greement nouvelle generation

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greement nouvelle generation
sujet n°84983
Bonjour tous , juste des infos pour un projet . Sur les voiliers "nouvelle generation" , les barres de fleche sont souvent poussantes pour éviter les bastaques . Les barres de fleche dans l'axe c'est déjà la pagaille quand il faut affaler dans 35 nds de l'arriere la GV full batten . J'ai donc du mal à imaginer comment cela se passe avec des poussantes !!! vos avis en grande croisiere sportive : barres de fleche dans l'axe ,bastaques et full batten ou poussantes et GV sans latte ou autre compromis ??
Anonyme (non vérifié)
réponse n°106910

Bonjour

Personnellement je n'affale jamais en vent arrière, et je ne vois pas comment on pourrait le faire sans endommager les voiles.
Par conséquent, que les barres de flèches soient droites ou poussantes cela ne change rien du moment où on est bout au vent.

Amicalement

Kaj
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AA
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réponse n°106945

Je vois deux gréements assez modernes qui pourraient te convenir. Le gréement à balestron, pas de haubans mais un mât /bôme
sacrément épais (donc fardage) et le gréement du freedom 35.
Si je me souviens bien du gréement à balestron il est très cher.

Je connais plusieurs Freedoms et j'ai du mal à comprendre pourquoi il n'y a pas eu plus de gréements de ce type surtout pour
la grande croisière. Mais il doit exister des inconvénients que je ne connais pas. Cependant les proprios que je connais ne
s'en plaignent pas au contraire.

Anonyme (non vérifié)
réponse n°106946

mon bateau cumule un peu tout : trois barres de fléches poussantes, bastaques car il est gréé en côtre , et gv full batten car "il
faut être à la page " ! si tu loffes au delà d'un petit largue pour affaler, avec les chariots à billes sur le rail du mât ça descend
tout seul.Evidemment tout ça donne un peu de puissance ou plutôt permet un peu de vitesse dans le petit temps; c'est toujours
agréable.
JL LH

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GIB SEA 105
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réponse n°106963

Je n'aime pas les barres de flèche poussantes. Cela limite la possibilité de choquer la grand voile au portant.

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réponse n°106965

bonjour tous , je suis étonné du peu de témoignages alors que , tres souvent, les nouveaux voiliers surtout les customs sont
prévus avec des barres de fleches poussantes pour éviter les bastaques anti commerciales. Dans les manuels on nous apprends
à hisser et réduire bout au vent mais dans la pratique ça ne se passe pas comme dans les livres .
Mettre bout au vent alors qu'il y a déjà 35 nds et des creux qui sont déjà de 6 m : on a pas envie de se mettre travers aux
vagues ni meme de se mettre bout au vent. bon , c'est mon avis et expérience . Alors comment faire ?
C'est juste que les freedom sont pas mal , ils offrent beaucoup de place à l'intérieur, les manoeuvres semblent faciles et c'est
étonnant d'en voir si peu. Peu vendu et assez difficiles à la revente comme tout voiliers atypique. il y a un 44" en vente depuis
un bon bout de temps ; meme sur le marché USA. Le défaut que je leur imagine est le mouillage qui doit tirer à cause du fardage
du mat avant + le tangage au moteur.
Mais peut etre queces barres de fleches poussantes son réservées aux racer ????

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réponse n°107082

J'ai longtemps habité un port anglais où on fabriquait ou vendait le Freedom, le problème c'est que les voiles une fois humides (
elles entourent le mat ) ne coulissaient plus. Il y a aussi le grément de jonque, çà fait rigoler tout le monde, n'empêche que çà
semble logique, mais je n'ai jamais rencontré de proprio d'un tel grément, j'ai lu le livre d'Annie Hill mais elle a fini par changer de
grément et ...de mari, Erik the Red bouquin très marrant d'un type qui a dessiné, construit et navigué sa jonque de 8m.
Personnellement je trouve le grément bermudien completement idiot, se mettre bout au vent pour ariser, alors qu'on est au
portant, çà craint ! J'ai quelques fois arisé la GV vent arrière. Quand au grément à balestron çà n'a jamais marché
commercialement, ce que je n'ai jamais compris c'est qu'ils diminent la surface de voile totale de 20%, quel était le problème? les
essais dans les revues anglaises semblaient très prometteurs. La quille freedom avec un trou au milieu non plus çà n'a guère
décollé, conservatisme ambiant ?

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X95
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réponse n°107095

Bonjour
La voile de Jonque est beaucoup plus développée au Royaume Unis.

