Novembre 2019 - même conception de marina que tous les ports d'Uruguay : bouée à attraper en arrivant et ponton fixe assez haut. La marina est agréable, située à 10min à pied de la petite ville balnéaire de Piriapolis. Prix payé /nuit pour un bateau de 12m : 580pesos (14€). L'eau et elec ne sont pas comprises, compter 400pesos (9,5€) en plus /jour. Idem pour les douches, 60pesos par douche. Sanitaires propres, personnel sympathique et ship bien équipé bien qu'assez cher. Tableau des prix de tous les ports du pays : http://www.mtop.gub.uy/hidrografia/tarifas

Port de Piriapolis Nous avons laissé le voilier de fin Avril 2017 à début Janvier 2018, à sec. Tous les ports d’Uruguay sont gérés par le « service hydrographique », entité à mi-chemin entre l’administration et l’armée. C’est un des rares endroits dans le coin ou un bateau peut être laissé plus de trois mois au sec (non toléré en Argentine, à moins de payer la personne adéquate, dixit une douanière de Buenos aires). Pour le fun, il est indispensable d’avoir l’accord de la « prefetura navale » pour mettre un bateau au sec, et cet organisme demande (exige verbalement) un responsable local du bateau en notre absence. Heureusement, ils ont un de leurs collègues qui est prêt à prendre cette responsabilité, prix à négocier avec lui… Ca n’a pas marché, nous avons demandé à un navigateur français maintenant établi en Uruguay, de tenir ce rôle ; bien entendu, il ne s’est rien passé !!! A noter aussi que la prefetura naval demande parfois une expertise avant d’accepter la remise à l’eau, expertise bien sûr payée par le skipper et réalisée par un « expert » uruguayen, pas forcément expert dans le domaine maritime… Le bateau était bien calé sur des étais en eucalyptus entrecroisés par des planches ; chose curieuse, il faut payer les étais et les planches, qui sont ensuite récupérés par l’équipe de calage pour les bateaux suivants. Un bon point néanmoins, les bateaux sont très bien calés, peu de chances de les voir tomber même avec un fort coup de vent (zone pampero). Petit bémol, les étais sont ajustés avec des cales de bois enfoncés à la massette, les antifouling n’aiment pas trop ce genre de contrainte et ont tendance à s’écailler. La zone géographique est traversée par les « pamperos » (pampero= 50 à 80 nœuds), donc il convient de très bien fixer tout ce qui doit rester sur le pont, voire à enlever les structures avec une forte prise au vent. Pendant notre absence, le bateau a été déplacé au moins 2 fois par le port, sans que les entretoises ne soient remises entre les étais. Il semble qu’une gestion rationnelle de la surface de l’aire technique soit très (trop ?) compliquée à mettre en place, on y déplace donc les bateaux au coup par coup, unités de 25 mètres comprises ; les salariés du port se plaignent d’avoir trop de travail... Le port de Piriapolis, à l’eau comme au sec est cher (un peu moins que Punta del Este), d’autant plus qu’il faut aussi payer l’eau ou l’électricité à la journée si on se branche, ainsi que les douches. Les tarifs se trouvent sur internet. En Avril 2017, bateau au sec, nous avons passé plusieurs nuits à bord. En Décembre, la chose est devenue interdite, obligation de n’être pas sur la zone technique entre 20 heures et 8 heures du matin. ; pratique quand on doit faire de la peinture et que la température en milieu de journée dépasse 30 degrés à l’ombre. Il semble néanmoins que des locaux « volent dans les plumes » des petits gardiens (en bel uniforme, y compris chemise blanche et cravate) quand ces derniers viennent les faire partir à 20 heures sonnantes. A noter aussi que le bureau du port avait précisé que la zone technique doit être vide à partir de 23 heures. A la sortie de l’eau comme à la remise à l’eau, les sangles ont largement marqué la coque de « jolies » bandes noires, il est curieux qu’une opération facturée environ 400 Euros (donc 800 Euros aller et retour pour un 40 pieds) ne permette pas de financer un bout de plastique ou de moquette. A part ça, les gens du cru sont charmants et le pays assez joli. Mais le coût de la vie est de l’ordre de celui en France, voire un peu plus élevé (nourriture, boissons). A noter qu’en Uruguay, une taxe de quelques centaines de dollars est demandée au bateau ne sortant pas du pays sur une durée de plus de 9 mois (type taxe de francisation chez nous).

