Les Malouines telles qu’on se les imagine
Du vent, encore du vent, toujours du vent…
Ah ce vent… Il est bien sûr indissociable des Malouines… mais s’il est stimulant les premiers jours, il devient finalement obsédant, soûlant.
Il souffle 3 jours sur 5 entre 20-25 nœuds, avec des rafales à 30, 1 jour sur 5 entre 30 et 35 nœuds, rafales à 45 (voire 55 comme aujourd’hui) et, mais oui, quand même, un jour presque calme de temps à autre.
De la pluie… mais étonnamment très peu : 3 jours à peine arrosés sur les 16 passés ici.
Seulement 15 minutes entre ces 2 photos
Des côtes sauvages, des épaves, des ciels tourmentés, des lumières époustouflantes…
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Mais aussi des manchots (beaucoup), oiseaux (encore plus) ou des dauphins, des lions de mer…
Des monuments aux morts aussi et même Madame Thatcher coulée dans le bronze
Des moutons, des dizaines (centaines ?) de milliers de moutons… des « camps » (fermes), immenses, perdues au bout du monde dans un paysage sans arbres (ou presque).
Goose Green : 150’000 hectares, 70’000 moutons. Fitzroy : 35’000 moutons…
Ces sont bien les Malouines telles qu’on se les imaginait…
Et il y a aussi des surprises aussi à découvrir dans un autre article à venir