Marina Zarpar

Marina Zarpar

Note de synthèse

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3.35
1.7
1.7

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Autre

Évaluations de la marina

SHARKI
Qualité
3.35
Sécurité
1.7
Prix
1.7
Le 14 Décembre 2014 20:55
 Marina peu sécurisée, chère pour les services et trop proche de la plage. Mais mieux sécurisée que les bouées trops proches du bario et de l'île de La Piedra. Bouées à éviter. Dans la nuit du 10 au 11 décembre 2014 nous étions pourtant 2 bateaux sur bouée face à la marina. A 1h1/2  du matin,3 jeunes hommes armés de couteaux sont montés à bord. Heureusement nous ne dormions que d'un oeil. Comme toujours la porte de la descente est montée bloquée et laisse passer l’air d’un espace de deux mains, entre elle et le dessus tiré, personne, à moins de bien connaitre le système, ne peut passer son corps sans bruit si l’alarme est enclenchée. Précaution indispensable, qui s’est avérée par la suite, efficace. Les bruits se font plus distincts, je regarde par le hublot du cockpit, toujours vide en même temps que je me lève pour saisir la machette, toujours à poste, au pied de la descente. Si quelqu’un est monté à bord pour pénétrer dans le bateau il passe nécessairement dans le cockpit. Là tout va très vite, en même temps que j’entends Joce crier « il y a quelqu’un, il y a quelqu’un » et taper sur l’autre hublot (elle venait d’apercevoir des jambes, sur le tableau arrière) Que deux hommes ont sautés dans le cockpit et de suite l’un deux, passe la main pour essayer d’ouvrir la porte. Je me mets à hurler, mais rien y fait, il insiste. Dans le même temps je donne des coups de machettes en prenant soin de rester sur le coté. Je ne veux pas me présenter à eux de face, car j’ignore s’ils ont une arme à feu. En fait mon vis-à-vis avait un couteau. Couteau que j’ai évité de justesse, qui fit une belle entaille sur la cloison et qu’un coup de machette bien appliqué fit tomber à mes pieds. La dans un éclair, c’était lui ou nous. Mon agresseur n’avait plus d’arme, c’était le moment de le neutraliser. En pleine poire la machette est partie. je venais d’ouvrir la porte déclenchant l’alarme, pour avoir plus d’espace afin de mieux porter mes coups. L’un associé à l’autre, fit fuir mon agresseur et ses comparses, des gamins de 16 ou 17 ans gaillards et agiles comme des singes, qui regagnèrent la petite ile en face, à la nage. Nous étions la deuxieme agression de la semaine,confirmée par la police et les responsables de la marina.
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