Homme à la Mer, récupération automatique

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FIREBALL (Monocoque)
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Homme à la Mer, récupération automatique
sujet n°82993
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Anonyme (non vérifié)
réponse n°92064

bonsoir,

pour faire court, ce n'est peut être pas irréalisable, mais sans doute irréaliste. Je n'ai pas de compétence technique particulière,
mais le recul de la personne qui a vu trop d'usines à gaz sans avenir.

un investissement dans la prévention des chutes à la mer serait sans doute plus judicieux.

Pour le système proposé, il y a d'abord une difficulté de répérage: j'attends toujours que l'on me démontre que les balises en
tout genre destinées à repérer l'homme à la mer sont notablement plus efficaces qu'une lampe flash.

Le poids ensuite: un système automoteur ne saurait peser moins de quelques dizaines de Kg.

Pourvu que je me trompe

JF Perrouty

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DUFOUR
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réponse n°92118

Il doit aussi être possible d'adjoindre une espéce de touline qui serait placée dans la bôme faisant office de canon. Lorsque que
le marin tombe, la bome se dirige vers le déséquilibré grace à un systéme de visée attiré par la balise portée du naufragé. PAN !
Un crochet électro-aimanté passerait directement dans l'anneau du gilet et la tension produite déclencherait l'enroulement du
cordage de la touline qui ramérait le petit baigneur à bord. Arrivé en butée, le cordage déclencherait une douche qui rincerait le
rescapé.
Mais je me demande si je ne délire pas un peu !? SourireSourire

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BILOUP 36
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réponse n°92192

Point important un appereil photo qui prendrait automatiquement des clichés pour le retour au Bar du port, couplé à une
boite email pour rassurer la famille...

Ben quoi !?!

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POUVREAU PLAN AUZEPY BRENNEUR
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réponse n°92315

Je vous propose un système moins onéreux et plus simple: un cable résistant fixé solidement à l'étrave et à la poupe permettant
de crocher la longe du harnais de sécurité et assurant ainsi que notre cher HAM reste relié au bateau.
Ah bon, c'a existe déjà et ça s'appelle "ligne de vie"?

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DUFOUR
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réponse n°92323

En vérité mes équations s'embrouillent.
Le systéme electro-aimant est difficile à gérer.
Par contre la touline pourrait emporter un petit bateau moteur type maquette téléguidée se dirigeant automatiquement vers le
naufragé grace à la balise portée par celui ci.
Un jeu de virements encercle le M.O.B. (s'il est inconscient) le noue puis le remonte à bord comme indiqué précédemment.
Les puristes comme B.S. peuvent évidemment utiliser une maquette de voilier radiocommandée.

Evidemment l'appareil photo constitue un plus indéniable pour démontrer qu'on ne galége pas.
Ca peut alimenter une conversation avec les copains de comptoir au bar du clube.

Ceci dit la ligne de vie n'est recevable que par petit temps ou si on est plusieurs à bord... et qu'il en reste un sur le pont !
Autrement, on se retrouve à la traine, comme le pauvre père du regretté Marc Linski.

pym
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DRAGONFLY 920
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réponse n°102519

On ferait plus de choses si on croyait moins d'impossibles (Montaigne).

Deux volets :
1°) détection
2°) récupération

1°) La détection peut en effet être assurée au travers d'un émetteur déclenché par l'immersion, voire directement par le
gonflage du gilet. Les composants émetteurs sont fiables, peu chers, et il n'y a pas besoin d'une mise en forme de signal
sophistiqué.

2°) La récupération semble être le point noir si j'en juge par les remarques, constructives, qui ont été émises.
Il est peut être possible de contourner le problème de la localisation en utilisant la configuration d'un homme à la mer :

Quand un homme tombe à l'eau et que le bateau est en mouvement, le naufragé se trouve nécessairement à l'arrière du bateau
qui continue à avancer. A 10 Knds, le bateau parcours 5 m/s.

Dans l'hypothèse d'une réaction du système à 3 s, le naufragé est déjà à 15m.

L'idée pourrait être de larguer depuis la poupe un propulseur rapide (turbine à air comprimé alimentée par une bouteille
comme les torpilles) entraînant un câble en direction de l'arrière et, simultanément , donner au bateau un coup de barre qui
lui fait décrire une boucle pour rejoindre le système.

