bonjour,pour commenter ton message,je te dirais qu'il ne faut pas confondre équipier et client,et il me semble a regarder les
tarifs que tu propose que c'est plutot des clients que tu recheches,il ne faudra pas s'étonner de parfois mal tomber!
Salutations d'un équipier professionnel.
Tout à fait d’accord. En tant que skipper je ne m’en prends qu’à moi si j’ai fait un mauvais choix – et pourtant je ne demande que le remboursement des frais occasionnés par les équipiers (nourriture, pas gas oil ni ports).
En tant qu’équipière j’ai souvent payé cher le droit de me faire engu… sans motif – même quand je partageais les frais d’un convoyage au moteur !
La seule parade contre les incompétents de tout genre serait de contacter leurs anciens équipiers ou skippers – pas facile.
Pétants, incompétents, cons, confirmés, heureux, dangeureux, pour les longues traversées, l'important c'est que le courant passe à mon avis. Je suis assez pour une co-évaluation à terre. Trois ou quatre nuits passées sous une petite tente au camping municipal, par pluie torrentielle, ça doit bien le faire. Un test au bar aussi, à chanter sur les tables, c'est important. Ca passe ou ça casse. Olé!
ouin, ouin, par expérience (la mienne depuis ... 1963 et celle de vieux copains marins pros et amateurs) je retourne la question pour bien coller à la réalité :
bien choisir son "capitaine" !
Le monde de la Marine, comme partout ailleurs, est peuplé de "petits chefs" mais quand on est enfermés dans un petit canote, certains "Maîtres aprés Dieu" modernes mériteraient qu'on fassent comme ceux du "Bounty" !
Ces gars là, hors leur égocentrisme borné et asocial, sont dangereux car persuadés qu'ils sont les seuls à détenir la vérité marine ...
Le dernier en date dont nous avons supporté plus de deux semaines les délires autoritaristes, son incompétence alliée à son angoisse de naviguer sous voiles (surtout par bon vent, un comble !), se reconnaîtra peut-être ...
En tous cas, les conseils donnés au dessus, de rencontrer les "clients" à terre avant d'embarquer, valent pour les deux "parties".
Je n'irai pas jusqu'à ce que m'a dit un vieux marin-pêcheur qui navigue maintenant seul à la voile sur l'Atlantique : "n'embarquez jamais avec un propriétaire qui ne peut pas se passer un jour de glaçons dans son apéro à bord ..."
Mais que de joies et de bons moments partagés en mer la plupart du temps avec de bons capitaines et/ou avec de bons équpiers(ères) un minimum équilibrés psychologiquement : Priorité au plus compétent dans le domaine qui a la priorité à un moment donné : Simple.
J'abonde dans le sens de Ofournier plus haut parce que j'ai été équipière dans le Pacifique sur plusieurs bateaux. Mais si j'étais capitaine et propriétaire d'un bateau, je me méfierais des équipiers/ères avant de les embarquer pour une longue traversée, bien sûr!!!
La meilleure combinaison pour moi est un capitaine qui ne prend pas part aux manoeuvres mais qui décide, et un équipage de 4 personnes bien rôdé. Pendant une traversée mouvementée de Nouméa à Auckland (NZ), on a pu affronter une tempête de 3 jours (et 3 nuits) sans broncher... et arriver au port en bonne santé!
si j'ai bien compris en regardant ton site, tu excerce le metier de skipper professionel ( ? ) .
il est evident que dans ce genre de situation, tu est le seul responsable des equipiers que tu embarques avec les risques
eventuels que cela comporte.
tous les metiers comportent des risques et on doit les assumer (ou changer de metier ....)
bonjour,pour commenter ton message,je te dirais qu'il ne faut pas confondre équipier et client,et il me semble a regarder les
tarifs que tu propose que c'est plutot des clients que tu recheches,il ne faudra pas s'étonner de parfois mal tomber!
Salutations d'un équipier professionnel.
avec un peu de retard mais toujours d'actualité car sur la page de garde de notre site préféré, je suis d'accord avec
Roland !!!
une éternelle équipière .....
Pétants, incompétents, cons, confirmés, heureux, dangeureux, pour les longues traversées, l'important c'est que le courant passe à mon avis. Je suis assez pour une co-évaluation à terre. Trois ou quatre nuits passées sous une petite tente au camping municipal, par pluie torrentielle, ça doit bien le faire. Un test au bar aussi, à chanter sur les tables, c'est important. Ca passe ou ça casse. Olé!
Bonjour,
ouin, ouin, par expérience (la mienne depuis ... 1963 et celle de vieux copains marins pros et amateurs) je retourne la question pour bien coller à la réalité :
bien choisir son "capitaine" !
Le monde de la Marine, comme partout ailleurs, est peuplé de "petits chefs" mais quand on est enfermés dans un petit canote, certains "Maîtres aprés Dieu" modernes mériteraient qu'on fassent comme ceux du "Bounty" !
Ces gars là, hors leur égocentrisme borné et asocial, sont dangereux car persuadés qu'ils sont les seuls à détenir la vérité marine ...
Le dernier en date dont nous avons supporté plus de deux semaines les délires autoritaristes, son incompétence alliée à son angoisse de naviguer sous voiles (surtout par bon vent, un comble !), se reconnaîtra peut-être ...
En tous cas, les conseils donnés au dessus, de rencontrer les "clients" à terre avant d'embarquer, valent pour les deux "parties".
Je n'irai pas jusqu'à ce que m'a dit un vieux marin-pêcheur qui navigue maintenant seul à la voile sur l'Atlantique : "n'embarquez jamais avec un propriétaire qui ne peut pas se passer un jour de glaçons dans son apéro à bord ..."
Mais que de joies et de bons moments partagés en mer la plupart du temps avec de bons capitaines et/ou avec de bons équpiers(ères) un minimum équilibrés psychologiquement : Priorité au plus compétent dans le domaine qui a la priorité à un moment donné : Simple.
J'abonde dans le sens de Ofournier plus haut parce que j'ai été équipière dans le Pacifique sur plusieurs bateaux. Mais si j'étais capitaine et propriétaire d'un bateau, je me méfierais des équipiers/ères avant de les embarquer pour une longue traversée, bien sûr!!!
La meilleure combinaison pour moi est un capitaine qui ne prend pas part aux manoeuvres mais qui décide, et un équipage de 4 personnes bien rôdé. Pendant une traversée mouvementée de Nouméa à Auckland (NZ), on a pu affronter une tempête de 3 jours (et 3 nuits) sans broncher... et arriver au port en bonne santé!