Parfait!
Bravo,
Je mets un lien de suite dans ma page de liens. Pour pourvoir revenir à loisirs, il y a tant de choses.
Merci Catherine et Patrick. Allez , une petite page sur l'équipage , l'histoire qui vous conduit là, c'est peut-etre dedans j'ai pas
encore parcouru en détail.
Oulala faut que je lise tout avant le départ....

Jean-Pierre

http://perso.wanadoo.fr/argonaute-expedition//liens.htm

scotchée sur les pages ........grrrr STW lol

je ne trouve pas de forum approprié à mon problème mais je me dis que là où vous êtes vous avez dû rencontrer le même
problème: je suis actuellement assuré pour une zone de navigation qui se limite à l'atlantique et je voudrai aller le + loin possible
(pacifique ou indien): connaissez vous des assureurs qui acceptent...

merci d'avance

ul.ysse@caramail.com

Pour les assureurs il y a Armanien (cité dans le texte) sur Marseille mais aussi qq autres comme de Lassée à La Rochelle par
exemple. Retiens cependant que tous sont réticents à prendre un client qui était chez un autre pour les zones "tranquilles" de
l'Europe et changent uniquement pour les zones où ces assureurs estiment prendre plus de risques (financiers bien sur, les
autres risques sont pour le client). Une grande prudence lors de la lecture des contrats et pour la comparaison. Amitiés. Chac.

Article interessant et bien vu !
Je pars dans quelques semaines pour "des grandes vacances", 6 mois en méditerranée en partant de bretagne (c'est ma première
grande navigation et je pars seul, donc j'ai pris l'option "canal du midi" pour cette première tentative...)
Et même si c'est 6 mois et tout en restant en Europe, tout le monde me demande "Tu pars quand pour ton tour du monde" !!!

Difficile d'en parler "avant" mais dès mon retour je pourrais raconter cette aventure qui à l'approche du départ ne me
semble pas si compliqué à organiser. J'ai pris la décision de partir il y a 2 ans, j'ai changé de bateau, quitté mon
appartement, fais des économies... mais petit à petit le projet se construit sans faire la révolution. C'est un chemin à
suivre, jusqu'à maintenant ca ne ressemble pas au "grand saut". Enfin jusqu'à maintenant...

Je pourrais donner des infos sur le budget (préparation, navigation), sur la préparation du bateau, à mon retour. En
attendant, j'espere ne pas dire de betise en disant qu'un projet de navigation ce n'est pas si compliqué. Il me reste à le
vérifier...

Edouard.

www.belacarta.com

Pour Belacarta: la Méditerranée peut paraître peu exotique, mais il vaut mieux savoir avant de partir qu'on ne trouve pas
partout de quoi se dépanner en cas de besoin - il faut donc emmener le maximum de pièces de rechange. Prévoir aussi des
bidons pour l'eau (rare dès la Grèce), un mouillage arrière pour faciliter l'amarrage à quai sur ancre en solo...j'arrête là car tout
a été dit sur d'autres forums.

Bonjour et merci pour cet article fort intéressant,

J'appartiens à une catégorie que vous évoquez: je suis militaire de carrière; officier supérieur dans l'armée de terre pour être
précis. Je nourris des rêves de grand départ ("loin longtemps"), renforcés au gré des miles depuis mon plus jeune âge, et je
suppose aujourd'hui que ce sera pour la retraite car le déroulement de carrière verrouille pour le moment pas mal de choses!

La consultation de multiples publications, des plus classiques à d'autres plus "exotiques", me plonge dans une belle perplexité:
j'ai l'impression d'être le seul à imaginer mon coursier idéal sous les traits d'un monocoque de 13 mètres en alu, à quille relevable,
double safran et probablement cockpit central.

Les chantiers "Alliage" ont bien proposé fugitivement un Azzuro 42 à quille relevable mais celui-ci a disparu du catalogue! De
surcroît, il faut probablement que je change de métier si je veux avoir les moyens idoines...

Bref, je voudrais discuter du concept "13 mètres en alu, à quille relevable, double safran et probablement cockpit central",
ajoutant par ailleurs que je verrais bien des ballasts pour limiter le poids du bulbe en bout de quille et réduire d'autant les efforts
structuraux dans le puits et sur le voile de quille lui-même...

