Qestions quille relevable et grande croisiere

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Qestions quille relevable et grande croisiere
sujet n°113525
 Bonjour

j'envisage quelques longues années, si tout va bien, de vagabondage océanique et m'interesse en passant aux options de quille relevable sur coque alu. 
Sans jamais avoir posseder de bateau équipé ainsi je voulais votre opinion et vos retours d'experiences sur la fiabilité, la facilité de réparation et tout simplement les avantages/inconvenient d'un tel systeme par rapport a un dériveur en grande croisiere.

Merci a tous!
Awa
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VOILIER -SUN FIZZ
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réponse n°263146

 sur le sun -fizz dériveur lesté de 1983, (1.40-2.10)
l'avantage est  avant tout de trouver un mouillage plus abrité,
de fréquenter des zones à faible profondeur, et de bénéficier  en mouillage encombré du paysage ou du panorama de la terre non pollué par quelques caravanes flottantes!
d'avoir un moyen de négocier et adoucir l'effet rappel sur les mers agitées,
éventuellement d'échouer et béquiller sur un sol adapté

l'entretien du systême de relevage hydraulique ne se fait pas tout les jours (20ans) sauf incident ou accident (galets, cable qui saute des réas, verins percés ou flexibles défectueux)

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réponse n°263147

 Salut Awa et merci de ta réponse, mais il semblerait que tu parles ici d'un dériveur lesté, une quille rectractable est un systeme différent, c'est en somme un quillard dont tout le plan de dérive, tres lourd en general, peut etre relevé comme une dérive.

Awa
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VOILIER -SUN FIZZ
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réponse n°263167

 D'accord sur la définition;

sur un bateau de 12 mètres (8tonnes), la quille relevable  doit  faire au moins 3 tonnes sauf a avoir un fond de bateau lesté, ce qui n'estpas évident sur un bateau à carène plate; Le tirant d'eau peut varier entre 0.9 et 1.10 voir plus si la quille est terminée par un bulbe... et la différence avec un dériveur lesté en ce qui concerne le tirant d'eau est minime

Un dériveur intégral, c'est l'Ovni 
un dériveur lesté , c'est le Hood 38, le Sun fizz, le Sancerre dans leur vesrsion spécifique avec dérive relevable traversnt le saum
Un voilier à quille relevable, c'est le système de l'Etap 28 

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DUFOUR39
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réponse n°263174

BONJOUR
nous naviguons depuis 15 ans sur un dufour 39 deriveur intergale
grace a notre faible tirant de eau nous avons pu aller dans des zonzq sans stress acvec peu de fonds , que ce soit a cuba ( au ord des jardins de la reine ) au guatemela ( lac isabel ) ou meme en mediterranne
en principe on remoente moinsbien au pres , mais l angle de louvoyage depend sutout des voiles et de l état de la mer ! avec du clapot je trouve masochiste de faire mieux que UE 55 degres du vent
si c etait a refire je ferais le meme choix
jacques

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MARACUJA
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réponse n°263186

Je peux te parler un peu, beaucoup,... du deriveur integral; mais je n'ai aucune experience du quille relevable. Rien a voir, dans le premier cas tu deplaces une derive qui avec Archimède ne pese quasiment rien, dans l'autre cas tu deplaces des tonnes; la ou un bout sur un winch suffit, tu remplace par verin hydraulique,... c'est pas le meme cout ni le meme entretien. Il faut savoir de quoi on parle et ce que l'on veut en faire. Cette intervention juste pour preciser.
Michel

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Bavaria 34 (Monocoque)
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réponse n°263190

Si quelqu'un pouvait satisfaire ma curiosité et pardonner mon ignorance : quelle est la différence exacte, avantages et inconvénients, entre un dériveur lesté et une quille relevable ?
Merci.