 Escale fin Avril - début Mai 2012. Infos sur le site de Dirección Nacional de HIDROGRAFÍA qui gère les sports de plaisance en Uruguay  http://www.puertosdeportivos.com.uy/ Sélectionner : Piriapolis puis Tarifas. Les tarifs de toutes les prestations dont manutention apparaissent en pdf. Hors saison, pour 14m, 16€ par jour à flot. Réduction 40% si amarrage de plus de 60 jours. 100 Pesos Uruguayens = 3.70€. Mail marina Piriapolis : dnhpiria@adinet.com.uy En effet, le bassin assez vaste est vite agité par les vents de secteur Ouest (25/30nds). Ship SAMS peu achalandé mais serviable à proximité. Le patron parle français. Peu approvisionner antifouling Hempel sous quelques jours et organiser l’acheminement des survies à Montévidéo pour révision chez UMS (Viking) Si arrivée de l’étranger, première visite à l’Armada à qq centaines de mètres du port. Pas de démarche en douane. Immigration à l’aéroport de Punta del Este, 40 mn en bus. Si sortie du bateau, il est nécessaire d’en demander l’accord à l’Armada. Idem pour la mise à l’eau. Ces accords sont transmis par fax de l’Armada à la capitainerie de la marina du jour au lendemain. La vraie difficulté pour sortir un bateau est qu’il faut attendre environ 10 à 15 jours pour obtenir la sortie, sur liste d’attente. Pas de rendez vous tant que le bateau n’est pas arrivé à la marina. Ensuite, plaider sa cause en passant régulièrement au bureau dire Bonjour avec le sourire, ne semble pas nuire à l’avancement du timing. Autre point délicat de la manutention, le port décline TOUTE responsabilité pendant les manœuvres et fait signer une décharge de responsabilité au propriétaire avant de sortir et de remettre le bateau à l’eau. Attention à ce que votre assurance couvre bien dans ce cas les dommages éventuels au bateau, mais aussi ceux que pourraient causer le bateau, ex : heurter un passant ou un bateau déjà au sec. Par contre si vous laisser votre bateau en stationnement à terre, il pourra être déplacé en votre absence pour les besoins de l’aire de carénage ! Surveillance 24/24.Wifi seulement devant le bureau. Pour le reste, toutes les commodités d’une petite ville qui semble paisible, accessibles à pied. Solbad

qualité : les installation sont la cest sur, mais toute payante!!! eau, electricite... wifi accessible seulement en face du bureau, peu d´installation pour travailler... securité : par vent de S SO, leau peut monter haut, tres haut, facilement plus haut que le quai la digue nétant pas assez haute... par 100 noeuds, tout les bateau du port y ont coulés une année, pas 1,2,3, tous... 100 noeuds, cest pas frequent mais quand meme pas des plus fort, on doit se sentir a l´abrit nan... prix : 350 pesos par jour (13e), multiplier par 3 a partir du 15 decembre. ce prix ne vous donne pas acces a leau ou lelectricite... pour sortir son bateaux : pour etre sur la liste de levage, il faut etre au ponton, donc payer. mais cela ne veux pas dire que le bateau sera sortie de suite, peu etre 1 semaine, 1mois(sa cest vu!)... suivant la place, et leur bon vouloir... et si vous sortez mouillez en dehors du port, vous etes retiré de la liste. lácces a léau vous coutera 4 euros par jour, que vous utilisiez 1l ou 1000l, lelectricite 5 euros, une douche sera facturée 30 pesos... si vous deposais votre annexe au sol, il la mesure et vous facture sa place... convient surement au marin etant pret a payer cher pour tres peu, ou ne se posant pas la question...

 pour la qualité des services : moyen de levage important .un seul ship situé à 500 metres du port (port/marina) peu achalandé, bon avitaillement dans le centre ville,accueil chaleureux ... Des gardiens 24/24aux abords du port Tarifs suivant saison : à partir du 15 decembre (toute la saison estivale) tarifs x 3 mais à partir de 60 jours d'emplacement reductyion de 40 % Dans l'ensemble un port et ses environs sympa à recommander bon vent

A deux heures de Montevidéo par la route et à 18 Km de l’aéroport. Station balnéaire légèrement assoupie. Les installations de la marina sont de bonne qualité mais les prix sont équivalents à l’Europe. Le stockage à sec est possible. Malgré les digues imposantes la houle passe par-dessus par gros coup de vent. A été considéré comme un lieu d’hivernage au sec mais on ne peut résider sur son bateau à terre. Places disponibles, le pays est tranquille. N° de téléphone : : 00598 43 20567

 Nous sommes actuellement a Rio grande. Avant de partir vers l Uruguay, nous venons d apprendre que le port entier est fermé a partir du 28 février 2015 pour gros travaux. 

