Brésil 05 - la côte des cocotiers -

Bonjour,
la suite de notre petit périple en voiture :
le 26 au matin en sortant de Praia de Forte, nous faisons une petite halte à la réserve de Sapiranga où un étudiant en environnement Edison nous fait découvrir la "Mata atlantica" forêt primaire préservée.
On retrouve des ouistitis dans leur milieu naturel.
Belle balade !
Les explications sont en portugais mais on comprend presque tout ...
Une noix de cajou sous son fruit.
Toutes les plantes ont leur utilité.
Dans la journée un petit arrêt dans la bourgade de Imbassai.
Du village à la plage en bateaux poussés par des perches.
Encore une plage superbe.
Seule au monde !
Comme souvent sur cette "côte des cocotiers" : le rio à droite, la mer à gauche.
La plage du rio est bondée, elle !
Ces rios ont beaucoup de charme.
Les arbres d'alignement ne sont pas des platanes.
De petites bourgades se lancent dans un tourisme très populaire.
Pendant cette balade nous parcourerons plus de 1000 km de plages !
Le rio n'est jamais loin.
Nous partons en direction de Barra de Itariri par une piste en sable peu engageante.
Avec des ponts qui n'inspirent pas trop confiance.
Des rencontres pittoresques !
Quand donc arriverons nous à la mer ?
A nouveau un rio très fréquenté avec une barre de rochers à l'embouchure qui le protège et crée une sorte de lagune très appréciée.
Nous partons et arrivons assez tard à Pénédo, charmante petite bourgade le long du Rio San Francisco.
La vue de la chambre de l'hôtel.
Toujours des églises ...
Le Rio San Francisco : fleuve important de la région.
Après un bon repas à l'hôtel : crevettes au curry et "petit gateau" (en brésilien celà désigne un fondant au chocolat accompagné d'une glace vanille) et une bonne nuit, c'est reparti !
Encore un joli rio.
Et toujours des cocotiers !
Nous arrivons à Diogo à marée basse.
Avec une plage immense !
Des piscines naturelles dans les rochers.
Les grands espaces !
Et le plaisir de foncer sur une plage déserte : grisant !
Les bateaux de pêcheurs sont nombreux.
La lagune de la Prai gunga : avec la barre qui la sépare de la mer. C'est superbe.
Il y a même un bateau au mouillage dans cette lagune; Comment est-il rentré ?
Le lieu est très fréquenté.
Mais les plages sont immenses, il n'y a donc pas vraiment foule.
En route nous découvrons un rendez-vous de cow-boys !
Et nous arrivons à Maragogi, notre point de chute pour deux nuits. La pousada est à gauche et la mer est à droite.
Une promenade au clair de lune sur la plage.
La plage de jour.
Nous esperons faire de la plongée (masque et tuba) car la barrière de corail (nous sommes sur la "côte de corail") qui est à 2 ou 3 kilomètres au large est une réserve naturelle. Il faut se faire transporter par bateau jusque là.
Après avoir eu une frayeur car on nous a expliqué que c'était un jour où la barrière était interdite au public. Nous trouvons un local qui nous propose de nous emmener (illégalement ?).
Après 15 minutes de bateau nous sommes sur les lieux.
La barrière de corail est là et curieusement l'eau est peu profonde.
Superbe plongée avec des poissons de toutes sortes.
De curieux petits voiliers promènent les touristes jusqu'à la barrière de corail.
Un peu d'exercice ça fait du bien !
Retour à la piscine de la pousada (la mer en arrière plan).
Une petite halte à Porto de Galinhas (galinhas c'est les poules : emblème de cette petite bourgade très touristique).
Le mélange des pêcheurs et des touristes est toujours pittoresque.
En fin de journée nous arrivons à notre pousada à Olinda, célèbre petite ville contiguë à Récife. Nous profitons bien sûr de la piscine car il fait très chaud.
Les petites rues pavées et les vielles façades sont nombreuses.
Olinda est construite sur une colline : la pente est parfois rude.
Mais la vue superbe !
Toujours ces façades colorées !
Cette petite commune compte plus d'une quinzaine d'églises !
Encore de l'or !
Nous dînons dans un petit restaurant gastronomique fondé par un français.
Le soir, l'ambiance est au rendez-vous : on prépare le carnaval.
Une petite video pour vous mettre l'eau à la bouche.
Olinda est une ville d'artistes et fourmille de galeries d'art.
En partant le lendemain, nous faisons un détour par l'île d'Itamaraca, reliée à la côte par un pont.
Qui enjambe une belle lagune bordée de mangrove.
Nous visitons un centre dédié au Peixe-boi (poisson vache), c'est à dire aux lamentins (nombreux sur ces côtes).
Des petits abandonnés ou des adultes blessés sont recueillis.
Des jeunes naissent parfois au centre et sont ensuite relâchés.
Le centre est au bord de la mer.
Nous repartons pour Jacare. Nous sommes arrêtés par des travaux. Cet énorme bouchon fait le bonheur de nombreux marchands ambulants.
Ravis de notre voyage mais aussi ravis de rentrer. Petit bémol, j'en ai marre de faire la potiche sur les photos ! Pas une potiche un modèle, une muse ...
Nous retrouvons avec plaisir le bateau et les copains : Pantxo et Arantxa nos amis basques viennent d'arriver de leur transat, nous avons fait la connaissance par hasard à Olinda de nos voisins de ponton (le monde est petit) Christian et Laurence, nous préparons notre voyage en Amazonie avec Guy et Nicole.
Et le carnaval approche ...
A bientôt pour la suite de nos aventures.
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Anonyme (non vérifié)
2 Février 2013 - 12:00am
Le muse (potiche) est bien
Anonyme (non vérifié)
2 Février 2013 - 12:00am
moi je n'appelle pas cela une
Anonyme (non vérifié)
2 Février 2013 - 12:00am
C'est vrai qu'elle est belle
Anonyme (non vérifié)
2 Février 2013 - 12:00am
Pas autant que sa fille !!!
Anonyme (non vérifié)
3 Février 2013 - 12:00am
c'est ma maman !