HOOD 38 (Monocoque)
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réponse n°263191

le dériveur lesté peut-être un dériveur intégral et le lest est dans le fond de la coque
ce peut-être ce que l'on entend le plus souvent par "dériveur lesté" un voilier avec un elbrion de quille plus ou moins profonde, par exemple 1,50 m pour mon Hood 38 (mais 3,3 m dérive basse)

dans les deux cas il y a une dérive plus ou moins bien profilée qui le plus souvent est pivotante, parfois elle coulisse verticalement comme dans le KELT 39 et je crois aussi le neptune 99

Une quille rétractable est un lest mobile qui permet l'accès à des zones de faible profondeur maisle voilier est moins stable quille remontée et ne devrait pas être utilisé à la voile dans cette configuration. L'avantage, lest/quille descendue il se comporte comme un vrai quillard pour remonter au vent, ce que font un peu moins bien les dériveurs lestés et surtout le dériveur intégral, souvent un peu décevant de ce point de vue.

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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réponse n°263192
Shrubb a écrit :
Si quelqu'un pouvait satisfaire ma curiosité et pardonner mon ignorance : quelle est la différence exacte, avantages et inconvénients, entre un dériveur lesté et une quille relevable ?
Merci.

 Un dériveur intégral lesté a son lest au fond de la coque et une dérive repliable de poids relativement léger. Par exemple sur mon DI Garcia Salt 57' j'ai un lest de 6,5 tonnes en fond de coque (gueuses dans résine) et une dérive qui fait 600kg, tirant d'eau dérive rentrée 1,20m dérive basse 3,60m. La dérive (c'est mon cas) se manipule avec un winch électrique et un simple palan textile.
Un voilier à quille relevable a son lest dans la quille qui monte et descend avec des vérins hydrauliques vu sa masse.
L'avantage de la quille relevable est de retrouver le centre de gravité plus bas du quillard: gîte réduite, meilleure remontée au vent tout en ayant le tirant d'eau minimal du dériveur intégral (pas tout à fait quand même car il ne peut pas totalement effacer la quille relevable comme un DI le fait avec sa dérive). Sauf erreur de ma part je ne pense pas que le voilier à quille relevable puisse échouer.
Le prix à payer pour cette combinaison est un appareillage plus complexe pour remonter la dérive et donc un surcoût et une complication non négligeable; c'est un choix dicté là encore par son programme de navigation.
Cordialement. Artimon

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OVNI (Monocoque)
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réponse n°263194

Bonsoir,

lorsque l'on fait le choix d'un dériveur lesté, (dit aussi dériveur intégral ) , c'est pour deux raisons:
-en premier lieu, le gros temps. Ceux qui possèdent un dériveur intégral  ( Ovni, Garcia, ou autres, ..) se plaisent à expliquer le changement favorable de comportement dans le gros temps lorsque l'on remonte la dérive et l'impression immédiate de sécurité.  Est on au delà du ressenti ?
Nous pourrions en discuter longtemps et passionnèment sur ce fil , qui n'est pas le premier.
-en deuxième lieu, plus évident, le tirant d'eau abaissé qui offre l'accès aux faibles profondeurs des Caraibes ou des fonds de ports grecs.

Je tendrai pour ma part à dire que le choix est entre quillard d'une part, DI d'autre part.  Le bateau à quille relevable n'offre ni la simplicité de la quille normale, ni les avantages du DI en termes de relevage de la dérive et de fond plat. Donc, des complications sans gain très évident.

Tout celà est donc encore une fois fonction du programme et de philosophie de navigation.
Pour notre part, nous voulions accéder aux rivières d'Afrique de l'Ouest, puis aux lagons et zones peu profondes de l'Ouest Caraibes. Nous avions aussi dès le début fait le choix de privilégier les routes de navigation classiques , donc portantes . Le choix du DI était donc conforme. A ce jour , après 5 ans de navigation entre Afrique, Guyane, Guatemala, Mexique, Cuba - surtout Cuba !!- , Cote Est des USA, nous sommes très heureux de notre choix qui ne nous a pas empéché de sillonner auparavant la Méditerranée et de se mettre bien à l'abri au fond d'un port ou d'une calanque, en cas de besoin.

