Bonjour,

Le fait que l'eau soit salée ne laisse pas penser à de la condensation mais peut etre a une mico fuite (trou d'electrolyse
?) , ou peut etre que du sel reste au fond du bateau suite aux navigations antérieures .

Nous avons aussi un bateau en alu, est , bienqu'il soit à sec dans un chantier , il y a toujours de l'eau dans les fonds ,
pas beaucoup certes mais bien un quart de litre tout les mois ....J'ai cherché les fuites mais rien trouvé , cela doit etre
de la condensation ...

bonnes recherches.

Laurent

http://membres.lycos.fr/timshel

Bonjour,
C'est quoi ce canot alu?, et surtout il a quel age?
Ce gag m'est arrive sur mon canot ( 24 ans d'age), malgre un presse etoupe restant sec. Lors d'une mise a terre et sablage, des
sorties d'eau se sont revelees sous la poupe du bateau. L'eau ressortait de la gate moteur par des micro-trous dus a
l'electrolyse le long des traits de soudure.
Evasage de trous puis rebouchage par soudure. Traitement de toute la carene par Inversalu de META (pas de pub); depuis plus
rien si ce n'est de l'eau douce (codensation et fuites des hauts)
Bon courage

La condensation n'est pas salée et s'il restait un peu de sel dans les fonds, après deux ou trois récupérations de cette eau, le
sel serait lavé et l'eau devrait être douce !
Il s'agit surement d'une petite fuite ou d'un trou qui ne sera pas visible en plongeant sous la coque !
Lorsque nous avons sablé et repeint notre bateau qui a plus de vingt ans , il y avait un seul et unique petit trou de moins d'un
mm de diametre causé par une aiguille de couture tombée au travers du plancher.
L'eau s'infiltrait dans les fonds et il y avait en permanence un demi litre à éponger chaque semaine .
Cette aiguille était litéralement plantée dans l'aluminium pourtant épais de 10 mm à cet endroit !
Nous avions bien essayé de trouver l'origine de la fuite , mais l'eau glissait sous les parties visibles ...
Depuis la réparation , plus une seule goutte !

Bonjour Nicole.

Et feliciations pour le bateau qui a l'air superbe.

Alu pour nous aussi et de l'eau dans les fonds (tres plats) aussi....RRRRRRRR!

Mais pour le goût, je dirais qu'elle est ni salee, ni douce....RRRRRRR!

J'ai identifie plusieurs sources de fuite : tappe de visite de reservoir fuyarde car tout simplement mal serree sur le reservoir,
reparee depuis.

Infiltration par la colonne de barre a roue, mauvaise etancheïte, a revoir.

Et surtout, surtout ce #%* de mât traversant ! Alors lui, 2 entrees d'eau, pas moins!

Une par l'exterieur du profil, je vais mettre du spartite en debut d'annee et ça devrait serieusement diminuer la probleme de ce
cote-la (sinon l'arrêter, mais pas de fausses joies) et par l'interieur, mais la il faut que je trouve une solution pour le prochain
demâtage (mousse expansee injectee et perçage d'evacuation vers l'exterieur ?

Si vous avez des idees pour l'interieur du mât, je prends.

Mais mes inflitrations sont dues a la pluie avant la condensation car le bateau est dans le cotentin et que apres avoir seche les
fonds, c'est toujours quand il pleut qu'ils recommencent a se remplir.

Voila le "retour d'experience" sur le bateau alu, qui est autrement un super materiau !

Bon vent et bonne mer a tous

La condensation est normalement visible à l'intérieur du bateau. Nous avions quelques endroits sans isolation (surtout au
plafond) et de grosses gouttes tombaient régulièrement et toujours au plus mauvais endroit !
les infiltrations sont plus pernicieuses car l'eau qui entre par le pont peut arriver dans les fonds sans se montrer. Il faut alors
inspecter le moindre trou percé au travers du pont...délicat sans démonter le vaigrage !
Si vous avez 1/4 de litre chaque semaine , c'est une petite fuite et le mat à lui seul peut en être responsable.
Nous avons entièrement refait le notre et c'est plus facile lorsque tout est démonté !
la mousse expansée est une solution si elle reste élastique dans le temps, sinon avec l'inévitable dilatation de l'alu, l'eau
trouvera le chemin vers l'intérieur.
Si vous avez des photos de votre bateau...j'aime bien !
Nicole

Bonjour Nicole,

Nous n'avons pas eu la "chance" de faire notre bateau d'ou une meconnaissance certaine de toutes les possibilites de fuite.

