ARCHIPEL de MADERE du 5 novembre au 23 novembre 2013
L'île de Porto Santo du 5 au 14 novembre
Au loin l'île de Porto Santo est austère :
Des pans de montagnes volcaniques profondément érodés par les vents et les rares pluies
Des couleurs ocres foncées, rouges ou noires quelques tâches verts clairs.
Aux jumelles, des arbres se découpent sur les crêtes et la longue plage de sable doré apparaît.
Le petit port est sympathique avec sa longue digue Ouest peintes par les plaisanciers faisant escale.
Les falaises abruptes protégeant des vents dominants de Nord Est génèrent parfois des vents intérieurs assez forts. Nous modifions tous les 3-4 jours les points d'usures des amarres.
Les vélos nous permettent d’accéder très facilement au centre de la ville et au petit supermarché très bien achalandé.
Nous apprécions la température linéaire agréable, 21 ° en moyenne pendant notre séjour, et la tranquillité de cette île. Les habitants construisent des maisons neuves car les aides gouvernementales sont plus attractives pour le neuf et fleurissent leur terrasses. Les vieilles maisons sont abandonnées et s'écroulent dans un décor désertique.
Les randonnées en montagnes dont le pico Branco (450 m) sont riches en découvertes géologiques et offrent des vues superbes.
La représentation de la Cène en sculpture de bois, grandeur nature, dans l'église est saisissante et la visite de la maison de Christophe Colomb avec les explications de la guide est à ne pas rater.
Par contre le restaurant de la place touristique est à oublier.
Cette petite sœur de Madère nous a bien plu en cette saison quasi morte.
Rencontres : Miguel qui refait seul entièrement son bateau, Christophe, guide de haute montagne qui propose de naviguer autour du monde sur un Django 7,70 avec un piolet et un parapente, son site pour un beau voyage : http://www.intothewind.fr/, un couple d'anglais qui a fait deux fois le tour du monde, et un breton qui navigue seul sur son bateau bleu en alu, et, Gildas qui oh! Surprise se présente « Je viens de Logonna, de l'Anse du Bourg »
La veille du départ, entre deux averses , phénomène rarissime, nous laissons notre empreinte sur le mur de Porto Santo. La pluie pleure sur "notre oeuvre"
L'île de Madère du 14 au 23 novembre Madère.
Une courte de traversée de 26 miles et deux bords grand largue plus tard, l'Ericante est amarré à la marina très protégée de Quinta de Lorde à Madère.
Site magnifique avec restaurant, piscine extérieure, bar, et appartements de luxe, le tout fleuri dans un désert au propre comme au figuré. Car la ville la plus proche est à 14 km AR, inimaginable en vélo vu le relief très accidenté. Le car est éprouvant par la longueur des trajets, compter 1h30 pour aller à Funchal, les taxis sont très chers, il reste la location de voiture. Passer par Internet avec véhicule à prendre à l'aéroport. Nous partageons avec Gildas de compagnie très agréable, la location, les balades et les repas.
Madère culmine à plus de 1800 mètres. Chaque balade et aspect de l'île est un enchantement.
Pas de barres d’immeubles, des constructions individuelles ou collectives, jamais laides au regard. La nature aidée par le travail acharné et la persévérance des hommes y est luxuriante et variée. Un des résultats de ce travail s'appelle les levadas, petits canaux qui longent les montagnes et irriguent toute l'île basse. Au sommet la forêt primaire tropicale et en bas les cultures sur des terrasses étroites. Bananes, Christophines (délicieux cucurbitacées), cannes à sucre, vignes, céréales et des fleurs.
Album végétation.
Nos visites: Le jardin botanique de Funchal,
le musée de la baleine de Caniçal, deux circuits de levadas,
le tour de l'île en voiture : plage de Seixtal (2 cuillerées à soupe de sable pour la collection de Sylvie)
la piscine naturelle de Porto Moniz premier port de pêche historique de Madère
le village abandonné d'Achadas Da Cruz, dédié à la culture de la vigne désormais, accessible uniquement en petit téléphérique ou à pied
l'extrémité ouest de l'île: Ponta do Fargo
le village de Paul do Mar
le coucher de soleil sur la petite marina de la Calheta
et le vue époustouflante de la pointe Nord de l'île.