Francois.   S/Y Moussaillon

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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Cotisant depuis 2007
réponse n°263196
Pacolarahm a écrit :
Bonsoir,

lorsque l'on fait le choix d'un dériveur lesté, (dit aussi dériveur intégral ) , c'est pour deux raisons:
-en premier lieu, le gros temps. Ceux qui possèdent un dériveur intégral  ( Ovni, Garcia, ou autres, ..) se plaisent à expliquer le changement favorable de comportement dans le gros temps lorsque l'on remonte la dérive et l'impression immédiate de sécurité.  Est on au delà du ressenti ?
Nous pourrions en discuter longtemps et passionnèment sur ce fil , qui n'est pas le premier.
-en deuxième lieu, plus évident, le tirant d'eau abaissé qui offre l'accès aux faibles profondeurs des Caraibes ou des fonds de ports grecs.

Je tendrai pour ma part à dire que le choix est entre quillard d'une part, DI d'autre part.  Le bateau à quille relevable n'offre ni la simplicité de la quille normale, ni les avantages du DI en termes de relevage de la dérive et de fond plat. Donc, des complications sans gain très évident.

Tout celà est donc encore une fois fonction du programme et de philosophie de navigation.
Pour notre part, nous voulions accéder aux rivières d'Afrique de l'Ouest, puis aux lagons et zones peu profondes de l'Ouest Caraibes. Nous avions aussi dès le début fait le choix de privilégier les routes de navigation classiques , donc portantes . Le choix du DI était donc conforme. A ce jour , après 5 ans de navigation entre Afrique, Guyane, Guatemala, Mexique, Cuba - surtout Cuba !!- , Cote Est des USA, nous sommes très heureux de notre choix qui ne nous a pas empéché de sillonner auparavant la Méditerranée et de se mettre bien à l'abri au fond d'un port ou d'une calanque, en cas de besoin.

Francois.   S/Y Moussaillon

 Je partage tout à fait ton point de vue et ton expérience des eaux peu profondes. J'ajouterai une sécurité plus grande dans les glaces et en cas de collision brutale avec un OFNI ou un haut fond; dans ces cas la dérive amortit le choc tout en se relevant évitant la voie d'eau éventuelle au niveau des boulons de quille. 
Par contre pour la tenue par gros mauvais temps la quille relevée doit donner à peu près le même avantage que le DI pour éviter le croc en jambe de la quille basse qui empêche de déraper.
Si le système de relevage de la quille est fiable (je n'ai pas d'expérience) c'est un choix qui peut se défendre.
Sur Damien 2 le dispositif conçu par Jerome Poncet et gérard Janichon était très costaud et il avait ainsi réalisé un voilier à quille relevable très marin. trente ans après il fait toujours du charter en Patagonie et Antarctique sous le nom de Kotick skippé par les Caradec.
Artimon

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DALU 40. Chantier META. Construction en Strongal. Dériveur. CC. (Monocoque)
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Cotisant depuis 2005
réponse n°263208

Bonjour à tous.

Bien d'accord avec les avis ci-dessus.

Moi j'aime bien quand le vent est bien orienté et de pouvoir ainsi relever la dèrive et là de gagner un peu plus de vitesse.
Shundo avec une faible surface de toile et son poid important a bien besoin de gagner un peu.

Mais le plus plaisant est bien de limiter le tirant d'eau et ainsi de profiter de mouillage plus libre et ou en rentrant dans un port de profiter des meilleurs abris au fond là ou les forts tirants restent vers l'exterieur.

Alors, je fais attention quand un autre voilier me suit car souvent des imprudents se figurant que j'ai un tirant d'eau supérieur a eux ont tapé fort derriére nous.
 