Un début d'argumentaire: 13 mètres pour la longueur, l'habitabilité, l'aptitude à "étaler" les grosses mers; l'alu pour la tolérance
aux agressions les plus diverses et la polyvalence ("loin longtemps"); double safran pour un contrôle optimal à la gite et la
compatibilité avec un tirant d'eau variable (safrans fixés sur le tableau arrière pour pouvoir les échanger facilement en cas
d'avarie); cockpit central pour le confort et la sécurité en mer ainsi que le partage naturel dans la cabine entre "zone vie" en
avant du cockpit et "repos" à l'arrière; reste enfin l'aspect qui semble le plus original: la quille relevable. Un tel dispositif vaut
essentiellement pour le couple de rappel plus sécurisant que celui d'un dériveur intégral, sans pour autant avoir à alourdir
démesurément le bateau. Je n'envisage pas de naviguer "loin longtemps" l'écoute de foc à la main et celle de voile entre les
dents mais tout de même, il faut que le bateau avance... et puisse remonter au vent, notamment au vent d'une côte en panne
de moteur... ou sur une traversée un peu longue pour laquelle Eole semble avoir des humeurs belliqueuses.

Si vous avez un peu de temps à me consacrer et/ou à perdre, je suis preneur de tout commentaire et/ou conseil!

Merci d'avance...

Le sujet a été abordé dans le forum. Je te réponds pour ne pas te laisser tout seul.
J'ai fait cette démarche il y a 15 ans et j'ai fait construire un voilier de 13,50 à quille relevable, avec un très grand
cockpit. Aujourd'hui je suis revenu à un dériveur intégral de chez Garcia, encore que le système est le même chez OVNI (par
exemple). Petit avantage chez Garcia, le progil NACA qui donne des performance supérieures. Mais, en gros on est dans la
même logique.
Le problème du quillard à quille relevable c'est que quille haute tu n'as plus de stabilité sous voile. Je crois d'ailleurs
que nous avons du relever la quille trois ou quatre fois sur un tour du monde (pratique pour se "déplanter"...).
Avec le dériveur intégral, je relève la dérive très souvent. Au portant, en entrant dans certains port, je laisse les bouts
de remontée libres pour faire face à un risque d'échouage. Autre avantage je remonte la dérive à la main, sans problème. En
navigation, au portant, la dérive relevée apporte de la douceur dans le comportement (pas de croche pied) , un surcroît de
vitesse.
Mon conseil, que j'ai déjà indiqué par ailleurs est le suivant: "pense à la valeur de revente de ton bateau", attention au
mouton à 5 pattes.

allez, bonne Nav
Jean-Luc

Bonjour,
J'espère que vous pourrez consacrer quelques minutes à ce message:
J'ai 24 ans et j'ai le projet de faire un tour du monde en voilier. J'ai déjà pas mal lu sur le sujet mais je ne sais pas
trop quoi penser:
on voudrai partir a 8, sur deux bateau (pour plus de sécurité). On envisage d'acheter deux monocoques, type Dufour 30 (pour
4 personnes), car les prix sont vraiment moins cher pour les bateaux de séries. On voudrait les rénover pendant six mois,
pour mettre toutes les installations nécessaires et ainsi avoir des bateaux prêt pour la grande traversée.
On se pose des questions sur le trajets: quand partir (cote france atlantique) pour avoir les vents au portant, ou trouver
ces informations? Est-il possible de passer par le cap horn avec ce type de bateaux ou cela n'est pas très conseillé?
On voudrait acheter les monocoques d'occasions aux agences de locations (type sunsail), on pense que c'est le moins, d'après
ce que on a vu... quelqu'un connait un moyen moins cher?
Que pensez-vous d'un tel projet?