Au loin l'île de Porto Santo est austère :
Des pans de montagnes volcaniques profondément érodés par les vents et les rares pluies
Des couleurs ocres foncées, rouges ou noires quelques tâches verts clairs.
Aux jumelles, des arbres se découpent sur les crêtes et la longue plage de sable doré apparaît.
Le petit port est sympathique avec sa longue digue Ouest peintes par les plaisanciers faisant escale.
Les falaises abruptes protégeant des vents dominants de Nord Est génèrent parfois des vents intérieurs assez forts. Nous modifions tous les 3-4 jours les points d'usures des amarres.
Les vélos nous permettent d’accéder très facilement au centre de la ville et au petit supermarché très bien achalandé.
Nous apprécions la température linéaire agréable, 21 ° en moyenne pendant notre séjour, et la tranquillité de cette île. Les habitants construisent des maisons neuves car les aides gouvernementales sont plus attractives pour le neuf et fleurissent leur terrasses. Les vieilles maisons sont abandonnées et s'écroulent dans un décor désertique.
Les randonnées en montagnes dont le pico Branco (450 m) sont riches en découvertes géologiques et offrent des vues superbes.
La représentation de la Cène en sculpture de bois, grandeur nature, dans l'église est saisissante et la visite de la maison de Christophe Colomb avec les explications de la guide est à ne pas rater.
Par contre le restaurant de la place touristique est à oublier.
Cette petite sœur de Madère nous a bien plu en cette saison quasi morte.
Rencontres : Miguel qui refait seul entièrement son bateau, Christophe, guide de haute montagne qui propose de naviguer autour du monde sur un Django 7,70 avec un piolet et un parapente, son site pour un beau voyage : http://www.intothewind.fr/, un couple d'anglais qui a fait deux fois le tour du monde, et un breton qui navigue seul sur son bateau bleu en alu, et, Gildas qui oh! Surprise se présente « Je viens de Logonna, de l'Anse du Bourg »
La veille du départ, entre deux averses , phénomène rarissime, nous laissons notre empreinte sur le mur de Porto Santo. La pluie pleure sur "notre oeuvre"
L'île de Madère du 14 au 23 novembre Madère.
Une courte de traversée de 26 miles et deux bords grand largue plus tard, l'Ericante est amarré à la marina très protégée de Quinta de Lorde à Madère.
Site magnifique avec restaurant, piscine extérieure, bar, et appartements de luxe, le tout fleuri dans un désert au propre comme au figuré. Car la ville la plus proche est à 14 km AR, inimaginable en vélo vu le relief très accidenté. Le car est éprouvant par la longueur des trajets, compter 1h30 pour aller à Funchal, les taxis sont très chers, il reste la location de voiture. Passer par Internet avec véhicule à prendre à l'aéroport. Nous partageons avec Gildas de compagnie très agréable, la location, les balades et les repas.
Madère culmine à plus de 1800 mètres. Chaque balade et aspect de l'île est un enchantement.
Pas de barres d’immeubles, des constructions individuelles ou collectives, jamais laides au regard. La nature aidée par le travail acharné et la persévérance des hommes y est luxuriante et variée. Un des résultats de ce travail s'appelle les levadas, petits canaux qui longent les montagnes et irriguent toute l'île basse. Au sommet la forêt primaire tropicale et en bas les cultures sur des terrasses étroites. Bananes, Christophines (délicieux cucurbitacées), cannes à sucre, vignes, céréales et des fleurs.
Album végétation.
Nos visites: Le jardin botanique de Funchal,
le musée de la baleine de Caniçal, deux circuits de levadas,
le tour de l'île en voiture : plage de Seixtal (2 cuillerées à soupe de sable pour la collection de Sylvie)
la piscine naturelle de Porto Moniz premier port de pêche historique de Madère
le village abandonné d'Achadas Da Cruz, dédié à la culture de la vigne désormais, accessible uniquement en petit téléphérique ou à pied
l'extrémité ouest de l'île: Ponta do Fargo
le village de Paul do Mar
le coucher de soleil sur la petite marina de la Calheta
et le vue époustouflante de la pointe Nord de l'île.
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