Tous les dériveurs intégraux aluminium
publié le 16 Décembre 2005 12:34
Bonjour,
Je cherche à établir la liste, si possible exhaustive, des dériveurs intégraux en aluminium de moins de 40 pieds, grosso modo
de moins de 10 ans, qui existent en France. La production des "gros" chantiers qui ont pignon sur web m'est déjà connue, je
cherche les modèles plus rares, plus confidentiels, ceux que je ne connais pas encore en fait ...Il me faudrait pour chaque
modèle son nom, celui de l'architecte et celui du ou des chantiers qui le fabriquent.
Une fois cette liste établie, aussi complète que possible, je pourrais réfléchir avant de faire mon choix ...Il ne sera peut-être
pas le meilleur mais j'aurais au moins évité de passer à coté de la perle rare par manque d'information...
Merci.

















Bonjour, je peux te répondre sur celui que j'ai, il s'agit d'un Atlantis 37O, il existe aussi en 330 et 400; l'architecte est Gilbert
Caroff Tél: 0471002274 - chantier Dujardin Tél: 0232252400 - aménagement intérieur Marine Atlantique Tél: 0240230900. A ta
disposition pour d'autres renseignements et bon choix...
TECHNIMAR fabriquait la gamme Hermine . Après mon dépôt de bilan, j'ai cédé la licence Hermine à Alu Composite.
alu.composite@wanadoo.fr.
Hermine 36 et 40 pour la taille recherchée. Architecte François Lucas fr.lucas@free.fr.. Essais H36 dans Loisirs Nautiques
et H 40 dans Bateaux.
Bonne recherche et n'hésite pas à me questionner, j'en ai réparé pas mal dans mon chantier. Voir production de BORD A
BORD, DUJARDIN, GAMELIN, MERCATOR, ALLIAGE, UNIVERSAL YACHTING... ceci sans idée de ton budget (certains
sont chers).
Voir aussi les Patagos 39 et 40 sur www.jfandre.com
Je note l'aménagement int. par Atlantic Marine. Pour lui avoir confié l'aménagement d'un bateau: remarquable, d'un prix
normal et très sympa. Rameau a fermé, hélas, faute de successeur et de commandes. Reste Olbia en Méditerranée et
beaucxoup de moins connus qui travaillent bien...
Voir les Globe-Flotteurs et autres Dalu.Construits en strongal par le chantier Prométa sur plans Joubert-Nivelt.Plus
abordables d'occasion. Bateaux increvables, aux deux sens du terme. www.prometa.fr
Je ne suis pas un fana de l'alu épais. Cà donne des bateaux lourds, d'esthétique rustique puisqu'on ne peut cintrer
facilement des tôles au-dessus de 8 mm et contrairement à une idée répandue, un bateau en alu épais est plutôt moins
solide qu'un bateau avec une structure, sauf épaisseurs démentes. Eh oui, çà fait iconoclaste de l'écrire mais c'est logique
et la plupart des archi vous le diront (sauf les rares archi et chantiers qui l'utilisent. Une peau (bordé) n'a guère de tenue
mécanique en elle-même, c'est la structure qui encaisse. Imaginez la tour Effeil en acier épais: elle ne tiendrait pas debout
(indépendamment de sa prise au vent).. Le seul intérêt de l'alu épais, c'est sa résistance au poinçonnement (et c'est
pourcçà qu'un dérieveur intégral digne de ce nom doit pouvoir se poser sur une semelle d'au moins 12 mm voir plus
pour les tailles supérieures à 12 m.
Les coques en alu épais ne sont pas chères (peu d'heures de main d'oeuvre) mais l'économie est relative car comme elles
sont lourdes, il faut plus de puissance moteur, un gréement plus costaud, etc... Mais quand on l'achète en coque nue, çà
ne se voit pas tout de suite (et c'est bien pour la finition amateur que la plupart de ces coques se commercialisent).
