Comme personne ne répond, je vais me lancer. Le problème principal est probablement la création d'un point de condensation à la limite isolant - CP en fonction de la position du point de rosée. Une solution qui peut marcher est de laisser une lame d'air ventilée entre le CP et l'isolant. L'autre solution est la réalisation d'un collage parfait entre une mousse isolante étanche à la vapeur d'eau et le CP traité et collé à l'epoxy, un peu comme un sandwich à une face. Sans certitude.

F 260 a raison, le gros danger est la condensation non maitrisée et inévitable, entre coque et isolant.  Des coulées d'eau se formeront et viendront attaques les zones inaccessibles (un isolant à cellules fermées ou une projection de mousse PU ne sera jamais parfaitement continue, ne fut-ce qu'aux cloisons prenant appui sur la coque. A mon avis la mort du contreplaqué. Réaliser un montage étanche à la vapeur est illusoire. (etanchéité air ≠ etanchéité vapeur)
JP

Ce qui est sur c'est qu'un vaigrage avec lame d'air derrière fera une terrible condensation. D'ou l'importance d'un traitement du bois à l'epoxy.

J'ai un bateau en CP et j'ai isolé la cabine arr. en coincant des plaques de mousse polistyrène extrudé entre les lisse dans les parois verticales en faisant un chanfrein de 1cm en bas pour la connection avec les anguiller et je n'ai constaté aucun dégat.

Mais en gros j'ai plus abimé mon bateau par l'humidité et la condensation en habitant 1 année sur le lac Léman qu'en 3.5 ans de tour du monde....

Roger