La mise à l'eau
Enfin la mise à l'eau approche : une étape importante après plusieurs mois de travaux sur un bateau à sec.
La frustration ultime : un bateau c'est fait pour naviguer.
Mais d'abord, l'antifouling (pour les non voileux la peinture noire sur la coque qui empêche les vilaines bèbètes de se fixer sur la coque).
Trois étapes :
- la coque sans la dérive,
- les trois quarts de la dérive après un premier grutage ( ouf ! pas de surprise sur celle-ci et le puits de dérive),
- la fin de la dérive sur les sangles de la grue juste avant la mise à l'eau (entre midi et 13 heure trente ce jour 16 mars)
Oh ! la belle coque
Oh la belle dérive !
Une petite virée avant la mise à l'eau (eh oui ! on est en Camargue...).
enfin 13h30 la mise à l'eau !
Mais d'abord on a eu chaud . Les sangles ont rippé et on faillit arracher une anode (boulon tordu) et abîmé le speedomètre (les joues de celui-ci ont été cassées mais il fonctionne toujours)
C'est rigolo de promener son bateau,
Enfin l'eau, on vérifie tout et pas de fuites ... génial !
En route pour Port Napoléon. Normalement c'est une promenade de santé, surtout au moteur, mais c'est notre première sortie donc l'angoisse... Cependant rien à signaler si ce n'est plusieurs hauts fonds qui déclenchent l'alarme car les chenaux sont étroits mais bien signalés. Ouf !
L'arrivée à Port Napoléon est épique. Le bateau est lourd et peu manoeuvrant en marche arrière. Heureusement des amis nous donnent un coup de main à l'arrivée (merci Patrick et Françoise).
Le bateau enfin au port mais il reste encore des travaux.
A l'arrivée, une mauvaise surprise, les couvercles des réservoirs d'eau fuient : encore une mauvaise surprise à gérer.
Suite dans la prochaine note ...
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