Jester le bateau de Hasler, un folkboat gréé en voile de jonque, a traversé l'atlantique une vingtaine de fois.

Lors du Jeser Challenge 20O6 (transat anglaise en solitaire pour bateaux de moins de 9m.), sur 10 bateaux, ils y avaient 3 bateaux gréés en voile de
Jonque dont Jester et le plus petit un Colibri. Un des deux bateaux arrivé était gréé en voile de Jonque.

C'est un grément très simple a utiliser. La réduction est instantanée et sans effort. Il ne marche pas très bien au près.

Eric

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GIB SEA 105
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réponse n°107114

C'est clair que l'allongement (rapport Hauteur/Largeur ou guindant/bordure)des grand voiles Marconi est optimisé pour le près.
N'importe voile moins allongée - Aurique par exemple - remonte moins bien. On sait cela depuis Manfred Curry. La fourchette
d'allongement en fonction du profil recherché (bête de près, come les IOR ou plus polyvalent avec les jauges plus récentes),
c'est ce qu'on voit en pratique sur l'eau.

Par contre, à surface égale, une voile aurique est plus puissante au portant, mais enfin, posé en ces termes, on choisira en
génétal à optimiser le près.

Perso, je n'hésite pas. Après la question devient : comment gréer un sloop (ou éventuellement un ketch) marconi Sans barre
flèche, haubans, étai et pataras?

Encore, faut il avoir des matériaux assez solide! Si les bouts sont de chanvre et les esparres de bois, avec une économie de
pièces métalliques , allant jusqu'a l'absence totale comme c'est le cas par exemple sur les embarcations utilisées de nos jours
dans les régions pauvres, ça ne va pas le faire.

Mais, nous, on a l'inox monotoron, les ridoires et cadènes en inox itou. Nous pouvons donc nous le permettre. Alors après, si
l'écrasante majorité des canots sont grées en sloop marconi dans nos chantiers, ce n'est pas l'effet du conformisme, mais un
aboutissement technologique.

Ca n'empêche, les canots traditionnels que j'ai pu approcher m'on toujours fasciné. Pour faire des voilles avec du coton et du fil
de chanvre, il faut une sacré maîtrise du tricot! On est des nains en matelotage sur nos parebattes en polyester.

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VULCAIN 5
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réponse n°107124

Bonjour les amis

pour répondre a Kaj , je trouve également que le gréement genre Freedom est une idée a priori excellente , mais je n'en aurai
jamais pour deux raisons principalement : pour avoir navigué sur un Freedom 35 ( peu de temps , il est vrai ) j'ai trouvé très
gènant l'absence de haubans pour se déplacer sur le pont . La deuxième , c'est que j'ai possèdé un bateau de 5m , de type cat-
boat américain , avec une seule voile entourant le mat . C'était déja une galère sur ce petit bateau pour réduire ou amener la
voile , alors j'imagine ce que ça doit donner sur un bateau plus important quand les conditions ne sont pas optimales.
Mais peut-être que si un architecte se penchait vraiment sur la question ?

Joël

Kaj
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réponse n°107127

Je crois bien avoir oublié le gréement cerf-volant.
Héla ! Tout ces trucs là ne sont pas encore tout à fait au point. Le gréement traditionnel en a encore pour un bon bout de
temps. On pouvait espérer des progrès par la course et les régates mais là aussi les règlements se sont mis en travers si
bien qu'on ne peut pas espérer de progrès rapides.
Pourtant il y a de l'évolution, regardez ! Les asymétriques ! Voilà une évolution prometteuse même si elle n'est pas parfaite !

Espérons que des progrès se fassent pour le reste aussi mais je crains bien n'être plus de ce monde quand ils arriveront
s'ils arrivent un jour.

N'empêche que ne pas pouvoir réduire la toile au portant est un sacré handicap. Je pense toujours aux catamarans que j'ai un
peu pratiqué dans le temps. La grosse angoisse est et était déjà! Comment on fait au vent arrière quand le vent continue à
monter et que le cata menace de se planter ? Si on loffe ! Splatch ! Si on ne loffe pas Splatch aussi.. Alors ?

