En 1998, avec un couple de copains (propriétaire du bateau), nous avons projeté une transat (Marseille-Guadeloupe) .Avec ce copain, nous nous entendions comme deux frères, mais avant le départ, il s'est trouvé "une copine" (une peu "space") .La mésentente a débuté trés vite entre les deux femmes (pour des futilités culinaires) mais ,bien sur, les hommes ont pris le parti de défendre leur chérie.
L'ambiance s'est vite détériorée et nous (les équipiers), nous avons débarqué au Cap Vert pour faire du bateau stop.
A Mindello, il y avait pas mal de bateaux au mouillage parés pour la traversée, ce qui nous a permis de trouver un embarquement assez facilement. Néanmoins , c'est assez stressant comme expérience, mais aussi trés stimulant (il faut savoir se présenter et donner envie au skipper de vous prendre) .
Nous avons été pris par un couple qui ,depuis, est resté des amis trés trés proches . Nous avons passé des moments merveilleux et inoubliables . (et poutant, nous ne les connaissions pas)
Aujourd'hui, j'ai mon bateau et je navigue souvent avec des amis. C'est vrai que pour eux, ils viennent en vacances , alors que le cap doit gérer tout son petit monde. Mais il faut avouer que, sur 15 ans de navigation, (soit en tant qu'équipier, soit en tant que skipper) je n'ai eu qu'une seule mauvaise expérience . Donc ,ça vaut le coup !!!!
STW a un peu amélioré la bourse des équipiers en publiant le texte suivant, en tête de toute offre et en matière d'avertissement, selon une proposition que j'ai faite :
Information aux candidats équipiers :
De nombreuse demandes d'embarquement font référence à une transat ; c'est une demande bien légitime pour un individu ou un couple ; cependant, ce genre de demande émane de temps à autre d'équipiers sans expérience ou pire, n'ayant jamais navigué.
Ces candidats doivent bien réaliser qu'aucun skipper sérieux n'acceptera de les embarquer d'entrée pour une transat, sans s'assurer qu'au minimum il pourront maîtriser leur physique (santé, froid, mal de mer...) pour être opérationnels et participer à la manoeuvre ; car une fois parti, c'est pour plusieurs semaines...sans possibilité de débarquement.
C'est pourquoi il est vivement conseillé à ces candidats à l'aventure authentique que constitue la navigation hauturière réelle, de solliciter de manière raisonnable un ou deux embarquements d'essai pour des étapes beaucoup plus courtes, afin qu'ils puissent acquérir une vue réaliste de la vie en haute mer ; et faire état ensuite de cette expérience auprès des skippers qui les accueilleront.
En dehors des supers potes qui naviguent habituellement avec vous le mot "équipier" est source d' emm....dement au plus haut point.
Marcel Bardiaux avait choisi un petit bateau (à l' époque la technique n' était pas celle d' aujourd' hui...) rien que pour une bonne maitrise en solo. S" équiper au max pour éviter un équipier est certainement LA meilleure solution. C' est terrible de dire une chose pareille mais c' est mon point de vue : un bon enrouleur vaut mieux qu un mauvais équipier !...
Dans son roman "Mardi" Herman Melville parle avec humour de l'équipier paresseux (chap. III) et de l'équipier taciturne "qui tire une tronche de diacre excommunié" (chap.XI). Dans toutes les bonnes bibliothèques. Bonne lecture....
Bien que dans la moyenne, vous en parliez de façon hostile, le sujet que vous abordez est la raison pour laquelle je suis venu sur ce site...
Alors je me lance :
Totalement inculte en matière de navigation, j'ai comme projet de traverser l'atlantique avec ma compagne en tant qu' équipiers sur un voilier...
Je vous invite à consulter mon profil pour vous faire une idée de la façon dont nous abordons cette aventure...
Vous qui semblez en savoir long sur le sujet, combien de temps peut prendre la formation d'un équipier et si l'un d'entre vous a eu vent d'une expérience du genre, pourrait-il me dire si mon projet est envisageable...
