Port D'alger

Port D'alger

Note de synthèse

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1.7
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Autre

Évaluations de la marina

SANTORIN
Qualité
1.7
Sécurité
5
Prix
5
Le 25 Septembre 2019 19:12

Dans notre traversée de la Mediterranée depuis la Turquie , nous avons fait escale dans 4 ports Algérien ; Alger étant le dernier . Le port d'Alger est un port de commerce , ou nous avons pu relacher sans probléme pour visiter cette ville qui est magnifique . pendant notre visite , le liston du bateau à été endommagé à cause des remous important des remorqueurs et malgré la présence du policier de garde ( c'est habituel ! ) Les algériens , d'une façon générale, sont charmants , et cherchent à vous aider ; par contre les " autorités" , sont une véritable plaie ; Pas moins de 20 personnes , à chacune de nos étapes , de 4 à 6 services , viennent nous faire remplir des documents , demandent chacune des photocopies de nos papiers , assurances , et autres ; certains montent sur le bateau pour une fouille ( 5 à 6 heures , avec interdiction de sortir en ville le 1 er soir , malgré notre visa ). Idem pour la sortie du port , et cerise sur le gateau , il est interdit de mouiller . Nous avons l(habitude de voyager , en bateau ou sac a dos dans des pays " dit " difficiles , mais là , cela dépaçe l'acceptable , raison pour laquelle , nous poursuivons cette traversée en traversant vers Carthagéna en Espagne , avant de revenir vers le Maroc ; Dommage !!!

Qualité
1.7
Sécurité
5
Prix
5
Le 29 Mai 2012 19:00
Commentaires des notes Qualité C: Le port n'offre aucun service au plaisancier sinon du gasoil à des prix défiants toute concurrence. Sécurité A : dans ce port abrité on est sous la surveillance permanente des autorités Prix A: Le séjour est gratuit Pas difficile à repérer, le port est immense et son arrière fond d’immeubles blanc est particulièrement typique. C’est beau et pour certains sans doute émouvant. Un appel en vhf pour s’annoncer est comme toujours nécessaire. L’interdiction d’y entrer nous est faite au motif qu’il s’agit d’un port de commerce. Elle est peut contraignante. Nous n’avions pas d’autres choix : Sidi Ferruch est ensablé et la Madrague de l’autre côté de la baie vers lequel on nous a envoyé est inconnu des cartes et de Google earth. Finalement, ils nous acceptent. On nous oriente vers un quai un peu lugubre au bout du dock de la gare maritime. S’ensuivent quatre heures de visites à bord: Officier de port qui déplore de voir trop de bateaux de plaisance ne venir ici que pour se charger en gasoil à 0,17€ le litre. En réalité il ne s’agit au mieux que d’une douzaine de bateaux par an qui tapent ainsi dans les réserves d’or noir de l’Algérie. Ce reproche n’empêche pas les autorités d’être tout à fait aimables avec nous. Après l’officier de port, la police, les douanes et la visite sommaire du bateau, puis les coasts guards, les passeports que l’on nous prend et qui reviennent trois quart d’heure plus tard. Autant d’uniformes, autant de papiers, autant de photocopies. Finalement nous parvenons à sortir de cet immense port par la vieille gare maritime accompagné par un policier armé. Nous enjambons par une passerelle, la quatre voies pour aller dans la ville contournons un recoin pipi et finissons par trouver à changer de l’argent à l’hôtel Albert 1er près de la grande poste (très impressionnante). Pour changer de l’argent il faut être client, donc nous dinons et au resto de l’hôtel. Heureuse surprise, nous y trouvons de la wifi. En tout nous avons passé 22H à Alger, 6 consacrés à l’administration, 6 à nous balader en ville et le reste à vivre au bout du quai sur le bateau qu’une pluie ocre à recouvert de boue. Bref, nous repartons après avoir attendu une bonne heure l’officier des coasts guards de service. On continue vers Bougie mais pour des raisons de sécurité les mouillages nous sont interdits.
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