Cuba vit actuellement en situation difficile avec une monnaie basse et une raréfaction des biens et de la nourriture devenus rares. Pas de difficulté pour les fruits, mais la recherche de pain, farine, oeufs, huile, lait, pâtes, conserves, viandes, poissons ou même langoustes, relève du parcours du combattant. Idem pour tout objet ou pièce détachée de la vie courante ou d'entretien du voilier. L'embargo américain est total, les magasins ont de grandes vitrines vides. Depuis la Covid, la situation a empiré avec le non-retour des touristes. Les habitants sont a la recherche du moindre Pesos pour survivre et nombreux sont ceux qui ont dérapé vers l'anarque au touriste de passage, dont les navigateurs font partie. Exemples subis ou observés : - "d'où venez-vous" est l'approche dans la rue de gentils passants souhaitant en réalité vous soutirer à terme de l'argent. Attention et passer en refusant la discussion, - le taux de change officiel en banque étant très bas, il se réalise dans la rue. Le bon taux, pour les 2 parties, est de un euro pour 190 Pesos. Attention de bien vérifier la somme obtenue en dizaines de billets car les erreurs sont fréquentes, corrigées avec le sourire et une excuse si on s'en aperçoit, - il y a rarement de Wifi gratuit aux cafés. Il faut acquérir des cartes Wifi qui permettent de se connecter sur les réseaux. Il est aussi possible d'acheter une carte sim Cubaine que l'on rechargera en data. Ces cartes et Sim ne coûtent que quelques euros et doivent être achetées uniquement auprès de l'organisme Telecom officiel ETECSA. Dans la rue les cubains les vendront des dizaines de fois plus chères et parfois bloquerons les cartes le lendemain de l'achat. La seule chose abondante et bon marché est le gasoil au prix de 0,20€ le litre si payée en Pesos ou 1USD si payé en CB. Attention de détenir la valeur juste en Pesos au moment du paiement, car, un des capitaines du port du jour à Santiago, a refusé de me rendre 70€ de monnaie sur un billet de 100€. Santiago, Marina Marlin : 2 pontons pour les bateaux de passage, soit environ 4 à 6 places, bien protégées. Pas d'électricité et eau aléatoire Un contact local utile et honnête : Pietro qui habite dans une maisonnette verte au dessus de la marina et qui vous attend à la sortie gardée de la marina. Cienfuegos, Marina Marlin : plusieurs places au ponton ou au mouillage. Pas électricité et eau aléatoire Contact local serviable, honnête et réactif pour des taxis ou du change ou de la nourriture : Raul par WhatsApp +53 5 3384318 A Cienfuegos comme à Santiago, l'usage de l'annexe, autrement que pour se rendre du mouillage à la Marina, tout comme des mouillages en bateau hors de la marina, sont interdits. Coûts d'entrée élevés : 250€ pour un 42 pieds et 2 personnes. La sécurité à Cuba, en ville, même la nuit, est totale. Attention à la saison des pluies débutant fin mai, les orages sont fréquents et violents et une foudre abondante qui va avec.

Bon accueil, le français est compris, la marina est parfaitement sécurisée 24h sur 24h, tarif élevé même pour un long séjour (similaire aux prix européens) Pas d'hotel et pas de ravitaillement a proximité La ville est éloignée, pas de ligne de bus régulière, obligation de prendre un taxi (négocier avec les taxis parallèles) GROS PROBLEME, la marina se trouve sous le vent d'une raffinerie, si vous restez longtemps vous aurez le pont tout jaune, a nettoyer a l'acide

 Arrivée un matin tôt fin décembre 2014: accueil très sympathique par le doc/véto. Mouillage tranquille (attention à respecter le chenal des cargos qui vont jusqu'à la rafinerie).  Formalités un peu longues (douanes, chien, port) mais dans la bonne humeur, compter 2 ou 3 heures pour pouvoir débarquer. 6 à 8 places au ponton en ciment, mais mouillage abrité. Nous n'avons pas testé l'électricité ni l'eau (déclarée non potable par le toubib). Il est facile de trouver une voiture pour se rendre en ville (10 km), demander au port ou aux jeunes qui attendent au bar de la marina. Santiago de Cuba est une ville à visiter, beaucoup de bars avec de la musique locale, restaurants en terrasse, population très sympathique et toujours prête à vous aider. A voir aussi Cayo Granma, ilôt dans la baie, accessible avec un passeur.

Bonjour à tous, Je suis passé ce printemps par Santiago. Le prix est le même qu'ailleurs (c'est l'Etat qui décide, ici). Attention aux cheminées industrielles qui crâchent des poussières qui m'ont bien attaqué le pont. Si le vent vient de Santiago ciudad, mettre une bâche sur le pont. A part ça, c'est un bon endroit pour laisser le bateau et visiter le sud de l'île qui est peu connu. Un tuyau : aller visiter "El pinares" (la pinède) de Mayari . C'est la région la plus verte de Cuba, avec un plateau au-dessus de Mayari et des cascades très fraîches (il fait chaud à Cuba). Vous pouvez contacter, à Mayari même, Koki (tout le monde le connaît par son surnom) qui vous organisera une balade dans le coin et qui possède de quoi vous héberger dans des chambres confortables. C'est la gentillesse même et sa femme, Iliana, cuisine vraiment très bien. Son tel cubain: 53978943. Sinon : villadonkoki@nauta.cu Attention, à Cuba, il y a deux Mayari. Je parle du Mayari où il y a la pinède, dans la province d'Holguin. A part ça, gaffe lors de l'inspection des douanes, lors du départ: il y  en a un qui nous a piqué un téléphone portable pendant l'inspection. On s'en est aperçu trop tard et je ne lui ai pas collé aux fesses lors de son inspection (erreur). Reste que Santiago est une belle ville qui vaut le détour et la région aussi Michel (voilier Shosholoza)

