Mouillage très agréable, avec une immense plage de sable très appréciée. C'est ce qui attire ici tous les navires à touristes qui restent une heure pour la baignade et pour les vendeurs de breloques sur le quai. Le soir tout ce calme, ou presque : trop de voiliers s'aglutinent sur le quai, ça devient camping. Les navires mouillés au milieu de la baie ne sont pas tranquilles, trop près les uns des autres. Préférez un mouillage avec amarres à terre sur la rive Nord-Est, devant la promenade avec les vendeurs d'éponges. On y est bien abrité, et bien plus tranquille. IZGOUD

 Il ne s'agit ni d'une marina, ni d'un port de plaisance.  Mais d'un très beau mouillage.  Il y a un quai permettant auquel il estpossible de s'amarrer ponctuellement s'il y a de la place, ce qui n'est pas évident. Le prix est "attractif", ce qui veut dire ici : gratuit, bien sûr.

Pserimos Permet d'attendre, bien protégé des vents dominants, une accalmie du détroit de Kos (entre la Turquie et Kos), souvent sujet à une mer difficile, en particulier l'après midi, quand les thermiques renforcent le meltem qui souffle d'Ouest/Nord-Ouest ici. Dans ces condition le vent s'oppose à un courant significatif remontant vers le nord, pouvant rendre la passage extrêment délicat sur des hauts fonds mal balisés. On mouille sur ancre, en passant une amarre à terre, sur le quai au NE du petit môle. Mouiller long, mais pas trop, une ancienne ligne électrique gisait au milieu de la baie (2004) Il faudra attendre le départ des nombreux bateaux de promenade venus de Kos tout proche. On mouille en attendant un peu au nord du mMôle en prenant soin de na pas gêner les bateaux de promenade (qui sauront vous le dire). Là les fonds tiennent bien. Mais il faut prendre garde au sable apparent plus au nord vers le fond de la baie. C'est une mince pélicule de sable sur un fond de roche. Aucune tenue... Rien au village, sauf une magnifiique plage de sable, faisant le succès des nombreux restaurants et bars... Aucun approvisionnement. Le soir, tout se calme Pas d'eau, pas d'électricité, pas de Wifi (2009) s/y Larorana