Cordialement,
bons vents à tous... (ça se dit comme ça...?!)
merci d'avance pour vos réponses...
Papyrus a écrit :
combien de temps peut prendre la formation d'un équipier et si l'un d'entre vous a eu vent d'une expérience du genre, pourrait-il me dire si mon projet est envisageable... Cordialement, bons vents à tous... (ça se dit comme ça...?!)
Il y a la technique qui peut s'apprendre assez vite, et les relations humaines, où aucune règle n'est intangible. Un skipper sera forcément réticent à embarquer pour une transat des équipiers totalement novices : quid des réactions imprévisibles au grand large, à la navigation de nuit, à la vie commune en espace réduit, au mal de mer ?
D'un autre côté, les équipiers qui ont tout fait, connaissent tout et prennent volontiers le bateau en mains à la place du skipper créent un climat lourd voire franchement odieux ; mieux vaut en effet des plus ou moins débutants (qu'on va dresser à sa manière ! ).
Je vous suggèrerais donc une petite formation minimum style les Glénans pour acquérir les bases et le vocabulaire, puis sortir en côtier pour tester un peu différentes conditions de navigation.
En couple ça peut être formidable mais ça peut aussi révéler des petits décalages qui ne manqueraient pas d'éclater au grand jour en croisière hauturière, donc autant les connaître d'avance.
Cela dit, vous avez visiblement une motivation qui est sympathique et qui vous mènera loin, c'est certain.
Bon vent (oui c'est ça !).
quelques bonnes lectures préliminaires bien au chaud chez soi vous donneront le ton de ce qui attend tout être humain en pleine mer. A commencer par les "bibles" historiques qui ne vieillissent pas plus que les vagues et le vent :
* Cours de navigation des Glénans,
* Navigation par gros temps (Coles),
* Almanach du Marin Breton, ...
En vente dans toutes les bonnes librairies maritimes.
Ensuite, comme dit plus haut, faire de petits embarquements courts, mais y compris par mauvaise mer : ne pas négliger les angoisses cachées qui ressurgissent chez des allergiques à la mer, avec le cortège des mals de mer et autres malaises qui pourrissent la vie du bord.
On ne part pas loin pour fuir ou jouir, on part pour découvrir d'autres mondes ... Cette envie humaine date de la nuit des temps ...
Je confirme ce qui a été dit ci-dessus: commencer par un stage de voile pour les deux dans des conditions difficiles de préférence.
J'emmène volontiers des débutants pour des sorties courtes par beau temps, mais en croisière je me sens plus en sécurité seule qu'avec des équipiers dont les réactions imprévisibles font au pire courir des risques et au mieux stresser le skipper.
Bonjour à tous et merci à vous 3 (Teles, Ofournier et Christianeb) pour vos réponses qui donnent bon espoir...!
Tout d'abord, mille excuses pour le délai de contre-réponse...
Nous avons enquêté quelques temps auprès d'autres sources, et les Glènans semblent en effet un passage de bonne augure...!
Nous envisageons donc un stage de 15 jours (1 semaine d'initiation et 1 semaine en navigation côtière, niveau 1 voile).
Pour le financement nous allons donc vendanger en septembre, avant de nous y coller fin octobre. Pensez-vous qu'il y aura suffisement gros temps et conditions suffisement "hostiles" pour nous mettre véritablement à l'épreuve ?!
Conscients que ce premier contact ne fera pas de nous de vrais loups de mer, nous espérons enchaîner tout de suite dans le coin (Bretagne) avec quelques autres expériences côtières ... "hors scolarité"!!!
A ce sujet, et sans vouloir abuser, si l'un(e) d'entre vous, ou de vos connaissances, se trouve dans le coin à cette période, sachez que vous y trouverez les deux moussaillons les plus dévoués et motivés de toutes les alpes pour partager vos expériences à l'occasions de balades éventuelles...!
Maritimement votres, bons vents et à bientôt
William et Hélène
Nous envisageons donc un stage de 15 jours (1 semaine d'initiation et 1 semaine en navigation côtière, niveau 1 voile).