Nous y sommes passés en décembre 2016. L’accès est extrêmement facile à travers un chenal profond bien balisé de jour comme de nuit. Notre arrivée s’est faite vers 2 heures du matin sans difficulté avec l’exception des nombreuses lumières blanches montées sur des barques qui péchaient dans l’entrée du chenal. Le personnel de la marina étant disponible en continu, l’accueil se fait 24 heures sur 24. Le site est agréable et bien protégé. Les pontons ont plus de 5 mètres d’eau aux extrémités. Le nombre de places disponibles sera bientôt augmenté en plaçant les bateaux perpendiculairement aux quais comme en Méditerranée. Il y a un espace pour mouiller juste à côté de la marina, mais il est limité à trois ou quatre bateaux. La procédure d’entrée est allégée en comparaison avec les descriptions des guides. Nous avons eu le sanitaire, la Guarda, l’immigration et le chien. La douane et les autres ne sont pas montés à bord. Cela s’est passé rapidement. Par contre deux personnes nous ont demandé de l’argent. Les services sont pour le moment limités. Il est possible de faire laver du linge par des voisins. L’électricité est disponible avec des prises américaines. Remplir sa bouteille de propane est difficile car les connecteurs sont spécifiques à Cuba. La station de carburant est en ce moment inutilisable, mais devrait être remise en service une fois la rénovation terminée. Aujourd’hui, on emmène ses bidons à la station-service avec le taxi. Il y a un restaurant dans la marina et un de l’hôtel voisin qui est à 50 mètres des pontons. Ils sont corrects et à prix raisonnables. La ville est à environ 15km en voiture. Il faut y aller en taxi. Nous avons utilisé Ernan Hernandez qui nous a donné un excellent service. Nous y avons fait les courses et visité la ville. Une rénovation importante est en cours et sera terminée en juillet 2017. Elle devrait rajeunir ses installations et réparer les dégâts causés par Sandy. Elle couvre les locaux, les pontons, l’installation d’une connexion internet, la station de carburant. La marina a reçu 240 bateaux en 2016. À partir de 2017, le prix au ponton est de 0,75CUC/ pied pour les bateaux de moins de 45 pieds et de 1 CUC/ pied pour les bateaux de plus de 45 pieds. Le dernier jour, le bateau a été couvert de taches brunes dues à des retombées de fumées émises par la raffinerie qui se trouvent à quelques kilomètres. Cela se nettoie avec du W6 qui est disponoble à la marina. Tout le monde est extrêmement sympathique et accueillant. En conclusion un endroit et une ville très belle qui vaut la peine d’être visitée en dépit de quelques difficultés. La marina appartient à la société d’état Marlin, et le site Web est : http://nauticamarlin.tur.cu/ Tel.: (53 22) 66 1446 / 686314 / 686108 Email: mercado@marlin.scu.tur.cu

acueil sympa malgre les lourdeurs anminitrative, une demie journee  , loin de la ville  et bateau degueulasse en quelques jours, dur a laver. malgre                                                tous une escale interessante                                                                                                           

probleme avec une usine a proximite qui rendra votre pont degueulasse  pour un bon moment , acueil agreable malgre une paperasserie lourde

La  "marina" de Punta Gorda est a environ 10 km de Santiago (compter 8-10 CUC de taxi). Interdite aux Cubains, ce qui justifie le A de Sécurité,sous la réserve que les cubains sont interdits de tout lieu qui permettrait leur "expatriement". Une dizaine de places aux pontons assez délabrés, un en cours de réparation. Sinon Mouillage tranquille par 3-5 m de fond à proximité.  Facturation assez fantaisiste : on m'a fait payer l'electricité alors que j'etais au mouillage....Compter en moyenne 25 CUC / Jour (1CUC = 1us$ environ) Concernant les formalités, je suis arrivé en solo sans visa ni rien. La procédure est assez longue et pointilleuse, mais effectuée par des fonctionnaires avenants plutot sympathiques. J'ai eu mon visa sans probleme sur place, noter qu'il est obligatoire de disposer d'une assurance santé. A défaut, ils vous en délivrent une sur place pour environ 2,5 CUC/jour. A part ça aucune activité a la marina hormis un bar sinistre servant des mojitos imbuvables. Direction Santiago, le rêve. Cafe internet et cash machine opérationnelle près du parque Cespedes. Promenade dans Tivoli (l'ex quartier "français"). Soirée incontournable à la casa de las Traditionales de préférence le dimanche pour la salsa et les mojitos. Musique aussi plus austere au patio Artex (en ville) Hasta siempre Commandante.....