En pratique : un lancement du système depuis la poupe à tribord vers l'arrière. Coup de barre au travers du pilote vers
babord pour une boucle du navire sur son babord pour rejoindre le système.

Dans l'hypothèse d'un propulseur filant 10 knds, il mettrait environ 4 à 5 secondes pour rejoindre le naufragé et le
dépasser puis environ autant pour rejoindre le bateau en enserrant le naufragé dans la boucle de cordage.

10s d'autonomie à 10 knds représente environ 50 m. Une autonomie de 100 m ne me semble pas irréaliste.

Ca peut être jouable, pourquoi pas.
L'idée vaut le coup d'être tentée.

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réponse n°104438

D'accord pour le volet detection.
pour le volet recuperation pourquoi ne pas utiliser le voilier ?
Au meme titre qu'il a ete mis au point des systeme anti chavirage, ne peut-on pas enviager un syst de mise a la cape ?
1er temps : la chute est detectee, delai 3 s. ou 15 m.
2eme temps le pilote couple a la girouette lofe et envoie un virement de bord.
3eme temps un syst electro aimant choque la GV en grand au passage du lit du vent, la voile d'avant bat a contre.
4 temps le pilote pousse la barre a contre sitot le bateau travers.
resultat : HLM et bateau derivant sur la meme ligne a 15 m l'un de l'autre (quelque soit l'allure de depart, faites un
shema), vu le fardage du bateau celui ci derivera t'il plus vite ?
Si oui, il rejoindra naturellement l' HLM
si non, je conseille a l'HLM d'etre toujours conscient et de nager un peu face au vent.

J'ai bon ?
MDR

Heu... ca existe pas deja ? Mécontent
(je sais pas, j'ai pas de pilote...)
(j'ai pas de voilier non plus d'ailleur...)
(mais un jour...)

Anonyme (non vérifié)
réponse n°104439

bonsoir,

ça existe: le pilote NKE avec télécommande commande un virement dès que la télécommande s'éloigne d'une trentaine de
mètres du bateau puis garde la barre dessous; en plus sonnerie et, éventuellement déclenchement d'une alarme ASN ou autre;
largage des écoutes non prévu en série. Même réaction avec les boîtiers pour équipiers.

Les pilotes Simrad doivent faire à peu près la même chose, à vérifier.

bonnes navigations

JF Perrouty

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ENDURANCE 35 KETCH (Monocoque)
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Cotisant depuis 2003
réponse n°105132

pourquoi faire compliq...etc. Il y a à bord du matériel obligatoire, il suffit de s'en servir: harnais et ligne de vie, attachez-vous
sans honte et sans reproche et voyagez cool, point final.
BRICK-OLE

Anonyme (non vérifié)
réponse n°105133

bonjour,

excellente remarque, à condition que les points d'attache des longes de harnais côté bateau existent et soient repérées, et
évitent d'être projeté hors du périmètre des filières, avec le risque d'être traîné et noyé.

En particulier les "lignes de vie" ne doivent être utilisées que pour se déplacer, pas pour une manoeuvre (points d'attache
permettant de s'amarrer aussi court que possible en pied de mât ou à l'avant, ainsi que dans le cockpit).

bonnes navigations

JF Perrouty

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DUFOUR 385 GL (Monocoque)
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réponse n°157186

Dans les année1975 Alain Colas s'était interessé à la question en s'informant sur les travaux de ce qui allait devenir l'air bag de voiture et son dispositif pyrotechnique . Il n'a malheureusement pas eu la possibilité de suivre l'évolution de ce projet considéré comme beaucoup à l'époque comme utopique  

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CRANCHI GIAN
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réponse n°161513
 

 ajoute un petit bateau moteur  50 cm qui amene d office un petit "malibu" au copain dans la flotte, le tout de le faire attendre a l aise et cool...

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réponse n°190596
 

 il existe des systèmes qui lorsqu'il y a MOB le bateau se mette face au vent, il suffit de laisserc trainer un bout d'environ

30 mètres, ce qui n'aurait pas un grosse influence sur la vitesse du bateau et permettrait en cas d'équipage sur le bateau de faire

du circling pour récupérer  le passager. Si il est tout seul il se débrouille. Le mieux étant de ne pas tomber, car même  voiles
 
faisseyantes, dans 15 nds la dérive est spectaculaire

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