radeaux de survie 1

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radeaux de survie 1
sujet n°78915
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Anonyme (non vérifié)
réponse n°76533

bonjour
de l'eau à ton moulin, apres qq 30et qq annees de navigation de plaisance maintenant en retraite j'ai percute 4 survies en cour
de validite et revisees entre autre ma derniere classe 2 Zodiac expirant en mai 2003 et revisee en juillet 2002, fin septembre
2002 en fin de saison donc je decide de la percurter (dans le jardin) bien m'en a pris le bout de declanchement n'etait pas
attache à la bouteille !!!! il y a qq annees impossible de percuter une classe 2 le bout etait entortille autour de la bouteille, un
peu avant oblige de se mettre à deux pour percuter une classe 5, ces deux dernieres en cour de validite.
Il suffir d'interroger les station snsm qui font des demonstrations dans le sud lors des puces nautiques, et qui se posent toujours
la question va-t-elle s'ouvrir ou non et surtout ne jamais faire l'inventaire ni voir l'avitaillement car la les surprises ne manquent
pas non plus.
Malheureusement je n'ai jamais penser à faire constater par huissier mais le prochaine ce sera le cas
Nautiquement
Daniel 13/73

Anonyme (non vérifié)
réponse n°76785

Bonjour et félicitations pour cet article. Pour ma part je n'ai jamais percuté de survie que ce soit par nécessité (je touche du
bois) ou pour m'exercer.La question que je me pose c'est pourquoi on nous oblige à avoir des survies pour 6 alors que moi je
navigue avec mon amie quand je vais aux Baléares par exemple. Pourquoi n'existe-t'il pas des survies pour 2,3 ou 4 personnes.
En effet, la question qui m'obsède c'est qu'un jour je doive me réfugier avec mon amie dans ma survie avec des creux
importants. Une survie pèse au moins 50 kgs si ce n'est plus. Est-que l'on pourra à nous deux balancer un engin à l'eau aprés (si
on y arrive) l'avoir sorti de son emplacement, le tout sur un bateau instable et avec le stress en plus! Une survie devrait avoir la
même règlementation que les gilets ou les harnais, c'est à dire adaptée au nombre de personnes présentes sur le bateau. A
chacun de se déterminer sur la grandeur ( donc le poids) de sa survie. Cela me semblerait plus "intelligent" car encore une fois je
ne suis pas sûr de pouvoir me servir d'un radeau sur un bateau en perdition et surement dans une mer déchainée.
Qu'en pensez-vous?

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KIRIÉ FEELING 446
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réponse n°90367

J'ai un survi dynamique Tinker, connaissez-vous?

T37
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TRISMUS
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réponse n°118831

Bonjour,

Avec de petits moyens, j'ai transformé mon annexe à plancher rigide, en survie dynamique.

Mais bien sûr, ma philosophie m'a fait opter pour le pavillon Belge !

Cordialement.

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BILOUP 89 (Monocoque)
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réponse n°134936

Bonjour,

Petit témoignage: ma survie étant périmée (depuis quelques années déjà), je décide de la percuter sur ma pelouse: déclenchement parfait, elle se gonfle normalement.. Super!
Après 2 ou 3 heures, les boudins sont ramollis, peut être poreux avec l'age?. je prépare la pompe fournie et devisse le bouchon, et là surprise!, le boudins se dégonfle : les clapets anti retour ne fonctionnent pas et sans doute n'ont jamais fonctionné (pas étanche)
J'en ai froid dans le dos
Cordialement
JF

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réponse n°177942
E. Feller a écrit :
Titre Article : Survies dynamiques
Bonjour à tous,
 
En lisant vos réactions et vos témoignages , je pense pouvoir apporter un éclairage à plusieurs problèmes distincts.
 
L?éternel problème des « survies dynamiques » est que le débat a été enterré et clos définitivement par le conseil supérieur de la plaisance en 1980 pour les motifs suivants : trop aléatoire dans les conceptions, trop coûteux à l'entretien et pas assez de personnes concernées.  

Bonjour à tous,
Je peux témoigner de l'utilité évidente du radeau statique "Plaisance" l'ayant utilisé en 1973 avec les 5 autres membres d'équipage d'un voilier qui avait coulé rapidement en méditérranée à 50 km des côtes, sans moyen de communication dans le voilier ou le radeau, nous y sommes restés 36 h dans une mer trés agitée avant d'être récupérés de nuit par un ferry grace aux fusées parachutes et à la vigilance du marin de quart, le seul problème si l'on peut dire était la stabilité du radeau dans les descentes de vagues déferlantes de nuit, et malgré ses poches de stabilisations il fallait équilibrer les poids en permanence sous la tente et sans visibilité...
La mise à l'eau du radeau de survie avait été facilitée...par le fait 1- qu'il avait été éjecté de son berre en pied de mat par la vague qui avait retournée le voilier, qu'il flottait gentiment mais en dérivant autour du voilier!  2- que sa fixation avait été prévue pour une mise à l'eau rapide cqfd, la percussion était conforme mais forcément longue car le bout de ~10m est désepérement long à tirer lorsque on nage à côté du caisson...et qu'il n'y a plus que lui pour survivre!
un radeau dynamique dans ce cas aurait posé le problème de sa vitesse comparée à l'objectif à atteindre, car les possibiltés d'eau potable et de nourriture pour 6 à bord sont trés limitées ... mais le fait de pouvoir se déplacer volontairement aurait permis de multiplier la possibilté de croiser d'autres routes maritimes.

Sans lui nous ne serions pas là tous sains et sauf aujourd'hui. 

 

jpterriere@hotmail.fr

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