J'ajouterai qu'il faut être logique: ce n'est pas parce qu'il est dangereux de rouler en voiture qu'il faut s'acheter un char
d'assaut. C'est pourtant bien la logique de ces coques à peau épaisse qui, en plus, sont moins solides que celles avec des
structures bien pensées. Mais c'est plus cher, c'est vrai car une structure de bateau en alu bien fait est comparable à celle
d'un bateau en bois à l'ancienne d'où pas mal d'heures de chaudronniers soudeurs. J'ai réparé pas mal de bateaux alu qui
étaient allés à la côte, avaient trop flirté avec des cargos, etc... Je constate que les bordés plient, ne percent pas car la
structure encaisse et répartit les efforts au mieux. Exemple: Nous avons réparé Esprit d'Equipe, célèbre grand mono de
course de 18 m en alu, construit très léger (avec une structure très légère) et ce bateau qui a tapé pendant 20 minutes
par 50 nds avec des creux de 2 m sur des cailloux en mer de Norvège n'a pas coulé. Son équipage charter l'a ramené à
bon port (SM) par ses propres moyens. 4 mois de travail pour réparer la coque, certes mais le bateau n'était pas mort.
Par ailleurs, il faut un minimum d'épaisseur pour éviter de percer par poinçonnement mais dès 4 mm les résultats
deviennent satisfaisants. Sur une coque, les épaisseurs doivent être dégressives , par exemple sole en alu épais de 12 à
16 mm, puis les bouchains s'affinent pour terminer à un raisonnable 5 mm voire 4 si on tient à faire léger. Il me paraît
aberrant de nier les progrès de l'architecture et de refuser l'idée d'une solidité intelligente par rapport à une peau de
rhinocéros (et je fais remarquer que même le rhino a un squelette pour tenir debout !). C'est toute la différence entre l'art
roman et le gothique pour prendre une autre comparaison: la structure pallie la réduction de la matière (et je ne parle pas
du précontraint !).
Ceci n'empêche pas les bateaux en alu épais de naviguer et fort loin d'ailleurs. L'essentiel étant de partir avec un bateau
solide et ces bateaux le sont (ceci pour qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai quand même pas pensé). Ce ne sont
pas de mauvais bateaux mais ils me semblent relever d'une conception architecturale dépassée, même si les archi qui les
pondent ont des noms célèbres. Il est dommage de construire lourd et donc lent. On ne m'a d'ailleurs pas encore
persuadé qu'il est plus sympa de naviguer lentement que vite ...
Mais cet avis n'engage que moi, comme il est d'usage d'écrire. Je m'attends à des réactions intéressantes...
Bon vent
Il me semble que la mode des dériveurs intégraux en alu, originalité spécifiquement française, est en train de se calmer:
- mauvaises performances de ce type de bateau
- fragilité des appendices
- corrosion difficile à maîtriser
et autres normes européennes
Qui a des stats là-dessus (vente de bateaux neufs de ce type) pour objectiver ce qui n'est qu'une intuition.
Cordialement
Istos
Je ne suis pas tout à fait d'accord sur ce dernier opinion. Sans compter tous les petits chantiers qui réalisent des vrais bateaux
de voyage, il y a au moins trois chantiers plus importants : Alubat pour la petite série, Garcia et Alliage pour le haut de gamme
qui sont vraiment spécialisés dans le D.I. en alu et apparemment ils se portent bien vu leurs constante évolution et leurs délais
de livraison. Mais c'est vrai que c'est difficile de parler chiffres. Quant aux mauvaises performances, c'est très relatif, au
louvoyage d'accord, mais dès qu'on peut choquer les écoutes un petit peu, voire relever la dérive dès qu'on est portant, la
différence n'est plus sensible sauf sur une construction "coffre fort" comme le dit très justement Baami. Mais tout évolue et il y a
eu des progrès aussi dans l'étude de ce type de bateau. Bon vent
En ce qui concerne la corrosion. D'une part les bateaux alu qui auraient coulé appartiennent à la légende, d'autre part, il
est quand même vrai que le problème existe sur les bateaux qui n'ont pas été réalisés ou pas gérés soigneusement.