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SUN ODYSSEY 40
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réponse n°107134

pour KAJ:
Bravo pour ton humour, mais je pense que les voiles et les mats évoluent voir les 60 pieds de la route du café JV.
Pour ceux qui voudrais réduire au vent arrière par 35 Noeuds je leur conseillerais de sortir en mer plus souvent et ils verrons
bien après, que la place est généralement suffisante pour remonter au bon plein, afin de réduire(3eme ris) ou affaler en
sécurité car manoeuvrant sous voiles .Je ne vois pas l'intérêt de faire du vent debout dans les conditions de ce fil , ça me parait
dangereux , ça tape dur et il faut le moteur en +
Si le changement n'est pas aussi radicale que le voudrais certain c'est que ce qui est proposé convient bien aux plus grand
nombre d' utilisateurs: personnellement je suis satisfait de mon gréement à barre de flèches poussantes grand voile classique à
3 ris : je trouve qu'il n'y a pas d'efforts physique important à faire c'est une question de technique, en tous cas pour un voilier
de 40 pieds.Je te souhaite longue vie et le changement viendra Amicalement Léo

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réponse n°107147

Ca, c'est super sympa comme conseil! Sortir plus souvent et chercher les 35 noeuds de vent... Je n'ai rien contre mais je me
suis d'jà fait pièger au vent arrière.Sur un vieux 36 pieds à lattes courtes, pani problème pour ariser; mais sur un 47 à lattes
longues, je n'y arrive pas. Et j'invite cordialement le STWiste qui aurait un truc à venir me faire une démo. Tiponche offert,
aucune participation aux frais, cabine invité en 160 de large éventuellement. Je crois me souvenir d'avoir demandé conseil pour
réduire au vent arrière ici et en 2004. "On" m'avait suggéré de rester au port. Indéniablement, le niveau monte sur STW! Je ne
regrette absolument pas la full-batten; et mes deux barres de flêches sont horizontales et à 180°. Il est très sensé de rappeler
qu'un bon skip à toujours de l'eau à courir. A 35 noeuds , mon problème est de reprendre ma place au port....

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SUN ODYSSEY 40
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réponse n°107153

Pour Meridien: Je n'ai pas dit qu'il fallait aller chercher les 35 noeuds mais on doit être capable d'y faire face quand on est déja
en mer, ce n'est pas un ouragan et il n'est pas nécessaire de s'obstiner à vouloir réduire en restant vent arriere alors que l'on
peut généralement modifier la route pour faire cette opération.S'il y a 35 noeuds dans le port ça ce complique pour entrer dans
sa place je suis preneur de vos conseils n'ayant pas de propulseur d'étrave, mais là nous sommes hors sujet. Amicalement Léo

Anonyme (non vérifié)
réponse n°107158

Etonnant ces discussions pour prendre des ris au vent arrière avec des lattes courtes ou full batten ! ON NE PRENDS PAS UN
RIS AU VENT ARRIERE !!! peu importe la taille des lattes ou l'axe des barres de fléches . J'ai enseigné cela pendant vingt cinq
ans entre autre sur un voilier de 50' pieds équipé au début de lattes courtes puis ensuite de full baten. Pour prendre un ris : les
deux conditions suivantes doivent être remplies : la bôme doit être largement soulagée (par une balancine ou tout autre
systéme comme un hale-bas poussant) ET la grand voile ne doit pas porter, ceci impose donc de venir vers un près / bon plein
avec écoute choquée. Passer du vent arrière au près/bon vent avec trente cinq noeuds apparents au vent arrière signifie être
à l'allure de près avec une quarantaine de noeuds, et signifie aussi recevoir la mer et les vagues plus de face d'où un certain
inconfort (mouvements du bateau et humidité) pour effectuer la manoeuvre ...mais celle ci s'effectuera sans trop de difficultés.
Sans vouloir donner de leçon à qui que ce soit, et désolé du ton professoral . JL LH

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OM33
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réponse n°107161

C'est effectivement la seule manière de faire! Je l'ai rapidement découverte moi-même lors de mon grand voyage; n'ayant jamais
participé à aucune école de voile ( ce dont je ne me vante en aucune façon).

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VULCAIN 5
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réponse n°107170

Bonjour ,

Louli a bien sûr raison en tous points . Je voudrais cependant préciser qu'il m'est arrivé parfois de prendre un ris au portant dans
ma GV lattée sans changer d'allure en la bordant simplement jusqu'a ce que la bome soit au dessus du pont , ce qui la dévente
un peu . Par contre pour affaler , impossible sans remonter dans le vent , c'est une évidence .

