14/12/2014
12/10/2017
Identification
Autre
Qualité
Sécurité
Prix
Le 14 Décembre 2014 20:55
Marina peu sécurisée, chère pour les services et trop proche de la
plage. Mais mieux sécurisée que les bouées trops proches du bario et de
l'île de La Piedra. Bouées à éviter.
Dans la nuit du 10 au 11 décembre 2014 nous étions pourtant 2 bateaux sur
bouée face à la marina. A 1h1/2 du matin,3 jeunes hommes armés de
couteaux sont montés à bord. Heureusement nous ne dormions que d'un
oeil. Comme toujours la porte de la descente est montée bloquée et laisse
passer l’air d’un espace de deux mains, entre elle et le dessus tiré,
personne, à moins de bien connaitre le système, ne peut passer son corps
sans bruit si l’alarme est enclenchée. Précaution indispensable, qui
s’est avérée par la suite, efficace. Les bruits se font plus distincts,
je regarde par le hublot du cockpit, toujours vide en même temps que je me
lève pour saisir la machette, toujours à poste, au pied de la descente. Si
quelqu’un est monté à bord pour pénétrer dans le bateau il passe
nécessairement dans le cockpit. Là tout va très vite, en même temps que
j’entends Joce crier « il y a quelqu’un, il y a quelqu’un » et taper
sur l’autre hublot (elle venait d’apercevoir des jambes, sur le tableau
arrière) Que deux hommes ont sautés dans le cockpit et de suite l’un
deux, passe la main pour essayer d’ouvrir la porte. Je me mets à hurler,
mais rien y fait, il insiste. Dans le même temps je donne des coups de
machettes en prenant soin de rester sur le coté. Je ne veux pas me
présenter à eux de face, car j’ignore s’ils ont une arme à feu. En
fait mon vis-à-vis avait un couteau. Couteau que j’ai évité de justesse,
qui fit une belle entaille sur la cloison et qu’un coup de machette bien
appliqué fit tomber à mes pieds. La dans un éclair, c’était lui ou
nous. Mon agresseur n’avait plus d’arme, c’était le moment de le
neutraliser. En pleine poire la machette est partie. je venais d’ouvrir la
porte déclenchant l’alarme, pour avoir plus d’espace afin de mieux
porter mes coups. L’un associé à l’autre, fit fuir mon agresseur et ses
comparses, des gamins de 16 ou 17 ans gaillards et agiles comme des singes,
qui regagnèrent la petite ile en face, à la nage. Nous étions la deuxieme
agression de la semaine,confirmée par la police et les responsables de la
marina.
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