Mais nous attaquons la refection du vaigrage cet hiver, et la, attention, on va voir ce qu'on va voir ca ch..er pour les fuites
j'vous l'dis moi...NON MAIS!

Pour le bateau, voir le lien ci-dessous, mais par pitie, par pitie...pas de conclusions hâtives et peremptoires, nous avons sacrifie
enormement pour naviguer la-dessus, toute notre vie en fait...alors merci d'avance.

Autre point, ce n'est pas un site mais un simple archivage des photos, donc il n'y a eu aucun effort de presentation, ce n'etait
pas le but.

Je laisserai un compte-rendu sur le spartite apres utilisation.

Bon vent et bonne mer a tous

http://yeunet.com/eric

Bien joli bateau, en effet. Merci Azawakh pour ces photos lumineuses de mer et de soleil en ces temps de grisaille
automnale !...Et le cadre est magnifique...

On veut bien échanger contre le notre ...on le trouve un peu grand, mais quand on aime...
Si vous changez les vaigrages ( on voit qu'ils ont soufferts), éviterez-vous d'utiliser un skaï garni d'une contre mousse de 5 mm ?
Avec le temps,
la mousse perd son élasticité et les marques restent bien visibles !
C'est finalement assez laid et nous allons aussi le refaire cet hiver, mais autrement...
Il y a des ressemblances avec notre voilier et des améliorations que nous avons réalisé et que nous aimerions vous montrer ,
peut-être en privé pour ne pas prendre trop de place dans le forum !

Nicole,

Les photos sont de l'expert, realisees a Frejus lors de la sortie d'essai pre-achat.

Rendons a cesar...

Pour ce qui est du vaigrage, je vais remplacer tous ces contreplaques recouvert de PVC mousse par du lambris PVC blanc a
petites lattes.

Pourquoi?

Parce que les plaques de CP + PVC mousse ça prend l'humidite et ça viellit mal a la longue (je veux que ça dure jusqu'a la fin de
ma mort), en plus si ça prend des coups, ça se dechire, ça se tâche, donc PVC lambris blanc.

Le PVC lambris a plusieurs avantages:

1 C'est mon choix (imparable comme argument ça)

2 C'est imputrescible, ça ne retient pas l'eau.

3 C'est facile a travailler, en plus il y a plein d'accessoires periheriques (rives, profiles de jonction...coins ineternes, coins
externes...) interessants.

4 Je peux utiliser des fixations serieuses que je peux même riveter sur les plaques de lambris sans que ça se voit ensuite du fait
de la double paroi. Les fixations actuelles des plaques de CP d'origines sont des vis a bois, qui a force d'être demontees ne
tiennent plus.

5 j'envisage de monter certains des panneaux sur charnieres, afin d'acceder rapidement et facilement (au plafond en particulier)
aux fils, fixations d'accastillage et autres. Ce systeme devra inclure un verouillage rapide et sans outils de preference. La
legerete des panneaux de lambris me permettra + facilement de le faire que les panneaux de CP actuels qui sont plus lourds et
n'ont pas d'epaisseur pour fixer des articulations solides inarrachables.

6 Il est facile de comprendre que le vide "sanitaire" de la double enveloppe participe a l'isolation.

7 Si je dois percer les panneaux pour rendre accessible leur fixation, je pourrais toujours trouves des bouchons plastiques blancs
esthetique qui masqueront ces trous de façon tres satisfaisante.

8 Le lavage des panneau sera simplifie.

9 Une des meilleures raisons (sentimentale, j'avoue) : le bateau vient de chez Le Guen et Hemedy (feu..), qui avait l'habitude de
vaigrer les plafonds avec du lattage en bois peint en blanc...une esthetique superbe, je veux retrouver cet effet a bord.
Il y a eu un article de V & V sur le brise de mer 44 a une epoque, montrant ce type de vaigrage, aaaargggg, BÔOOO !
Cet article est consultable sur le site de Jean-Marie FINOT, aux pages consacrees au Brise de mer 43 / 44.

10 La difficulte est de trouver des panneaux avec du lattage "fin" et non pas avec des lattes larges de 100 mm ou plus, je ne
veux pas reproduire un mur de bois, mais du vaigrage latte bois blanc.

Il me reste a resoudre un probleme, c'est de ployer les habillages de rives des panneaux de PVC pour les mettre en quart de
rond et suivre les entourages de panneaux de pont en lammelle que l'on voit a bord sur les photos.

