Il s'agit des sangles ANKAROLINA. Aucune publicité un simple renseignement que je vous donne; plusieurs autres marques sont
diponibles, j'en ai vu plusieurs au SN de Düsseldorf mais je n'ai pas les sites internet...
Enfin d'autres réponses arriveront.
Bonjour.
La limite des sangles: au mouillage quand on porte des amarres à terre. En effet, s'il y a du vent et dès qu'elles sont tendues
hors d'eau, elles entrent en vibration et résonnance! Très déplaisant.
Donc, comme toujours, plusieurs paniers pour y mettre ses oeufs!
Avoir à bord du polypropilène qui flotte, qui est pas cher et sert dans ces moments là et d'autres.
Excellente idée mais c'est quand même à peu près 2 fois le prix du bout 3 torons classqiue. Mais çà m'intéresse pour gagner
poids et place. En 2° mouillage et pour les amarres.
Les régatiers en Manche (surtout les Britaniques) utilisent des rouleaux de sangles (Il existe aussi des dévidoirs Inox adaptés vendus très cher) pour
mouiller au large, afin de ne pas culer en cas de calme et courant contre.
Avec un vent très faible, la sangle entre très rapidement en résonnance et c'est très désagréable pour tout l'environnement.
Solution: Amarrer une défense (pare battage) au milieu de la sangle pour l'empêcher de vibrer.
Cette façon de faire marche très bien.
Keogant
Grutant régulièrement des bateaux et utilisant donc des sangles je tiens à vous faire remarquer que l'eau de mer est très
corosif. La sangle va être litéralement cuite par le sel, sans parler des UV, et va casser sans prévenir et sans aucun signe
annonciateur. Alors à moins de changer celle-ci très régulièrement (tout les 6 mois pour une utilisation intensive, ce qui
corespond a peu près à une sangle qui sert d'ammare) ou de les rincer après chaque utilisation je n'utiliserais pas de
sangle pour ammarrer un bateau.
La sangle a-t-elle une élasticité comme les amarres ou le polyester? J'ai cru que les sangles sont parfaitement rigides ce qui
risque d'entrainer des chocs incompatibles avec la survie d'un taquet ou de la sangle
Utiliser des sangles comme amarres? Deux domaines:
1- Assurer le bateau en portant des amarres à terre (tisser sa toile)
Les sangles font merveille dans cet emploi par leur facilité de déroulement et de rangement sur bobine. Faire attention à éviter
qu'elles rentrent en vibration si eles sont hors d'eau. Vrillage ou autre.
2- Autres usages
Pour amarrer à poste un bateau, la longueur des amarres est toujours réduite et je ne recommanderai pas des "bouts" de
sangle mais des bouts "traditionnels".
Pour le mouillage principal en prolongement de la chaine, la encore un cablot classique est à préférer. Mieux même, du bout
tressé qui reste souple et tout seul se love très bien sans cosse dans le fond de la baille. La sangle, en revanche, rend de bon
service pour un mouillage arrière occasionnel de convenance pour maintenir le bateau dans le sens de la houle par exemple,
surtout si on ne bénéficie pas de la présence d'une baille à mouillage arrière proprement dite.
Le secret en fait, c'est d'avoir des systèmes d'enroulement permanent proportionnés au diamètre et à la longueur du bout dont
on peut avoir besoin et d'utiser sur ces enrouleurs la qualité de bout le mieux adapté à l'usage désiré. Polypropylène qui flotte
pour porter des amarres à terre, bout pressé pour le mouillage arrière.
Personnellement, j'ai 2 bobines (comme celles que l'on voit chez le ship pour débiter les bouts) de 120 m de polypropylène
chacune tournant sur un axe traversant le pied du mât, axe démontable, pour tisser ma toile, et sur le balcon arrière, un
enrouleurs inox de 80 m de bout tressé pour mon mouillage arrière.
Le monde du bateau à cela d'extraordinaire c'est qu'on le façonne à sa préférence, à sa mesure en toute liberté et à chacun sa
vérité.
J'ai observé cet été a un mouillage, un marin qui possédé un rouleau (structure inox) sur lequel était enroulé une sangle plate d'environ 70 métres (d'aprés ce qu'il restait sur le rouleau), il a mouillé par l'avant, reculé et là sa femme a pris la barre et lui a plongé avec palmes jusqu'à la roche pour s'amarrer dans la paroie. Il a pu nager trés rapidement sans s'arreter puisque la sangle était trés légère et c'est bien déroulé, la manoeuvre était claire et rapide.
Je trouve que c'est une bonne idée pour cela.
Nous nous avons un petit grappin de 2.5 kilo que nous jetons à terre le plus prés possible (ça fait du poid et surtout bien viser).
Puis nous prenons l'annexe pour mettre une 2 amarres, mais le bateau est déjà en place et nous ne sommes pas mouillé.
En voilà une bonne idée !
Comment fixer vous la sangle :
- sur le bateau
- à l'autre extrémité
Noeud de chaise ? noeud en 8 sur taquet ? autre chose ?
un site: http://www.marinestore.com/ankarolina.html?cart=317118729420225#specs
Il s'agit des sangles ANKAROLINA. Aucune publicité un simple renseignement que je vous donne; plusieurs autres marques sont
diponibles, j'en ai vu plusieurs au SN de Düsseldorf mais je n'ai pas les sites internet...