Pour le financement nous allons donc vendanger en septembre, avant de nous y coller fin octobre. Pensez-vous qu'il y aura suffisement gros temps et conditions suffisement "hostiles" pour nous mettre véritablement à l'épreuve ?!
Conscients que ce premier contact ne fera pas de nous de vrais loups de mer, nous espérons enchaîner tout de suite dans le coin (Bretagne) avec quelques autres expériences côtières ... "hors scolarité"!!!
Je suis moi-même dans la région de St Malo et je navigue assez tard dans la saison, et tard veut dire la période où les candidats équipiers ou la famille a déjà abandonné toute navigation, souvent pour cause de pluie et de température.
restez en relation avec moi sur d.conversat@stw.fr et nous pourrons peut-être convenir d'un stage côtier + anglo-normandes par esemple
Juste pour alimenter ce sujet sur les équipiers : étant en manque d'équipiers, j'ai écrit à une bonne quinzaine d'annonces de candidats équipiers sur ce site et ailleurs.
Un seul (!) s'est donné la peine de répondre.
Tous les autres, silence radio, ni non ni merde.
C'est peut-être pareil pour les skippers... En tout cas ça commence mal !
Et bien nous èspèrons bien pouvoir un jour relever l'estime que les skipeurs semblent avoir des équipiers, en tout cas, celui qui nous embarquera ne sera pas déçu...!
Le projet avance, nous sommes tous deux inscrits au Glénans (Septembre pour will, octobre pour Hélène). Dispos début novembre...! Mais bon tout est dans le profil pour ceux que ça intéresse...!
Est-ce que les skipeurs passent aussi par les bourses aux équipiers et annonces pour les plus petits trajets, histoire de nous roder, ou bien, faut-il plutôt compter sur le bouche à oreille, et les rencontres directement au port...
Nous avons posé une annonce sur la bourse aux équipiers de ce site pour la transat, et nous nous demandons s'il faut aussi passer une annonce pour les petits trajets...?!
Toujours bredouiles, notre recherche va commencer à s'intensifier : est-ce qu'elqu'un pourrait nous indiquer des magasinnes de voile sérieux et fiables pour consulter et passer des annonces...?
Encore merci à tous pour tous ces précieux renseignements
Maritimement dévoués,
Hélène & Will. 06.21.48.46.36
Ok,je cherche des equipier(e)s pour un TDM sur ketch de 16M.Personnes interessées priére me contacter sur mon email.
Est-ce que je peux m'accrocher derrière avec mon Optimist ?
Oui mais pas besoin de s'accrocher avec l'optimist.A bord c mieux. y'a d'la biére, y'a du champagne.Y'a d'la joie.
En 1998, avec un couple de copains (propriétaire du bateau), nous avons projeté une transat (Marseille-Guadeloupe) .Avec ce copain, nous nous entendions comme deux frères, mais avant le départ, il s'est trouvé "une copine" (une peu "space") .La mésentente a débuté trés vite entre les deux femmes (pour des futilités culinaires) mais ,bien sur, les hommes ont pris le parti de défendre leur chérie.
L'ambiance s'est vite détériorée et nous (les équipiers), nous avons débarqué au Cap Vert pour faire du bateau stop.
A Mindello, il y avait pas mal de bateaux au mouillage parés pour la traversée, ce qui nous a permis de trouver un embarquement assez facilement. Néanmoins , c'est assez stressant comme expérience, mais aussi trés stimulant (il faut savoir se présenter et donner envie au skipper de vous prendre) .
Nous avons été pris par un couple qui ,depuis, est resté des amis trés trés proches . Nous avons passé des moments merveilleux et inoubliables . (et poutant, nous ne les connaissions pas)
Aujourd'hui, j'ai mon bateau et je navigue souvent avec des amis. C'est vrai que pour eux, ils viennent en vacances , alors que le cap doit gérer tout son petit monde. Mais il faut avouer que, sur 15 ans de navigation, (soit en tant qu'équipier, soit en tant que skipper) je n'ai eu qu'une seule mauvaise expérience . Donc ,ça vaut le coup !!!!