Pour le bateau, il est grand question coût, astronomiquement grand, mais bon, quand on aime... sinon il a une taille ideale en
mer, c'est un rêve, facile et tout et tout...

Je vous tiens au courant des travaux.

Bon vent et bonne mer a vous.

Nous avons le même avis à propos du vaigrage CP + skaï sur mousse ! Nous avons détruit l'ancien et nous avions commencé à
remonter la même chose en neuf...mais nous allons faire marche arrière et recommencer avec un autre matériau.C'est vrai que
ça vieillit très mal et que ça prend tous les coups !
Votre idée de lattes en pvc est à étudier . Pouvez-vous nous dire chez qui vous allez vous fournir ?
D'accord aussi sur le principe du démontage facile ...dans les "OVNI" le vaigrage est tenu en place par un simple "velcro" qui
semble très solide !
Il faut aussi que ces lattes soient classées "M1"...savez-vous si elles le sont ?
je vais faire un tour sur le site de jean marie FINOT, discuter le principe avec mon conjoint...et je reviens vous en parler dès
que ce sera dégrossit dans nos têtes !

J'ai aussi opté pour le PVC blanc de 37,5cm de large, en 3 lattes. Je compte isoler d'abord avec du polistyrène extrudé de 2 à
3cm. Vous n'en utiliserez pas ? L'idée d'attacher des fixations sur la deuxième peau du PVC est excellente ! Je vais aussi utiliser
ce système. Je compte éviter tout contact métal/alu, en collant les tasseaux (traités) avec quelques points de polyuréthane. Les
vis viendront dans les tasseaux. J'isolerais aussi le barrotage alu avec du polistyréne souple, en rouleau, pour éviter tout pont
thermique.
Vos deux bateaux respectifs sont magnifiques ! Le mien aussi, malgré sa taille, de moitié plus courte ! C'est un Flot 18 (8m), plan
Langevin.
J'ai un problème que vous pouvez peut-être démêler : le long de la ligne de flotaison, et dans les fonds, on découvre une
mulitude de piqures dans l'alu. A priori, pas traversantes, mais que faire ? Evaser et faire des points de soudure ? Dérocher,
poncer et enduire à l'époxy ?

Merci de vos conseils et bonne année à tous.

Des p'tits trous, des p'tits trous... mais combien ?
La photo est assez difficile à interpréter, et il faudrait plus d'éléments pour vous aider .
l'électrolyse laisse des traces sous la forme d'une fine poussière blanche
plutôt grasse au toucher, autour ou dans les trous qui résultent de ce phénomène.
A votre place, nous commencerions par contrôler la profondeur des trous.
A l'aide d'un foret manipulé à la main , il faut d'abord retirer ce qui est attaqué pour arriver au métal sain,
puis mesurer la profondeur du plus gros trou.
En fonction de ce résultat, il faudra vous résoudre à faire un peu de soudure ou laisser les choses
en état après un bon nettoyage.
Et s'attaquer aussi à trouver l'origine du mal ?
Un mauvais échantillonnage des tôles, une fuite de courant , une épave coulée juste sous le bateau comme c'est arrivé à un
ami ?
Votre tableau électrique est -il monté en bi-polaire ? Le moteur bien isolé ? Avez-vous un testeur de fuite ?
Après plus de 20 ans de navigation, notre voilier était comme neuf juste après le sablage. Pas la moindre trace
d'électrolyse...alors que son frère jumeau était attaqué au point de changer trois m2 sous la flottaison...
Pour l'époxy, nous ne savons pas si c'est bien ... nous avons sablé toute la partie intérieure qui est sous la flottaison, et nous
l'avons
peinte en blanc comme l'extérieur... c'est beau et aucune cloque depuis 5 ans !

Les trous les plus profonds atteignent 2mm, à l'intérieur, sur des tôles sous la flottaison, de 4mm (c'est un quillard) et
uniquement au niveau de la flotaison. La carène était à priori traité à l'Inversalu de chez Méta - il y a longtemps j'imagine, les
oeuvres vives sont aujourd'hui presque à nu. La peinture aurait-elle si bien joué son rôle d'anode ?

Les p'tits trous ne se situent pas sur les soudures (très beaux cordons par ailleurs). Oui, ils étaient bouchés par une poudre
blanche, compactée par l'humidité.

