Ici,  Los Christianos à Tenerife, ne correspondait pas à notre "idéal" de paysage, alors on est parti à l'ile de la  Gomera, réputée plus sauvage.

Effectivement, le mont Roques autour duquel nous avons randonné était plus sauvage, vous en jugerez. On est fiers d'avoir fait le parcours en moitié de temps prévu par le guide.

Notre secret : on a couru une partie du chemin !

Après avoir soufflé au rythme de l'île, nous sommes partis  de Puerto Vueltas pour le Cap Vert, c'est à dire 5 jours et demi de navigation par vent arrière. C'était fatiguant car la bateau roulait beaucoup avec 20 noeuds de vent. Heureusement,  Philippe nous a bien aidé à partager les quarts en trois...

Voici un exemple de vague que, vaillant, Philippe s'emploie à négocier.

La baie de Mindelo sur l'île de Sao Vicente, l'un des points d'arrivée des navigateurs.

Nous ne nous sommes pas installés à la Marina, mais plutôt au mouillage derrière : c'est plus calme, moins cher, et plus exotique en souvenir de notre précédente venue en 2004 où la marina n'existait pas et où les "boat boys" faisaient le comité d'accueil.

Le lendemain, nous avons assisté à une démonstration de hand ball féminin, boxe, basket ... dans l'avenue principale du front de mer.

Ribeira  Grande est impressionnante, à l'autre bout de l'île, totalement désertique et désertée au milieu des roches basaltiques, issues d'un très très vieux volcan.

Une oasis et son moulin à vent pour le pompage de l'eau, dans l'arrière pays de Sao Vicente parcouru en "Aluger" (taxi collectif)

Sao Antao, île voisine, où Bernard a concocté une randonnée exceptionnelle dans un espèce d'erg cap verdien ou nous nous sommes hydratés à coup de chou et mangue, achetés sur le chemin à des enfants, faute d'eau.

PS: L'ALBUM DES PHOTOS INSOLITES A ETE COMPLETE !!!