STW a un peu amélioré la bourse des équipiers en publiant le texte suivant, en tête de toute offre et en matière d'avertissement, selon une proposition que j'ai faite :
Ces candidats doivent bien réaliser qu'aucun skipper sérieux n'acceptera de les embarquer d'entrée pour une transat, sans s'assurer qu'au minimum il pourront maîtriser leur physique (santé, froid, mal de mer...) pour être opérationnels et participer à la manoeuvre ; car une fois parti, c'est pour plusieurs semaines...sans possibilité de débarquement.
C'est pourquoi il est vivement conseillé à ces candidats à l'aventure authentique que constitue la navigation hauturière réelle, de solliciter de manière raisonnable un ou deux embarquements d'essai pour des étapes beaucoup plus courtes, afin qu'ils puissent acquérir une vue réaliste de la vie en haute mer ; et faire état ensuite de cette expérience auprès des skippers qui les accueilleront.
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On peut espérer que cette mise en garde évitera quelques erreurs de casting !
Daniel CONVERSAT
En dehors des supers potes qui naviguent habituellement avec vous le mot "équipier" est source d' emm....dement au plus haut point.
Marcel Bardiaux avait choisi un petit bateau (à l' époque la technique n' était pas celle d' aujourd' hui...) rien que pour une bonne maitrise en solo. S" équiper au max pour éviter un équipier est certainement LA meilleure solution. C' est terrible de dire une chose pareille mais c' est mon point de vue : un bon enrouleur vaut mieux qu un mauvais équipier !...
Dans son roman "Mardi" Herman Melville parle avec humour de l'équipier paresseux (chap. III) et de l'équipier taciturne "qui tire une tronche de diacre excommunié" (chap.XI). Dans toutes les bonnes bibliothèques. Bonne lecture....
Bien que dans la moyenne, vous en parliez de façon hostile, le sujet que vous abordez est la raison pour laquelle je suis venu sur ce site...
Alors je me lance :
Totalement inculte en matière de navigation, j'ai comme projet de traverser l'atlantique avec ma compagne en tant qu' équipiers sur un voilier...
Je vous invite à consulter mon profil pour vous faire une idée de la façon dont nous abordons cette aventure...
Vous qui semblez en savoir long sur le sujet, combien de temps peut prendre la formation d'un équipier et si l'un d'entre vous a eu vent d'une expérience du genre, pourrait-il me dire si mon projet est envisageable...
Cordialement,
bons vents à tous... (ça se dit comme ça...?!)
merci d'avance pour vos réponses...
Il y a la technique qui peut s'apprendre assez vite, et les relations humaines, où aucune règle n'est intangible. Un skipper sera forcément réticent à embarquer pour une transat des équipiers totalement novices : quid des réactions imprévisibles au grand large, à la navigation de nuit, à la vie commune en espace réduit, au mal de mer ?
D'un autre côté, les équipiers qui ont tout fait, connaissent tout et prennent volontiers le bateau en mains à la place du skipper créent un climat lourd voire franchement odieux ; mieux vaut en effet des plus ou moins débutants (qu'on va dresser à sa manière !
).
Je vous suggèrerais donc une petite formation minimum style les Glénans pour acquérir les bases et le vocabulaire, puis sortir en côtier pour tester un peu différentes conditions de navigation.
En couple ça peut être formidable mais ça peut aussi révéler des petits décalages qui ne manqueraient pas d'éclater au grand jour en croisière hauturière, donc autant les connaître d'avance.
Cela dit, vous avez visiblement une motivation qui est sympathique et qui vous mènera loin, c'est certain.
Bon vent (oui c'est ça !).
Bonjour,
quelques bonnes lectures préliminaires bien au chaud chez soi vous donneront le ton de ce qui attend tout être humain en pleine mer. A commencer par les "bibles" historiques qui ne vieillissent pas plus que les vagues et le vent :
* Cours de navigation des Glénans,
* Navigation par gros temps (Coles),
* Almanach du Marin Breton, ...