Joël

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réponse n°107202

Gouverner c'est prévoir, on peur même dire naviguer c'est prévoir, alors si on est dehors avec 35 nds au vent AR il vaut mieux
anticiper et réduire ou affaler la GD voile quand il est temps. Les voiles d'avant sont qd même + facile à gérer dans cette
configuration. Et si on peut, le mieux c'est de rester au port ! Bon vent AR à tous; JM de krpdiem

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réponse n°107251

bonjour tous , je me suis mal exprimé .
En admettant un bon 35 nds de vent qui forcit avant la nuit . les creux dépassent 6 m et le génois est tangonné et solidement
retenu . les retenues de grand voile sont bien raides pour éviter les risques . Je navigue en solo ; faisant confiance au
régulateur d'allure .Par sécurité je décide de prendre un ris supplémentaire .
Dans ce cas , vous enlevez tout le merd... pour vous mettre face au vent en passant par le travers des vagues comme les
profs l'enseignent et vous allez à la cata ou vous forcez sur la toile ??? Qui a cette expérience ? PAS de port à l'horizon !
En course au large , en solo, comment font-ils ????

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réponse n°107262

Octopus, bonjour! en lisant ton poste ,je jubile, oui je jubile! Alors toi aussi , le soir, tu aimes bien prendre ce deuxième ris
pour avoir une barre souple et un quart (en fait une moitié...) tranquille puisqu'il arrive quelquefois qu'on ait le vent qui oscille
d'une ou deux mains sur le côté de l'arrière, ou l'arrière du côté; il arrive aussi que l'équipièr se laisse surprendre; je pense
qu'une voile lattée est plus efficace, plus maniable à affaler. Mais au portant, sur mon bateau à moi, même en bordant amidship
la bome, quand je choque la drisse, les lattes gardent la GV bien ouverte, elles sont là pour ça, et les deux du haut partent en
devers derrière les haubans. Il faudrait essayer des petits hale-bas partant de plus loin que le point d'écoute; du pataras par
exemple? Comme tu dis, tout le merd... Amicalement.
J'ai failli oublier: HUIT bras avec des ventouses sur un voilier... Je rêve....

Kaj
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réponse n°107265

En course au large ils ont des bateaux qui en général peuvent planer ce qui aide un sacré coup sauf que si ça monte trop
fort ça devient de l'équilibre instable mais ils ont en général de la viande et du muscle. Pis ! ils aiment ça.

En croisière, ça m'est arrivé parfois, on regarde derrière jusqu'à ce qu'on voit qu'il y a moins de déferlantes ou bien
qu'elles sont moins hautes. Il faut alors lancer le virement de bord avec de l'élan pour que le bateau ne se retrouve pas
comme un con arrêté au milieu des déferlantes couché sur le flanc. Je mets toujours le moteur en route avant pour aider si
ça ne va pas. Bien sûr qu'il faut viser aussi l'endroit de la vague et ça je fais ça au pif quand je le sens, je peux pas
expliquer autrement.

Un exercice pas évident qui nécessite d'avoir tout bien arrimé dedans ( le personnel aussi!) et de fermer solidement tous
les capots et ouvertures mais c'est en général déjà fait.

Une bonne prière à sa divinité préférée ne peut pas faire de mal. Du moins je crois.

Kaj
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réponse n°107266

En course au large ils ont des bateaux qui en général peuvent planer ce qui aide un sacré coup sauf que si ça monte trop
fort ça devient de l'équilibre instable mais ils ont en général de la viande et du muscle. Pis ! ils aiment ça.

En croisière, ça m'est arrivé parfois, on regarde derrière jusqu'à ce qu'on voit qu'il y a moins de déferlantes ou bien
qu'elles sont moins hautes. Il faut alors lancer le virement de bord avec de l'élan pour que le bateau ne se retrouve pas
comme un con arrêté au milieu des déferlantes couché sur le flanc. Je mets toujours le moteur en route avant pour aider si
ça ne va pas. Bien sûr qu'il faut viser aussi l'endroit de la vague et ça je fais ça au pif quand je le sens, je peux pas
expliquer autrement.

Un exercice pas évident qui nécessite d'avoir tout bien arrimé dedans ( le personnel aussi!) et de fermer solidement tous
les capots et ouvertures mais c'est en général déjà fait.

Une bonne prière à sa divinité préférée ne peut pas faire de mal. Du moins je crois.

Excusez-moi si le message bégaie, ici le serveur est bizarre, il a des hocquets !