L'électricité sur un bateau en alu est une affaire trop sérieuse pour être traitée en amateur (ou alors très très éclairé, sans
jeu de mots). Très souvent les chantiers livrent des bateaux bien réalisés et ... le propriétaire bricole. Sondes de réservoir
mal isolées (le plus classique!), pendanodes non mises au ponton où, c'est connu, les courrants erratiques ne manquent
pas, 220 branché en permanence au ponton sans protection galvanique.... J'ai vu un bateau neuf, "bouffé" en un hiver
au ponton car sans protection et avec un défaut dans son alimentation 220, il servait en fait d'anode au ponton... Mais
j'ai surtout vu des propriétaires heureux de leur bateau en alu.
C'est vrai que c'est un peu une mode franco-française le bateau alu mais l'étranger en demande de + en +. Pour ma
part, j'ai donné et ne veux plus replonger dans un chantier (et j'ai gagné le bonheur d'aller naviguer à mon tour !) mais
j'ai eu pas mal de propositins pour redémarrer au Canada où nous les intéressons beaucoup. Il faut dire qu'ils ont
quelques glaçons l'hiver et que çà sensibilise...
A+
Bien d'accord avec Baami à propos de l'alu épais.
Philippe Harlé avait eu un résumé lapidaire à propos du strongall : "le poids de l'acier, le prix de l'alu".
Je ne peux pas me retenir: il faut que j'ajoute mon grain de sel .... de mer!
Maintenant en retraite depuis 2004, agent du Chantier Alubat de 83 à 2004 en Méditerranée, après 1 TDM en famille de 7 ans,
une descente en Péninsule Anrarctique avec un OVNI 43, une montée au Spitzberg avec mon OVNI 39 et autre croisière au
Groenland et pays nordiques sans compter tous les ronds dans l'eau que nous faisons tous pour notre plus grand plaisir, je crois
avoir mon idée sur le dériveur intégral en alliage léger d'aluminium.
Donc je suis d'accord avec tout ce que vous avez écris pour ce forum. Le bateau idéal n'existant pas, il faut bien se contenter de
ce qu'on a mais surtout il faut bien savoir ce qu'on veut en faire, avec qui et vers où. Le problème se complique quand on
change une des ces données ou plusieurs en cours de route et que le bateau sur lequel on navigue ne présente plus touts les
qualités requises pour satisfaire ce nouveau départ. Alors le dériveur intégral, une mode? Non plutot un bon compromis
polyvalent. A l'aise dans un lagon, sécure derrière un iceberg dans très peu d'eau (la où le viain glaçonl ne peut pas aller!),
solide en toute occasion .... suffisamment. Le matériau: maintrisé sous réserve d'observer quelques règles simples. Tous les
matériaux ont les leurs.
Coté performances? Au long cours, est-ce ce que l'on recherche en priorité? Mais n'éludons pas la question! En fait il s'agit
seulement du près serré, sur les autres allures la démonstration de leurs aptitudes ne fait plus débat (diminution de la surface
mouillée, recul du plan antidérive qui stabilise la route diminuant les coups de barre ... Donc et le près? Eh bien, le près c'est
l'allure la plus technique quelque soit le bateau. Il faut tout d'abord de belles voiles (le moteur), un bon équipement de pont pour
les réglages ( réglage bordure, halebas poussant, rail d'écoute, nerf de chute, type de lattes pour la GV et pour l'avant pourquoi
pas Yankee-trinquette qui supportent mieux les enrouleurs avec réglage de points de tire) et enfin un bon barreur qui reste
concentré sur son art de la barre! Quand on a tout ça en parfait état de marche, on s'amuse bien avec un dériveur intégral en
alliage léger s'il a su le rester tant à la construction qu'en ordre de bataille. Un petit tour du coté du ratio poids-surface mouillé-
surface de voilure dégrossit déjà pas mal le problème lorsqu'on veut faire des comparaisons entre bateaux.