Sur le premier chapitre du blog "SHUNDO" Tu trouveras des photos d'échouage quand nous étions en Normandie et en Bretagne c'est toujours des moments tellement formidable aussi.

Mais, nous avons tous, les plus beaux voiliers n'est-pas ?

Trés bonnes navigations à tous.

Shundo sous le soleil de la Grece à Corfou.

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OVNI 37
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réponse n°263210

bonjour, je m'étais pas mal posé la question...

Pour moi la derive c'est le top car un avantage que personne n'a cité, c'est le talonage...

Personellement, il m'arrive dans un mouillage de sable d'arriver a petite vitesse et quand la derive touche, hop trois quatres tours de manivelle et pas de problème. Dans le cas d'un talonnage violent, a priori j'ai aussi beaucoup plus tendance a avoir confiance dans un système pivotant. En general en mer (si pas trop formé) le bout de descente est relaché donc si on touche quoi que ce soit ca remonte.

Sans oublier l'aspect (absolument génial) de pouvoir comme en dériveur léger (type 420) regler son centre de dérive...

J'avoue qu'aujourd'hui je ne m'intéresserai aux quilles relevables que sur des petits voiliers de sport transportable, oux les avantages sont nombreux. Sur un voilier de croisiere j'ai un peu l'impression qu'on a les inconvenients des deux (la complexité et le tirant d'eau) sans en tirer aucun avantage.

Tono

EDIT: J'avais pas bien lu l'avis de Paco...

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ABACAXI (15m ALU GARCIA comme un grand Maracuja )
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réponse n°263213
Bonjour

Mon premier bateau (Passage acier 11.4m, plan Joubert Nivelt) était à quille relevable, en mer il se comportait  comme un quillard sauf qu'on insèrait une broche en travers du puits en navigation (3tonnes). Bon un quillard acier.  Un jour le cable de relevage a cassé et j'ai évité le naufrage de peu. Ce probleme est arrivé à de nombreux bateaux à quille relevable, faut avoir prévu un truc qui arrète la quille de trosi tonnes quii tombe où bien la laisser pivoter comme sur les Damiens. J'ai vu en antarctique un damien se planter au moteur à 5 noeuds sur un caillou, il a fait un scré bond. Je n'ai pas su s'il avait la broche en place ou pas.  

Ensuite j'ai évité de m'en servir surtout dans les coins reculés.



J'ai maintenant un dériveur intégral (Argonaute3, 50') un grand maracuja. C'est très confortable en mer, ça s'équilibre presque tout seul en navigation avec les deux dérives (faut quand même régler les voiles) à toutes les allures.

Mais mais mais ...au prés, c'est le sister ship de la Santa Maria, véritable caraque galicienne,  fameuse pour sa transat avec le génois Christophe fils de Colomb en l'an de grâce 1492 .

Lest de 5.5 tonnes dans les fonds.

Je dirais que l'idéal serait un voilier avec embrion de quille, donc le lest à l'extérieur de la coque, de façon a baisser un peu le lest, et une dérive pivotante comme sur un dériveur.

Ah si tu prévois un bateau Alu de 20ans plus,  pour les travaux de pré (ré)parations, cherche un bon soudeur dans ton coin, (ne serait-ce que pour souder en plafond) à moins que le(s) propiétaire précédent  ne soit un obsessionnel compulsif.



Bonne navigation à tous.

Ah oui , si vous prévoyez d'arréter de travailler et partir le mois suivant, ça marche pas. (enfin pour nous)

. Bon vent

Joe matelot



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OVNI 365 (Monocoque)
Membre cotisant
Cotisant depuis 2008
réponse n°263233