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VIK 120 (Catamaran)
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réponse n°107267

bjr , j ai tj pris mes ris vent arriere , surtout dans l alizé , gv full batten de 60 m2 sur chariot facnor , pas trop dur a faire , pour
prendre un ris je lache la drisse de gv avec repaire pour le premier ris puis je prend la bosse du deuxieme ris au winch qui tire la
voile en arriere puis elle descend , croc de ris et bosse du prenier ris au winch, au deuxieme ris pareil et apres il reste peu de
voile pour le troisieme ris ca descend en tirant sur le guindant , bome ramener a 30 ° environ de l axe

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ABACAXI (15m ALU GARCIA comme un grand Maracuja )
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réponse n°107280

bonsoir;

Moi aussi j'ai les lattes qui s'engagent dans les barres de flèches , et je prends aussi les ris au portant , parce qu'iil
n'y a que prés des cotes avec mer plate qu'on peut s'amuser a passer de 30/35 nds portant au près sans risquer de se mettre
au tapis,en plus avec un dériveur faut en plus redescendre la dérive etc. Comme souvent on man?uvre seul a bord, les autres
dorment, on va pas s'amuser a dégréer le tangon , prendre le ou les ris et le remettre. faut être maso. mais il y en a c'est
vrai.

en plus en prenant des ris au portant on peut le faire sans enfiler le cire!

Alors voila comme je fais:
je reduis le genois pas mal, ( il est tangonne a partir de 130 deg, des que je suis a 130 sur la route ouais j'abats de 20
et je suis a 150, allure ou je peux tangonner)
je bore la GV pas mal, pour que le bout de bome soit dans le coin. Avec la dérive centrale levée le bateau monte pas, celle
derrière est deja en bas puisqu'on est au portant.
Je prends le ris qui faut et parfois un de plus (de nuit toujours), en affalant juste ce qui faut pour pas qu'il y ait plus
de 20cm a hisser.
je remets les garcettes,
je choque
j'amarre la bôme - faut pas que ça fasse cloc cloc
je déroule du génois.

J'allume la gasiniere pour me faire une boisson, enfin le jour je regarde keskiya au frigo, genre jus de houblon fermente
pour me remercier.

Enfin c'est la théorie, parce qu'a 35nds apparent au vent arrière, si on la vu arriver, ya déjà pls de GV et on roule ou
déroule le génois tangonne. Je mate un peu le tangon pour pas qu'il "trempe".
Comme le collègue quand il faut renvoyer plus tard, la je m'autorise un petit coup de Perkins - motoriseClin beaucoup moins , avec 50m2 et 50 ans+, ça compte.

Bon vent a tous ,
Faut pas être intransigeant ni sectaire, la bonne méthode c'est celle qui marche et qui vous sied.
Ah oui on a des barres de fleches dans l'axe mais des bas haubans arriere ..... Mécontent

a+

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réponse n°107312

hello les oiseaux du large , sympas vos conseils ; En fait vous ramenez le bout de la bome au petit largue et tirez - d'abord -
sur l'oeillet de ris coté chute . joli grand voile , Rolle , donc une perche dépassant 20 m . j'ai cru que ton voilier avait des
barres de fleche poussantes ( ? ) , donc il doit falloir bien border pour arriser. j'ai consulté le catalogue facnor : pas mal de
pieces à changer pour une full batten ; pas donné non plus ... N'y a t il pas d'usure de toile derriere les lattes avec ces BdF ?
Pour jean pierre , 50 m2 , 50 " , 50 ans et bientot 50° sud et plus ! JE me suis demandé si une garcette allant du mat (ou haut
du hauban) et en travers les BdF empecherais les lattes de creuser dans le mauvais sens . bonnes navs

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ABACAXI (15m ALU GARCIA comme un grand Maracuja )
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réponse n°107318

Ouais bonjour Octopus,
je suis en punition a Houston, bon ya plus méchant comme punition.

Alors entre au près a 6 nds et au portant a 8, ça fait une sacre différence d'arrosage et de vent quasi 15 nds ,
si on part de 15 réel, ça va pas loin, si on part de 30/35 de vent réel, ça fait une sacre différence.

en plus la GV elle fasseye presque pas puisqu'elle porte sur les haubans tout du long. Prendre un ris par 40 n?uds puisque
tue remonte au près, ca secoue pas mal.

Et puis tu sors le sot Clin que t'es monte en vitesse dans le vent pour ariser, ya bien quelque(s) capots reste ouverts qui ont copieusement écopé la
mer dans le mauvais sens.
C'est pas sur un matelas trempe que tu vas avoir un calin ce soir mon pote.

remarque pomper c'est une occupation comme une autre. Pomper de l'eau!. Eh, j'ai même pas penser a une cochonnerie.

Bon vent les amis. Clin

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