Bon, rien de bien original dans tout ça! Juste du bon sens comme toujours.
Marinement votre.
ce n'est pas parcequ'un archi qui a fait des super boats a dit une bêtise qui "sonne bien" qu'il faut la répéter ad perpetuum!
Prends une calculette, et consulte la densité relative de l'alu et de l'acier!
Pour ce qui est du poids, qui semble obséder les frenchies, la coque d'un boat de taille raisonnable en alu épais va avoir un
surpoids de 20% p/r à un boat en alu fin structuré. Or, la coque ne représente que 20 à 22% du poids en charge d'un boat de
voyage. Qui va s'embêter, sur un bateau-maison de voyage, pour un surpoids de 20 x 22 = env. 5% ?????? Pas de problème
de soudures qui lachent, énorme marge de sécurité sur l'électrolyse, sans parler d'une solidité quasi à toute épreuve (ex. boat
en alu épais percé ... après que l'élingue de grutage ait cassé : le boat a rebondi - et oui, l'alu épais sur tôles préformées est
élastique! - pour venir s'empaler de tout son poids sur le crochet de grutage!).
Pour des boats à plus de 16 m, l'alu fin structuré redevient par contre intéressant.
Reste que l'alu épais, c'est vrai, ne donnera qu'une coque à bouchain(s), légèrement moins performante qu'une coque en
forme, et moins jolie (encore que...).
ah oui j'oubliais : joyeux noël quand même
Je trouve que le calcul est un peu rapide car il faut prendre en compte que tout "cube" quand la coque est plus lourde,
gréement, accastillage, moteur.De lus, avec une coque structurée, les bbordés sont dégressifs ce qui allège le bateau et
abaisse le centre de gravité, ce qui implique moins de lest. Par ailleurs je suis de ceux qui sont persuadés que le poids est
l'ennemi. Ce n'est pas parce qu'on voyage qu'on doit le faire lentement. J'attends toujours celui qui va me démontrer
que traverser un océan lentement c'est plus drôle que de le faire rapidement avec un bateau vivant. Par ailleurs tout kilo
gagné sur la bête est transformable (en bouteille, par exemple !). Le vrai confort c'est aussi la sécurité de pouvoir
s'écarter du chemin inconfortable d'une dépression, ce qui implique une bonne vitesse.
Quant à l'esthétique, je n'en discuterai guère; des goûts et des couleurs... Reste qu'on ne peut guère former une tôle
supérieure à 8 mm avec les moyens classiques des petits chantiers (quand j'avais besoin de le faire, je sous-traitais la
pièce à Alsthom Atlantique). Cà donne donc des carènes anguleuses ( Harlé en dessinait d'ailleurs, le Musacadet en étant
le plus célèbre!).
Solidité: Je persiste et je signe: Une structure bien pensée est plus solide qu'un grosse peau de rhinocéros, ce qui ne veut
pas dire que le rhino n'est pas costaud. J'ai vu des bateaux structurés qui avaient subi des chocs effoyables et qui
n'avaient même pas une voie d'eau. La structure encaisse et diffuse le choc. Par contre, on peut sans doute considérer
qu'un bateau en alu épais est un peu assimilable à un profilé et est donc + ou - sa propre structure.
Corrosion: Si l'on compte sur l'épaisseur du matériau pour combattre la corrosion, çà va finir en char d'assaut (déjà
qu'on en est pas loin !) et la corrosion gagnera quand même.
