Bonjour,

Ce dimanche 13 octobre nous nous dirigeons vers l'archipel des Aves de Sotovento.

Nous n'y passerons qu'une nuit (pour éviter des ennuis avec les gardes côtes vu notre situation irrégulière : depuis 15 jours en transit).

Mouillage assez rouleur à l'extrême nord devant un îlot désert.

 

Nous nous lèverons tôt le lendemain pour un départ diection Bonaire à 6 heures du matin : 43 miles au moteur (pas de vent), 9 heures de navigation.

L'île est très plate sur sa partie sud qui est une grande saline.

La capitale Kralendijk au fond et, à droite, le terminal de chargement du sel.

Quelques dunes sur la côte ouest.

Et le mouillage sur deux bouées rouges et blanches près de la route mais dans une eau cristalline.

L'île vient, suite à un référendum de 2010 d'être à nouveau une province hollandaise.

Tout est très propre dans les rues, beaucoup de hollandais et des prix plus élevés que l'Europe.

La spécialité de l'île est le tourisme et en particulier la plongée en bouteille.

Les clubs et les sites de plongée sont très nombreux.

Une petite ville charmante.

Nous retrouvons des supermarchés à l'européenne.

Nous nous empressons de louer une voiture pour trois jours, histoire de faire des courses et de visiter l'île.

Nous commencerons par le sud de l'île.

Nous découvrons le cœur de l'île et ses pistes.

Les clôtures sont traditionnellement des cactus coupés et replantés.

Tout n'est qu'épines : cactus et arbustes épineux.

 Très curieux paysages, nous sommes sous le charme de ce désert (grâce à la clim de la voiture car la chaleur est torride).

Encore une de ces clôtures autour de maisons perdues dans ce désert.

Quelquefois une curieuse architecture !

 A l'Est une charmante petite crique déserte.

 Toujours ce paysage désolé.

Le lendemain nous visitons le Washington Park au nord de l'île.

 

 La principale nourriture pour les animaux est les fruits des cactus.

Appréciés par tous.

Un curieux grand lézard, abondant sur l'île.

 De nombreux lacs.

Quelques collines.

 Des falaises à l’extrême nord est.

Les cactus de toutes sortes poussent partout.

 Cette roche est du corail fossilisé.

La côte au vent est agitée.

 Encore des lacs, quelquefois transformés en salines.

 Colette affronte les épines pour ramasser des calebasses.

 Beaux paysages.

 Les principaux habitants de l'île sont les iguanes.

Sale tête !

Et beaucoup de chèvres sauvages.

Elles sont très farouches et on se demande parfois ce qu'elles mangent.

Une curiosité aussi de l'île : ce curieux perroquet vert à tête jaune, endémique.

 Il apprécie lui aussi les fruits des cactus.

Comme d'autres oiseaux.

 Notre pickup perdu dans ce désert.

 A certains endroits les iguanes ne sont pas farouches et même parfois agressifs : Colette n'est pas totalement rassurée.

 Curieux animaux préhistoriques.

 Un beau couple !

 Beau mâle.

 Belle bête !

 A quoi pense-t-il ?

 De nouveaux quelques perroquets : eux aussi assez farouches.

 Les épines ne semblent pas les gêner.

 

Il faut savoir que l'emblème de Bonaire est le flamand rose qui niche et se reproduit dans ses lacs.

Il est très protégé pour éviter de le déranger.

Il faut donc les photographier de la route.

Il se nourrissent des minuscules organismes vivant dans ces lacs.

 Ils vont du rose terne au rose vif en fonction de leur alimentation.

Très majestueux !

Ils s'envolent malheureusement à la moindre approche.

 Ils ont un vol très particulier assez élégant.

 Curieux oiseau !

 Quelques autres espèces d'oiseaux vivent dans l'île.

 

En fin de circuit se trouvent quelques sites de plongée très sympas.

De beaux poissons mais surtout un très attendu rafraîchissement quand il fait plus de 40° sur la piste.

 

 Encore des lacs.

 Et des salines où le sel peut se ramasser à la pelle.

Ce sel était la production principale de l'île pendant longtemps et la raison de la venue des premiers esclaves.

Encore quelques jours de séjour à Bonaire avant notre départ vers Curaçao, sans doute vers le 23 octobre.

A bientôt.