Merci a tous

Adrien m

adrien
a 8 sur 2 bateau de trente pieds(environ)...ca risque d'etre une premiere..
au vu des questions que tu te pose je crois que la premiere chose que tu devrait faire c'est de navigué un peu,voire méme
beaucoup,sur des voiliers de cette taille,pour comprendre les probleme que vous risqué de
rencontrer..humeurs,inconfort,promiscuité(,et simple probleme de poids et d'autonomie).ensuite tu devrais t'apercevoir que ce
n'est peut etre pas la meilleur idée du monde..sans vouloir te decourager,,bien au contraire,mais a mon avis,tu a plus de chance
de reussite en partant ,par exemple a deux,méme si le voilier doit etre encore plus petit..
sinon,un batreau genre dufour 30 n'est vraiment pas l'ideal pour passer par le cap horn,,
francis

adrien
sinon pour le depart,mieux vaut partir pendant l'eté de france,descendre tranquilement jusqu'au cap vert et traversé a partir
de novembre si tu vas au bresil(plus court environ 1700 milles cap vert/cabedelo) ou plutot a partir de decembre si tu veux aller
plutot directement sur les antilles
en effet en novembre tu peu encore(rare quand méme)rencontrer des phenomenes cylonique sur la route des antilles,alors que
la route bresilienne en est exempte puisque l'on tire tout de suite vers le sud et l'equateur.
en gros de decembre a mai c'est bon partout,et presque toute l'année si tu traverse pour ralier le bresil
francis

Merci pour tes réponses,
Tu as surement raison sur les bateaux, il faudrait peut être des bateaux plus gros. Je navigue depuis longtemps mais
j'essaie de faire un projet le moins cher possible.
A propos du cap horn, penses-tu que le problème soit le matériel du bateau, plastique, ou le modèle? Dans le sens ou si on
part avec un bateau plus "robuste" mais restant en plastique, est-ce que cela te semble possible? du genre sun fast 32, ou
des modèles plus grand.

Merci

Adrien

adrien
ce n'est pas un probleme de materiau,il y a des tas de bateaux en plastique et de serie qui ont passé le horn,je ne connais pas
particulierement le dufour 30 donc je ne juge pas ce bateau en lui méme
j'emets plutot des doutes sur le realisme d'un tel projet,(4 sur un bateau de 30 pieds c(est beaucoup pour du long cour)
sinon,si tout l'equipage et aguerri,et le bateau TRES bien preparé,tout est possible,
mais tu peu choisir aussi une route plus facile..ne perd pas de vue que le cap horn,a la belle saison,peu souvent ressembler au
golfe de gascogne en hiver,pour essayer de faire une comparaison!!
et,si ce n'est pas trop indiscret,pourquoi partir a 8?..il faurt je pense un sacré catalyseur commun pour que ca puisse
fonctionner avec autant de personalité diferente dans l'inconfort d'un petit bateau......en tout cas,je vous souhaite une bonne
reussite si vous realisez ce projet!
francis

Bravo, cet article est très bon, sujet à relancer

Bonjour,

On a pas mal revu nos prétentions et on opterai + pour un monocoque de 37-40 pieds, pour 4 personnes. Je suis entrain de
rechercher le meilleur type de bateau pour ce projet. Quelqu'un sait si il y a des constructeurs meilleurs que d'autres pour
réaliser un tour du monde? Y-a t'il des bateaux (constructeurs) pas du tout fait pour ce type de voyage?
Merci pour votre aide

Adrien M.

Bonjour,
Très difficile de donner une réponse. Si la taille semble raisonnable, la technique, le sentimental et le porte feuille s'affrontent. Le
bateau idéal sera celui qui à la fois rentrera dans le budget d'achat, sera d'un état suffisant pour ne pas devenir un enfer
d'entretien pendant le voyage, aura la capacité de chargement suffisante (amusez-vous à faire la liste des courses pour 4 pour
30 jours, c'est vite impressionnant), des réservoirs d'eau et de gazoil sérieux...Acier, alu, polyester, bois, peu importe.
L'important est de se sentir bien et en confiance avec le matériau choisi. Si en France on a tendance à ne jurer que par le
dériveur intégral en alu, le reste du monde "monocoquiste" voyage plutôt en quillard. Et puis il y a les petits détails comme les
cuisines impraticables avec de la gîte, les équipets qui ferment mal, le manque d'aération, etc...Bref, visitez, essayez, projetez-
vous...Et bon vent pour ce qui pourra être une belle aventure.

Salut,
Merci beaucoup pour vos réponses, Archinav et Chac, cela me conforte dans l'idée qu'il n'y a pas de modèle idéal. Nous
allons surement nous promener sur les ports et squatter les salons pour trouver notre "bateau idéal".
Bonne chance à vous
Adrienm