Soudure: De la difficulté de bien maîtriser la soudure des fortes épaisseurs... Les bons chantiers, certes (Méta, champion
de l'alu épais avec son Strongall, en est un excellent exemple); mais j'ai réparé une coque épaisse d'un chantier que je ne
nommerai pas et dont les soudures étaient poreuses et ne traversaient pas la totalité du matériau. Quand on soude une
tôle épaisse, il fauit bien gérer l'intensité de l'arc pour ne pas "crâmer" la tôle en surface et bien pénétrer quand même à
coeur. Il faut ensuite rebisauter de l'autre côté pour inciser cette soudure (surtout pas au disque à tronçonner mais à la
scie- inciseur pour évieter les inclusions des résidus de disques) et terminer ainsi le cordon par sa face opposée. C'est
d'ailleurs valable pour toute tôle mais plus critique pour les fortes épaisseurs (du 8 mm , bordé classique d'alu épais, ne
pose pas de problème mais au-dessus on voit souvent des bulles). Tous les chantiers ne procèdent pas ainsi, loin s'en
faut. Très souvent ils soudent "à débord" c'est à dire en faisant un seul cordon bien épais dans les endroits enquiquinants
car peu accessibles (intérieur du livet, interieurs de coffre, fonds de puits de dérive, de quille). Regarder le raccord coque-
pont dans la baille à mouillage est souvent instructif (quel que soit le matériau, d'ailleurs).
A titre info, pour ceux qui chercheraient à calculer dans tous les sens, l'alliage de nos chers bateaux a une densité de 2,7
contre 7,8 pour les aciers (valeurs moyennes).
Sur ce, l'important est de se faire plaisir sur l'eau et si nous avions tous le même point de vue et le même bateau, le
monde serait bien triste !
Bon vent portant en 2006
paroles de sagesse (pour la conclusion en tous cas
). Pour le reste, je confirme mes dires : les coques en alu épais sont aussi
dégressives dans les hauts (tole de 8 et 6 pour pont et rouf, pôur 10 à la coque) et le surpoids d'un bateau de grand voyage en
charge (je ne parle pas d'un boat de compétition ou d'un cata) sera de l'ordre de 5% par rapport à un boat en alu fin structuré.
Sur l'idéologie du poids, je me bornerai à souligner que les bateaux US sont par exemple beaucoup plus lourds que leurs
homologues français : ce sont pourtant de très bons marcheurs (bizarre, non?). En fait la performance d'un bateau peut être
estimée au plus à 15% à son poids, 25% au dessin de l'architecte 20% à la qualité de la voilure 15% à la propreté de la caréne
10% au choix de l'hélice. Tout réduire au seul facteur poids me semble un peu ... réducteur. Par contre, il est à noter que les
propriétaires de bateaux dits légers sont souvent soucieux d'avoir de belles voiles, une hélice à mise en drapeau etc., ce qui, à
mon sens, explique sans doute cela. L'image du boat limite poubelle chargé à mort avec portique et tout le tralala ne correspond
pas nécessairement à la réalité du boat alu épais, que diantre! En outre, l'argument du "tout kilo gagné sur la coque est
transformé en kilo de charge utile" ne tient pas et est dangereux : si on veut être léger, il faut le rester!
Pour ce qui est du confort, j'aime bien voyage pas trop me casser la tête sur quoi emmener ou laisser : affaire de goût, et je
sais que ma carène est dessinée pour supporter ce poids, donc cool.
Sur la solidité : j'ai un exemple très récent (sur le chantier où j'étais il y a peu). Boat 12 m alu fin structuré dématé et
coque+pont+livet très abîmés après rencontre musclée avec cargo. Pas irréparable, mais à quel prix, et à mon avis sans être
sur à 100% de l'homogénéité du boat. Même incident à gibraltar en juin 2004 sur un boat alu épais : grément à changer, c'est
tout. Je m'excuse, mais ça fait une grosse différence!
La soudure doit être de qualité, comme tout sur un bon bato. L'effet "poutre" d'une coque homogène : ok, d'accord avec toi.
Sans compter que l'épaisseur donne une plus grande inertie, ce qui minimise les risques d'altération de la structure du fait de
phénomènes de résonnance, dus aux vibrations du moteur et du grément (alors que sur l'alu fin...).
bon c'est un peu décousu, mais Dieu reconnaîtra les siens!
ciao et bon vent
Bonjour
Je cherche à vous joindre par mail mais apparemment l'adresse critilou@hotmail.fr n'est pas active
Cordialement
Tout à fait d'accord avec Eric : l'Ovni 395 marche bien au prés