Pour les Capitaines.

Salvador de Bahia est sans doute un port d’entrée au Brésil des plus pittoresques.

Sur le plan services nautiques on peut trouver tout, c’est plus facile de faire appel à Marcelo Brocchini, un agent multicarte, anglophone et dynamique. Il est connu comme le « loup blanc ».

 Les marinas : 

Bahia Marina.

Sur pendille au ponton lourd à l’entrée, pour les visiteurs. Annoncer son arrivé à la VHF. On ne nous vous répondra pas mais le comité d’accueil viendra à vous. Du ressac mais raisonnable. Coût élevé 760 rials la semaine pour un 45 pieds soit 305€. Environnement très sécurisé, restaurants (chers), bar. Sanitaires OK mais à l’autre bout du port. Accueil, excellent. Salle avec connexion internet. Wifi = 0   Magasin d’accastillage (minimal).  Peu de voiliers, pas de voisins avec qui partager. Situation : environnement calme mais un bon ¼ d’heure à pied du Commercio et l’ascenseur Lacerda.

Terminal nautico

1/4 de mile plus loin. Pendille sur ponton. Ressac+++ (demandé d’emblée des pneus sur amarres.) Annoncer son arrivé par VHF quelqu’un sera là pour vous indiquer une place. Coût 370 rials par semaine pour un 45pieds soit 148€. Sécurisé (enceinte de la Marine). Salle avec connexion internet. Wifi = 0

Accueil bon enfant. Nombreux services (dépôt gaz, blanchisserie). Sanitaires ok…La marina des voileux, brésiliens mais aussi suédois, argentins…

 Au centre du quartier Commercio prés du Marché Modelo le marché touristique et des ascenseurs Lacerda pour monter en haute ville. Stations taxi et lignes de bus. Environnement animé en plus des allées et venus de bateaux de service, de passagers et de la marine. Vous aurez droit aux coups de sifflet de bosco au haut-parleur et à la musique de la fanfare.

 Un pêcheur viendra vous proposé de temps à autre poissons et langoustes. Le « port de pêche » est à coté, en fait il s’agit de barques à rames…

 On est bien au Terminal  mais demandez des pneus pour amortir le ressac !

 On peut quitter pour quelques jours son emplacement, pour découvrir les environs et retrouver une place au retour, à condition qu’elle soit payée.

Voilà, Salvador on adore !