Bonjour, tout à fait d'accord avec les arguments de Pacolarahm-Tono-Schundo...je vous donne un avis complémentaire d'équipière: elle est facile à relever à la main par moi-même , la dérive ne fait pas de bruit dans le puits de dérive, . elle nous a permis de trouver des places de mouillage là où personne ne va et que ce soit aux Antilles ou en Méditerranée cela devient important vu parfois le nombre de bateaux...Avec ce type de bateau on a un grand sentiment de sécurité par gros temps. Bonne navigation Brigitte sur Borêval

http://boreval.blogs.stw.fr

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Bavaria 34 (Monocoque)
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réponse n°263247
Borêval a écrit :
je vous donne un avis complémentaire d'équipière: elle est facile à relever à la main par moi-même , la dérive ne fait pas de bruit dans le puits de dérive, . elle nous a permis de trouver des places de mouillage là où personne ne va et que ce soit aux Antilles ou en Méditerranée cela devient important vu parfois le nombre de bateaux...

 C'est pourquoi je fréquente souvent des dériveurs sur mon cata à dérives  , d'où ma curiosité. Réflexions très instructives en tout cas.

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réponse n°263267

 Salut a tous et merci de vos avis,

il y a dans certains posts une confusion DI/DL, le dl a un embryon de quille qui contient une partie du lest, ce n'est pas la dérive qui est lesté mais ce "saumon" sur lequel le bateau peut aussi échouer, souvent avec des béquilles en plus, le DI lui peut effacer tout son plan anti derive et contient son lest plus haut dans la coque.
Pour en revenir a la vrai question: La quille relevable pour un programme de vagabondage au long cours, il semblerait que la majorité d'entre vous déconseille la chose pour les problemes que cela peut entrainer du fait du méchanisme complexe et du poid en mouvement, c'est en effet cela qui me faisait peur!

Un des avantage du QR souvent cité par les archis, en plus de meilleurs performances au pres est le gain de poid, en effet un meilleur placement du lest, plus bas, permet d'obtenir le meme couple de redressement avec moins de lest que si ce dernier etait plus haut, dans les fonds du bateau, ainsi un di est plus lésté qu'un QR, mais ce déplacement moindre est il un avantage sur des bateaux de voyages surchargés de victuailles et autre? Sans  doute pas, pour ma part un déplacement lourd est gage de lenteur bien souvent mais aussi de comfort dans une mer formé.

Pour finir je dirais que l'avantage d'un TE variable et la possibilité d'échouer, di/dl/qr est pour moi un must en voyage, quitte a faire un près pourri!

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COTRE
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réponse n°263312

Bien d'accord avec les réponses des autres
Certains bateaux à QR ont un puits en biais, vers l'avant, en cas de choc la quille remonte paraît il ?
Sinon je suis aussi en DL,quille acier boulonnee à la coque (16 boulons de 22mm...)de 90 cm par 2,50m de long avec du plomb fondu dedans (3t en tout le poids total de lest) qui a un petit puits de quille dans lequel pivote une dérive acier profilée de 100 kilos
On la relève à la main sans charge, avec un winch en nav
Tirant d'eau 1,30/2,30 m pour un bébé de 12,60m par 4m et 7t lège
C'est pas la meilleure performance en nav, en échouage ou en poids gagné mais le meilleur compromis en sécurité, avec un bord d'attaque incliné de la petite quille et la dérive qui pivote, c'est presque indestructible en cas de choc
On est toujours manoeuvrant si la dérive est cassée et on remonte au vent aussi
Quoiqu'avec le neptune 13,50 DI de Tortarolo qui a le fond de la coque un peu profilé, plus un skeg au gouvernail,on remonte encore au vent avec dérive relevée !
Un beau bateau pas récent pourtant....

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MARACUJA
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réponse n°263373

Je ne sais pas vous mais pour notre part on prefere etre au portant!... Notre deriveur integral fait un pres honnete, bien sur ce n'est pas le quillard de competition, mais quand on fait le bilan de tous les avantages du deriveur, pour nous il n'y a pas photo!... Il faut parfois savoir attendre 48h que le vent tourne!
Nous sommes a Durban en attente de meteo favorable; on n'a vu aucun quillard partir pour faire du pres vers le sud!...
Michel

Le site de la Grande Croisière...