Je vais tout de même essayer de creuser encore avec un petit foret. Si un peu de soudure est nécessaire, savez-vous si
certains soudeurs se déplacent sur site, pour si peu ? Il a 25 ans, construit chez Métalu, principalement en 4mm (AG4MC) et
soudé au fil d'AG5. J'imagine que les points de soudre éventuels devraont être fait à l'AG5 ?

Le bateau n'a pas de moteur IB, une inquiétude de moins pour l'électroyse (c'est bien le seul avantage !), mais le montage
électrique (pompe de cale notamment) est à revoir (pas de gaine, dominos, scotch...). Il existe une cale moteur par contre, où
l'on retrouve toujours un peu d'eau douce (le bateau est à sec ! ).

Pour info, il a 25 ans, construit chez Métalu, principalement en 4mm (AG4MC) et soudé au fil d'AG5.

Merci pour les conseils, qui motivent et rassurent, en plus d'aider.

J'aimerais aussi peindre les fonds. Méta ne le recommande pas, à l'inverse de Gilbert Caroff (brai époxy). Ce me semble bien plus
simple à entretenir, et les inévitables miettes et autres insectes, décédés dans les fonds, deviendraient moins inquiétants...

Lorsque nous avons acheté ce voilier (de 25 ans lui aussi ) , une partie des fonds était peinte , mais le travail n'avait pas été
terminé ?
Sous la peinture, l'alu était lisse et d'un bel aspect neuf. Les parties sans protection, elles, étaient couvertes d'une couche
grisatre et sous les doigts, c'était très abrasif. Comme nous allions refaire le bateau à neuf, nous en avons profité pour sabler
aussi l'intérieur et repeindre tous les fonds !Sans regrets après cinq ans ...
les traces d'alumine prouvent donc que c'est bien un phénomène d'électrolyse... et si la tôle est mangée de moitié il serait mieux
de boucher les trous. Combien de trous ?
Le soudeur viendra à contre coeur si le travail couvre à peine son déplacement... mais si vous profitez de l'occasion pour
quelques modifs sur la coque, il sera plus facile à convaincre.
Reste qu'il faut tout de même faire une recherche sur l'origine du mal et éliminer cette présence d'eau à l'intérieur . Nous n'avons
plus une goutte dans les fonds depuis la remise à neuf. Après le sablage du pont , il y avait au moins 50 trous rebouchés à la
résine...et qui n'étaient pas tous étanches !
Si vous avez besoin de peinture, mon oncle qui travaille dans un grand chantier de gros bateaux, peut avoir la meilleure à moitié
prix...

Vina,

- la corrosion par piqures perforantes que tu vois n'est pas d'origine électrolytique au sens classique (pas de fuite de
courant). Elle se manifeste à cause de petites hétérogénéités locales dans le métal immergé (grains de sablage incrusté car
mal fait, soudure, tension interne au métal, etc ...) . C'est presque inévitable sur une surface nue immergée, mais ça
progresse très lentement donc ce n'est pas très dangeureux. Se répare très facilement par soudure ... si le soudeur sait
faire, ce qui n'est pas évident

- peinture interne des fonds: c'est bien si c'est très bien fait (sablage et séquence correcte). Mais ... le jour où ça
commence à peler (et ça finira par peler au bout de 10 à 15 ans), il faut décaper, sinon c'est pire que si c'est nu à cause
de ...

- la corrosion par aération différentielle, qui est aussi la cause de la concentration de piqures dans les fonds et sur la
ligne de flottaison. Quand il y a une interface immobile eau-air , une attaque locale se produit dans l'aluminium par un
micro-courant qui circule entre la partie mouillée et la partie sèche. Si la peinture des fonds a une discontinuité (cloque,
fissure) il y aura une attaque rapide à cet endroit là, alors qu'il n'y en aura pas si tout est nu.

En conséquence ...

- une peinture des fonds c'est super si on est prêt à la refaire tous les 10-15 ans
- des fonds nu c'est super si on est prêt à faire ce qu'il faut pour qu'ils soient toujours bien secs.

Pour l'extérieur des oeuvres vives, idem: un sablage et une séquence epxoy bien faite dure 10-15 ans, puis il faut
recommencer ... mais c'est plus facile à l'extérieur de la carène qu'à l'intérieur.

Robert.

P.S. d'après ce que tu dis, il est très probable que ton bateau avait en permanence de l'eau dans les fonds, ce qui est à
proscrire absolument avec une carène en alu.

Merci Robert pour la précision de tes explications.

