Kastos et Kalamos en route vers le continent
Le 10/07/2011Kastos
Deux petites îles où nous espérons être tranquille, en dehors des circuits de location.
Nous choisissons port kastos. Tout va bien jusqu’à 18h. Les bateaux arrivent. Nous sommes mouillés au milieu alors que les bateaux viennent s’enfiler les uns à coté des autres au petit quai. Ils mouillent devant et reculent jusqu’à se faire une place. Combien vont-ils se mettre? Quelle est la limite… Nous finiront par être gênant à cause de l’évitement donc nous mouillons une ancre arrière. Plus nous avançons avec le monde plus nous allons être obligés de mouiller une encre à l’avant et un grand bout jusqu’à terre pour ne pas éviter. Notre difficulté c’est la marche arrière et d’évaluer les distances.
A Kastos nous rencontrons à la taverna une jeune française qui vit entre Patras et Kastos depuis 20 ans. Elle nous parle un peu de ce qu’elle perçoit de la gréce. C’est là comme dans nos campagne française, avec des jalousies entre familles et des mentalités peu évoluées qui restent fermées à toute évolution. Elle se plait moyennement par là et préfère de loin la Grèce autour de Thessalonique où il y a une plus grande solidarité entre les familles.
Le 11/07/2011 Astakos sur le continent.
Une petite ville qui vit d’un peu de tourisme essentiellement grec. Le tourisme a beaucoup baissé depuis 2 ans nous dit on. Les médias montrent les événements à Athènes mais là ça semble bien loin de la capitale. Tout pour nous semble tranquille sans qu’on se sente en insécurité. Aucun vol, ni pour l’annexe ni pour le bateau.
Nous mangeons à la taverna des produits locaux et la patronne qui parle surtout grec un peu d’anglais fait de très gros efforts pour nous satisfaire. Nous sommes loin de l’agitation de la voile de location.
Le 12/07/2011 retour sur Kalamos
Une île derrière Kastos. Avant nous nous arrêtons dans une baie sauvage pour se baigner et déjeuner. La vie n’est pas trop dure.
Nous choisissons de mouiller à Port Leone. Il n’y a pas de taverna donc nous devrions être plus tranquille.
Pour la première fois nous mouillons l’ancre à l’avant et un grand bout à un olivier sur la plage. Heureusement nous aurons de l’aide. Ce n’est pas facile de sauter dans l’annexe et porter une amarre à terre, tout en étant à la barre et en déroulant la chaîne.
Vers 18H le mouillage sauvage n’est plus vraiment sauvage….
Nous restons le 13/07 à Port Léone. Promenade, baignade
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