En vente dans toutes les bonnes librairies maritimes.
Ensuite, comme dit plus haut, faire de petits embarquements courts, mais y compris par mauvaise mer : ne pas négliger les angoisses cachées qui ressurgissent chez des allergiques à la mer, avec le cortège des mals de mer et autres malaises qui pourrissent la vie du bord.
On ne part pas loin pour fuir ou jouir, on part pour découvrir d'autres mondes ... Cette envie humaine date de la nuit des temps ...
Je confirme ce qui a été dit ci-dessus: commencer par un stage de voile pour les deux dans des conditions difficiles de préférence.
J'emmène volontiers des débutants pour des sorties courtes par beau temps, mais en croisière je me sens plus en sécurité seule qu'avec des équipiers dont les réactions imprévisibles font au pire courir des risques et au mieux stresser le skipper.
Bonne chance.
Bonjour à tous et merci à vous 3 (Teles, Ofournier et Christianeb) pour vos réponses qui donnent bon espoir...!
Tout d'abord, mille excuses pour le délai de contre-réponse...
Nous avons enquêté quelques temps auprès d'autres sources, et les Glènans semblent en effet un passage de bonne augure...!
Nous envisageons donc un stage de 15 jours (1 semaine d'initiation et 1 semaine en navigation côtière, niveau 1 voile).
Pour le financement nous allons donc vendanger en septembre, avant de nous y coller fin octobre. Pensez-vous qu'il y aura suffisement gros temps et conditions suffisement "hostiles" pour nous mettre véritablement à l'épreuve ?!
Conscients que ce premier contact ne fera pas de nous de vrais loups de mer, nous espérons enchaîner tout de suite dans le coin (Bretagne) avec quelques autres expériences côtières ... "hors scolarité"!!!
A ce sujet, et sans vouloir abuser, si l'un(e) d'entre vous, ou de vos connaissances, se trouve dans le coin à cette période, sachez que vous y trouverez les deux moussaillons les plus dévoués et motivés de toutes les alpes pour partager vos expériences à l'occasions de balades éventuelles...!
Maritimement votres, bons vents et à bientôt
William et Hélène
Je suis moi-même dans la région de St Malo et je navigue assez tard dans la saison, et tard veut dire la période où les candidats équipiers ou la famille a déjà abandonné toute navigation, souvent pour cause de pluie et de température.
restez en relation avec moi sur d.conversat@stw.fr et nous pourrons peut-être convenir d'un stage côtier + anglo-normandes par esemple
Juste pour alimenter ce sujet sur les équipiers : étant en manque d'équipiers, j'ai écrit à une bonne quinzaine d'annonces de candidats équipiers sur ce site et ailleurs.
Un seul (!) s'est donné la peine de répondre.
Tous les autres, silence radio, ni non ni merde.
C'est peut-être pareil pour les skippers... En tout cas ça commence mal !
Et bien nous èspèrons bien pouvoir un jour relever l'estime que les skipeurs semblent avoir des équipiers, en tout cas, celui qui nous embarquera ne sera pas déçu...!
06.21.48.46.36
Le projet avance, nous sommes tous deux inscrits au Glénans (Septembre pour will, octobre pour Hélène). Dispos début novembre...! Mais bon tout est dans le profil pour ceux que ça intéresse...!
Est-ce que les skipeurs passent aussi par les bourses aux équipiers et annonces pour les plus petits trajets, histoire de nous roder, ou bien, faut-il plutôt compter sur le bouche à oreille, et les rencontres directement au port...
Nous avons posé une annonce sur la bourse aux équipiers de ce site pour la transat, et nous nous demandons s'il faut aussi passer une annonce pour les petits trajets...?!
Toujours bredouiles, notre recherche va commencer à s'intensifier : est-ce qu'elqu'un pourrait nous indiquer des magasinnes de voile sérieux et fiables pour consulter et passer des annonces...?
Encore merci à tous pour tous ces précieux renseignements
Maritimement dévoués,
Hélène & Will.