En voyage vers la Terre du Feu nous nous sommes arreté pour resoudre des problèmes de corrosion de notre coque en acier. Nous avons trouvé un accueil très professionnel et une competence téchnique très élevée.  L'administration du marina, qui est publique, doit encore faire des efforts pour limiter la burocratie, mais tous les artisans locaux sont à un niveau de competence que on ne trouve pas souvent en Mediterranée, ce qui est important pour ceux qui nqviguent en ces contrées. Port avec 8 métres de fonds et 1,10 de marée il a un travel lift pour 80 tons et la vasque peut sortir des catamaran jusqu'à 7 metres de large. La ville est très tranquille et on peut laisser son bateau pendant des mois sans rien craindre. Nous l'avons laisse seul 7 mois. Pendant les travaux le bateau était souvent ouvert quand nous allons faire des couses et personne n'est jamais monté à bord. Les douches et le toilettes ne sont pas reservés aux plaisanciers et il faudrait ameliorer la qualité et la propreté. Fermées la nuit, ça peut causer des désagrement! Très bien protegé le plan d'eau. Actuellement en travaux d'amelioration et de doublage des places de port.

Escale de janvier 2014 Nous n'avions pas prévu de nous arrêter à Piriapolis, mais un problème de quille (talonnage) nous a forcé à changer nos plans... A notre arrivée, le responsable du port nous annonce qu'il n'y a pas de place... En lui expliquant notre problème, tout s'arrange: nous avons une place à couple d'une autre voilier. Les formalités se font toutes à pied (immigration et douane sur place, préfecture à 300m). Il faudra tout de même 4 jours avant d'avoir le bateau à sec: il faut que le capitaine du port soit d'accord, qu'il ait bien demandé l'autorisation à la préfecture qui doit elle aussi donner son accord. Et venir vérifier que le travail a été bien fait avant de donner à nouveau son accord pour remettre le bateau à l'eau et éventuellement repartir. La préfecture a l'oeil sur tout, mais tout se passe plutôt à la bonne franquette si on montre le minimum de patience. Français et Anglais sont inutiles... Prestations techniques de très bon niveau. Nous avons travaillé avec Fiky (réparation de la coque/quille, srtatification, ...) et Diego pour l'inox: à recommander chaudement! Rien à voir avec ce que nous avions pu expérimenter à Salvador... La mise à sec se fait avec des madriers en bois: c'est finalement plus costaud que ça n'en a l'air... Nous avons eu un coup de pampero durant notre séjour, qui a fait monter le taux d'adrénaline chez l'équipe du port, venue renforcer tous les supports. Vent violent et trombes d'eau, mais les bateaux ont tenu. Station balnéaire familiale et tranquille. Bons restaux pas trop chers. Avitaillement sans problème (à pied). Fuel,, électricité et eau au port. Douches payantes (pas cher): il faut s'inscrire et on paie en partant. Théoriquement interdit de dormir sur le bateau à sec. Dans la pratique, c'est admis, pourvu qu'on soit un minimum discret.

mars 2013 très bon accueil  ...en espagnol bien sûr... toutes les formalités se font sur place ....plus besoin d aller à l aeroport pour les passeports...à 1h en bus de l aeroport de montevideo  ...attention :si vous avez un bateau en leasing , il leur faut un papier comme quoi vous êtes propriétaire pour vous sortir de l eau  ....à vos imprimantes pour une belle attestation .... arrivé un mardi matin , avons été mis à sec le vendredi ...soit 4 jours .... et beaucoup de sourire et d insistance auprés du boss du port , des secrétaires , etc  sinon techniquement au top , équivalent aux meilleurs chantiers à sec européens , travelliift super pro  mais tarif européen(sortie et retour à l eau 1000 € ...ensuite 15 euros jours ...pour un 53 pieds) et facturation selon une régle donnée par  l'état : ce sont des fonctionnaires qui reléve à 23h si vous êtes branchés electriquement ou si vous prenez de l eau , vous font remplir un cahier si vous prenez une douche ... surprenant , mais à intégrer ...paiement d avance demandé ...bref assez rigide mais pro .... theoriquement , n'avons pas le droit de dormir sur bateau à sec , mais tout le monde le fait....sommes restés une semaine et avons dormi à bord ...discrétement et en remerciant bien sûr  internet   sur place ok devant bureau  , carte 3g prepayé 6 euros antel ... en uruguay , avec le sourire et sans s'énerver , tout se fait....à un certain rythme   .... idéal pour laisser bateau à sec sans soucis ....bons pros pour réparations sur place ....piriapolis, petite station balnéaire très paisible , où l 'on trouve tout sur place pour les appros ....shipchandler  bien achalandé pour le classique .... je recommande ...... et j apprécie leur gentillesse ... matmat

Pas d'acceuil en francais, pas de prix attractifs, mais cette marina reste un tres bon plan sur la route du grand sud. marina bien protegee et correctement securisee, qui evite de devoir s'enfoncer plus loin dans le rio de La Plata (Buenos Aires...). Formalites simples en Uruguay. Nombreux magasins dans la station balneaire pour trouver toute les petites choses, qui peuvent vous manquer. Gros travaux possibles, peintures ou autres: SAMS ou une equipe travaillant en independant ( Lisa et Laurence) sont a notre disposition.