Je pense effectivement que de l'eau stagnait dans les fonds. J'ai peu d'infos sur mon bateau, nous ne sommes ensemble que
depuis un mois, et la vente a été conclue par l'intermédiaire d'un broker. Si je comprends bien, en conservant les fonds secs,
après un sérieux nettoyage, les attaques devraient se stabiliser à ce niveau, et ne plus progresser, est-ce juste ?

Concernant le sablage externe : est-il possible (je sais qu'aucun architecte ne le conseille) de poncer mécaniquement les oeuvres
vives, au lieu de les sabler ? Je pourrais en ce cas le faire moi-même, à la ponceuse excentrique puissante ou à la meuleuse.
Qu'en pensez-vous ?

Le cycle serait :
- ponçage (équivalent abrasif grade environ 80),
- dérochage au Foscral (ou équivalent),
- rinçage à l'eau claire, temps de séchage,
- primaire alu International (Etch primer si je ne me trompe pas),
- enduit epoxy pour rattraper les irrégularité,
- peinture epoxy bi-composant (2 couches)
- finition ou anti-fouling au caoutchouc chloré.

Autre interrogation : La peinture de pont est usée par endroits, laissant apparaître l'alu nu sur de petites surfaces (assiette à
dessert). Il n'y a pas de cloquage ni de corrosion à ces endroits, où l'eau ne stagne pas. Je pense poncer largement (autour de
ces endroits), et appliquer à peu près le même cycle que ci-dessus. Est-ce efficace ?

Ensuite, j'hésite encore entre la peinture anti-dérapante (peut-être un peu moins coûteux) et le revêtement en plaque type
TBS. Pour quelle solution avez-vous opté ?

Enfin, pour l'eau dans les fonds, sur vos bateaux, j'imagine que vous avez des douches. L'eau se déverse alors dans des bacs
ajoutés, étanches ? Sinon, laissez-vous l'eau s'écouler jusqu'à un puisard, avec pompe ? Je n'ai pas la place d'installer un vrai
cabinet de toilette, mais je suis curieux de savoir !

" en conservant les fonds secs, après un sérieux nettoyage, les attaques devraient se stabiliser à ce niveau, et ne plus
progresser"

Oui !

" est-il possible (je sais qu'aucun architecte ne le conseille) de poncer mécaniquement les oeuvres vives, au lieu de les
sabler "

Possible, mais pas bon , beaucoup de travail pour un résultat peu durable sauf pour des petites surfaces.

" l'alu nu sur de petites surfaces (assiette à dessert). Il n'y a pas de cloquage ni de corrosion à ces endroits, où l'eau
ne stagne pas. Je pense poncer largement (autour de ces endroits), et appliquer à peu près le même cycle que ci-dessus.
Est-ce efficace "

Oui

"Ensuite, j'hésite encore entre la peinture anti-dérapante (peut-être un peu moins coûteux) et le revêtement en plaque type
TBS. Pour quelle solution avez-vous opté ?"

Un TBS qui se dégrade est irréparable, faut tout arracher ... l'enfer ! Un Deck-Line de Sicomin se pose au rouleau, est au
moins aussi bon que le TBS, et se répare comme une peinture ... mais aussi cher que le TBS !

"L'eau se déverse alors dans des bacs ajoutés, étanches ?"

Oui.

Robert.

eau de mer SALEE dans les fonds :
en dehors des problèmes d'électrolyse éventuels :
- circuit de refroidissement moteur : vanne, tuyauteries, filtre, pompe, joints moteur, échappement, water-look
-eau de mer évier : vanne, pompe, tuyauteries
-WC : vanne aspiration eau de mer, pompe, tuyauteries, cuvette, tuyaux d'évacuation, vanne sortie
sondeur : étanchéité ?
lock : étanchéité ?
un kilo de sel tombé dans les fonds qui fait office de déshumidificateur ?
Mais 1/4 de litres par semaine d'eau salée dans les fonds permet d'aller dans les vents sucrés en "produisant" 1 litre d'eau ! Pas
de quoi enfoncer la flottaison ! Mais cherches ! Iln'y a rien de plus désagréable que de ne pas savoir, ne pas comprendre...
amicalement,
Jean-Louis

........et le presse-étoupe ou le joint tournant , bien sûr !

Juste.
Je compte finalement sabler et traiter la carène, laisser pour l'instant les fonds nus. Pour le pont, ce sera de la peinture,
d'accord avec tes arguments.
Merci encore de ces échanges fructueux et sympathiques.