Il s'agissait du lieu où la plupart des plaisanciers pouvaient confier leurs formalités d'entrée à Margarita. Il paraîtrait que Juan soit décédé. Il faudrait une évaluation récente. A l'époque, le ponton des annexes était gardé de jour, mais pas de nuit. Cela permettait d'aller faire ses courses sans trop d'inquiétude dans une zone où la sécurité reste très problématique. Un petit émolument était demandé à bien plaire pour ce service. A côté des formalités administratives un peu chères mais qui simplifiaient beaucoup la vie, plusieurs autres services étaient proposés. (gaz, blanchisserie, bibliothèque d'échange, navette au supermarché, téléphone, veille vhf, boissons). Il faut voir ce qui a été repris de ces services. Il n'en reste pas moins que les formalités d'entrée à Margarita semblent chères comparées aux prix vénézuéliens. Il y est également d'usage de faire payer des entrées et sorties pour changer d'État, sans qu'il soit réellement possible de savoir ce qu'en dit la loi, car ceci n'est pas exigé dans les autres États du Vénézuela. Régler toutes les formalités par soi-même est ici un parcours du combattant qui peut facilement prendre toute la journée.