagen von Knallkoerpern verfolgt, die auf das Petrusfest hinweisen, am Tage des Johannesfeuers begann das und hoert nach ca. einer Woche auf. Die Spanier moegen Krach zu jeder Tages- u. Nachtzeit.

 

Nach 2 Naechten von der Ria de Pontevedra raus, verbringen wir ein Paar Stunden mit wenig Wind und dichtem Nebel. In Richting Cies-Inseln bei Baiona blaest Jacques sehr oft ins Nebelhorn.

Gegen Mittag loest sich die 'Suppe' auf und wir ankern an einem suedlich gelegenen Strand der mittleren der 3 Inseln. Wir marschieren am NM zu den auf den Gipfeln gelegenen Leuchttuermen. Die Inseln stehen zum Teil unter Naturschutz. Leider nehmen wir neben unzaehligen Silbermoevenfamilien kaum andere Voegel wahr. Diese Gattung beherrscht offensichtlich die ganze Natur. Wir geniessen die Natur pur. Der herrliche Ankerplatz liegt zwar vom Wind aus relativ geschuetzt, jedoch werden wir durch unerwartete Stroemungen die beiden Naechte staendig hin- und hergerollt und schlafen somit nicht ausgiebig.

 

Den uebenaechsten Tag fahren wir in das gerade gegenueberliegende Baiona. Auch hier ist es nicht viel ruhiger. Der Hafen ist nicht genug geschuetzt. Noch dazu liegt das Boot ausserhalb des Dammbereiches. Wir sind lediglich von einem Wellenbrecher geschuetzt ! Der brausende Nordwind laesst uns kaum zur Ruhe kommen.Das Schoenste an Baiona ist fuer mich der Rundweg um die Festung, in der heute ein Paradore (Luxushotel,-kette) eingerichtet ist.

 

Nach 2 Naechten zieht es uns endlich nach Portugal. Wir reisen bis Povoa de Varcim noerdlich von Porto, wo wir uns ganze 5 Tage aufhalten.Fischerei, grosser Markt,viele Fassaden mit Keramik verkleidet, in allen Farben, die Kirchen hauptsaechlich in weiss-kobaltblau, eine Mischung aus moderner und alter Stadt, viele kleine Verkaufsboutiquen und ueberall freundliche und hilfsbereite Leute, nicht zu vergleichen mit dem Eindruck von Hochmut der Spanier. Noch dazu sprechen fasr alle franzoesisch ! Der Aufenthalt wird mit eine Fahrt nach Porto gespickt. Mit der direkten Metrolinie in weniger als 1 Std. zu erreichen. Ein ueberaus schoener Tag, Viele Fotomotive, Retaurant am Quai, am NM Besuch eines Porto-Weinkellers.

Der letzte Tag dient noch zum Waesche waschen, ordnen,....

Tschao, Christa & Jacques