Enfin d'autres réponses arriveront.
DM
http://www.marinestore.com/ankarolina.html?cart=317118729420225#specs
Bonjour.
La limite des sangles: au mouillage quand on porte des amarres à terre. En effet, s'il y a du vent et dès qu'elles sont tendues
hors d'eau, elles entrent en vibration et résonnance! Très déplaisant.
Donc, comme toujours, plusieurs paniers pour y mettre ses oeufs!
Avoir à bord du polypropilène qui flotte, qui est pas cher et sert dans ces moments là et d'autres.
Excellente idée mais c'est quand même à peu près 2 fois le prix du bout 3 torons classqiue. Mais çà m'intéresse pour gagner
poids et place. En 2° mouillage et pour les amarres.
Les régatiers en Manche (surtout les Britaniques) utilisent des rouleaux de sangles (Il existe aussi des dévidoirs Inox adaptés vendus très cher) pour
mouiller au large, afin de ne pas culer en cas de calme et courant contre.
j'avais note: comment on fait pour les noeuds ? la question a ete posee sans reponse , me semble t'il? dommage .......
lealoic@hotmail.com
Pour nouer une sangle j'utilise : un tour mort et 2 demi clefs....
Simple
Eric
Il existe un noeud de sangle utilisé par les alpinistes, et qui marche bien.
Avec un vent très faible, la sangle entre très rapidement en résonnance et c'est très désagréable pour tout l'environnement.
Solution: Amarrer une défense (pare battage) au milieu de la sangle pour l'empêcher de vibrer.
Cette façon de faire marche très bien.
Keogant
Grutant régulièrement des bateaux et utilisant donc des sangles je tiens à vous faire remarquer que l'eau de mer est très
corosif. La sangle va être litéralement cuite par le sel, sans parler des UV, et va casser sans prévenir et sans aucun signe
annonciateur. Alors à moins de changer celle-ci très régulièrement (tout les 6 mois pour une utilisation intensive, ce qui
corespond a peu près à une sangle qui sert d'ammare) ou de les rincer après chaque utilisation je n'utiliserais pas de
sangle pour ammarrer un bateau.
La sangle a-t-elle une élasticité comme les amarres ou le polyester? J'ai cru que les sangles sont parfaitement rigides ce qui
risque d'entrainer des chocs incompatibles avec la survie d'un taquet ou de la sangle
Utiliser des sangles comme amarres? Deux domaines:
1- Assurer le bateau en portant des amarres à terre (tisser sa toile)
Les sangles font merveille dans cet emploi par leur facilité de déroulement et de rangement sur bobine. Faire attention à éviter
qu'elles rentrent en vibration si eles sont hors d'eau. Vrillage ou autre.
2- Autres usages
Pour amarrer à poste un bateau, la longueur des amarres est toujours réduite et je ne recommanderai pas des "bouts" de
sangle mais des bouts "traditionnels".
Pour le mouillage principal en prolongement de la chaine, la encore un cablot classique est à préférer. Mieux même, du bout
tressé qui reste souple et tout seul se love très bien sans cosse dans le fond de la baille. La sangle, en revanche, rend de bon
service pour un mouillage arrière occasionnel de convenance pour maintenir le bateau dans le sens de la houle par exemple,
surtout si on ne bénéficie pas de la présence d'une baille à mouillage arrière proprement dite.
Le secret en fait, c'est d'avoir des systèmes d'enroulement permanent proportionnés au diamètre et à la longueur du bout dont
on peut avoir besoin et d'utiser sur ces enrouleurs la qualité de bout le mieux adapté à l'usage désiré. Polypropylène qui flotte
pour porter des amarres à terre, bout pressé pour le mouillage arrière.
Personnellement, j'ai 2 bobines (comme celles que l'on voit chez le ship pour débiter les bouts) de 120 m de polypropylène
chacune tournant sur un axe traversant le pied du mât, axe démontable, pour tisser ma toile, et sur le balcon arrière, un
enrouleurs inox de 80 m de bout tressé pour mon mouillage arrière.
Le monde du bateau à cela d'extraordinaire c'est qu'on le façonne à sa préférence, à sa mesure en toute liberté et à chacun sa
vérité.
J'ai observé cet été a un mouillage, un marin qui possédé un rouleau (structure inox) sur lequel était enroulé une sangle plate d'environ 70 métres (d'aprés ce qu'il restait sur le rouleau), il a mouillé par l'avant, reculé et là sa femme a pris la barre et lui a plongé avec palmes jusqu'à la roche pour s'amarrer dans la paroie. Il a pu nager trés rapidement sans s'arreter puisque la sangle était trés légère et c'est bien déroulé, la manoeuvre était claire et rapide.
Je trouve que c'est une bonne idée pour cela.
Nous nous avons un petit grappin de 2.5 kilo que nous jetons à terre le plus prés possible (ça fait du poid et surtout bien viser).
Puis nous prenons l'annexe pour mettre une 2 amarres, mais le bateau est déjà en place et nous ne sommes pas mouillé.