Je vous l'avais dit, à nous la Turquie !

Nous avons une liste de ports habilités administrativement pour enregistrer (et faire payer), les bateaux qui y entrent, ainsi que les équipages qui sont dessus.

Le 1er Juillet, nous sommes devant Datça, au mouillage devant le port. Une grande fête locale nous empêche d'entrer, des centaines de gens sur le quai, des animations, de la musique à tout va, et nous, d'attendre dehors, sans trop savoir ce qui se passe.

Le lendemain matin, un mandataire prend tous nos papiers, et s'occupe de tout. Pendant ce temps, nous ravitaillons, visitons, photographions. Nous servons de sandwich pour les Caïques du coin et arrivons à partir en début d'après-midi.

Quai de Datça

Face à nous, rappel des formalités à accomplir !

Visite de Datça pendant les formalités

Mys'Yann en sandwich !!!

Notre premier mouillage n'est quà 11 milles de là, et tout de suite, premier contraste, tout est beaucoup plus vert, bien moins calciné que les paysages grecs, seulement à quelques milles en-dessous.

Il faut aussi nous habituer à la nouvelle consonance des noms. En Grèce, rien que des "os" - Naxos - Paros, etc, etc, ici que des "Q", il va falloir s'y faire.

Hauts fonds un peu partout. Gaffe !!

Et la montagne est belle ...

Ah le beau derrière !

Pour ce soir, ce sera Karuca Bükü, demain Kuylu Bükü, et à midi Keçi Bükü. Dirsek et Bozburun vont pouvoir varier un peu, puis Serce et Ciftlik. Nous avons sauté quelques petits "Q" intermédiaires qui ne nous convenaient pas.

Arrivée sur Keci Bükü

Grande lagune de 300m où les gens marchent sur l'eau !

Un mouillage bien sympa

Nos biquettes préférées qui nous réveillent dès 7 H

Avec Claude à la taverne, et Mys'Yann derrière

Notre "Claude" toujours devant !

Le premier constat est évident. La montagne est plus haute, plus verte, les ports très propres, très structurés et organisés, beaucoup plus chers aussi. Les Tavernes moins chères au contraire. Il n'est pas rare de dîner entre 8 et 10 euros, boisson comprise.

Arrivée sur Bozburum

L'heure de l'Ouzo avec Joël, le copain de Claude

Arrivée au mouillage de Ciftlik

108 Euros pour faire entrer le cata une nuit à Marmaris, encore un contraste avec a Grèce, mais par contre, quelle ville mes enfants !

Dehors et dans la baie, des centaines de Caïques pour promeneurs, les touristes, une plage interminable où les concessionnaires, loueurs de parasols et de transats sont à touche-touche, et plus de place pour asseoir librement votre petite culotte.

Tout un grand quartier où les rues sont couvertes et qui créent une ambiance très fraîche, et c'est très vendeur, des tavernes où les fauteuils sont bien garnis de gros coussins, et d'où tu n'as plus envie de bouger le soir, à la fraîche, devant une bière encore plus fraîche.

Une usine à vacanciers, qui nous laisse un maximum de souvenirs dans un minimum de temps.

Marmaris. Les Caïques passent à 8-10 noeuds entre les bateaux !!!

Rues couvertes

Pause fraîcheur !

Un petit bonjour de la pieuvre !

Dans la marina de Marmaris

Claude nous quitte pour Rhodes

Le confort des bars

La montée vers le château

Chouette, on va avoir de l'internet aujourd'hui

Depuis hier, nous nous sommes risqués dans la baie au sud de Gocek et Fetiye. Une petite merveille, un labyrinthe d'Iles, de criques par dizaines, où il est parfois difficile de mouiller, avec des fonds de 30m ou 40m à 10 m du bord, mais souvent des tavernes qui t'accueillent avec un petit ponton rafistolé mais oh combien sympathique, un personnel familial qui laisse tomber les petites cuillères pour venir prendre tes aussières et t'aider à amarrer le canot.

A quai devant la taverne

Tombes rupestres sculptées dans la roche

Une manif ? Non, mais une demande en mariage !!

Nous nous perdons dans ce labyrinthe

Arrivée sur Fetiye

Les rues de Fetiye

Parfum d'ici !

En clair, nous sommes très contents d'être là, que même si le niveau de vie est bien supérieur, l'ensemble est très agréable.

Conclusion : nous restons …...

A bientôt à vous tous, et bizouilles   encore.

YVON et MIMI