06/02/2013
12/10/2017
Identification
Autre
Qualité
Sécurité
Prix
Le 06 Février 2013 19:46
Porte d’entrée de l’Uruguay pour qui vient du Nord, La Paloma est plus
un port aménagé qu’une marina. Un seul ponton en béton partagé en deux,
avec d’un côté les bateaux de pêche et de l'autre les voiliers.
L’entrée y ai aisée, mais l’on doit prendre garde aux hauts-fonds (Bajo
de 18 Julio et Bajo Falkland) qui se trouvent à l’entrée. Choisir plutôt
de contourner par la cardinale est, les vagues y déferlent moins.
Les installations sont correctes, électricité et eau au ponton, mais les
sanitaires sont un peu éloignés et pas toujours très propres. De plus, les
douches sont payantes et pourvues d’une minuterie assez courte !
Aucune infrastructure pour travailler sur son bateau.
La douane et la déclaration à la /Prefectura /se font en cinq minutes au
port, mais pour l’immigration il faut se rendre aux bureaux les plus
proches, soit Punta del Est, ou Chuy à la frontière brésilienne.
Cependant, les autorités sont assez peut regardantes et l’on peut prendre
son temps pour faire tamponner son visa.
L’un dans l’autre, c’est une escale agréable. La ville est à 15 min
à pied, et l’on y trouve un supermarché pour avitailler. Mais aucun
shipchandler à l’horizon ! L’ambiance y est plutôt festive, car la
Paloma est surtout une ville balnéaire. D'aucuns préféreront sans doute
l’hiver ou elle se transforme alors en désert.
Le pris est correcte, environs 12 euros par jour, pour un bateau de 11
mètres. (si l’on compare avec les autres ports de l’Uruguay où là on
frise l’indécence).
La Boiteuse, janvier 2013
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