Routage grande traversee

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Routage grande traversee
sujet n°112314
bonsoir
Avez vous deja fait appel a un routeur pro pour vous securiser lors d'une grande traversee, transat par exemple ?
est ce cher ?  Des coordonnees ?
Merci 
Jacques
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- Pirogue 2 Places (Monocoque)
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réponse n°256656

Bonjour
 Non je n'ai jamais eu recour a se genre de truc . Mais certainement bien utile . Par curiosité j'ai fait routeur meteo ocean sur google et y a du choix .  Mais ici il y a bien des gens qui  en on utiliser (artimon je crois avoir lu dans un post  )  voila  a plus et bonne navigation

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Catamaran (Catamaran)
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réponse n°256661

J'ai eu recours à Michel Meulnet (Searout) sur mes 2 transats ouest-est. C'est une vraie sécurité car il est difficile au large de charger des fichiers météo très larges et d'anticiper aussi bien les calmes que les grosses dépressions.
Il fait d'ailleurs partie du club Pro STW et offre des réductions aux adhérents.

http://www.searout.fr/

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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réponse n°256667

Oui j'ai fait appel une fois dans ma carrière à un routeur professionnel, Pierre Lasnier. Celui-ci travaillait 90% du temps au service de clients professionnels (remorquages, plateformes pétrolières, travaux offshore..) et 10%du temps (sa danseuse) au service de bateaux d'expédition. Isabelle Autissier notamment utilisait ses services (ce qui m'a conduit à le contacter). Je souhaitais me sécuriser pour un passage particulièrement exposé du canal Drake séparant le Cap horn de la péninsule Valdez en Antarctique (3 à 4 jours de navigation, passages de dépressions et mers grosses tous les 3 ou 4 jours en moyenne), ceci en Janvier 2011. Il m'a sécurisé sur le choix du moment de partir alors que je m'étais planqué près du Cap Horn pour laisser passer une dépression. Ensuite, les fichiers gribs ont été bons à très bons et j'ai fait ma route moi-même qu'il validait. j'ai fait le passage retour comme un grand. Dans d'autres circonstances son aide aurait pu être précieuse.  
Tu peux lire sur ma lettre Balthazar de Melchior (lettre 22) le type d'échanges que j'avais avec lui. de mémoire cela m'a coûté environ 300€.
Je me suis mis sur le tard à tracer vraiment ma route en tenant largement compte des fichiers gribs et j'ai appris à leur apporter les corrections nécessaires. Au vu de la dizaine d'années d'expérience (50000 milles à la grosse pendant ces dix ans) c'est incroyable ce que son routage météo peut faire gagner très souvent en sécurité, en confort et en vitesse. En plus c'est stimulant intellectuellement (se mettre à la table à cartes et se dire "voyons comment cela se présente, comment je vais jouer le coup", ça vaut largement un Sudoku) et quelle satisfaction lorsque vous constatez sur l'eau en déroulant le film réel que vous avez pu éviter une grosse galère au prix d'un détour limité ou d'une attente à la cape confortable plutôt que d'aller comme des boeufs dans la gueule du loup.
Si tu ne t'y es pas encore vraiment mis n'hésites pas à prendre un routeur météo qui te sécurisera et t'aidera à apprendre à te débrouiller ensuite. Lire aussi, si tu ne l'as pas encore fait, le dernier (2014) livre de Jean-Yves Bernot "Les routages en course et en croisière" (collection Voiles et Voiliers). Il ne faut pas se prendre la tête, la plupart du temps c'est du raisonnement de bon sens. Il ne s'agit pas, comme en course, de chiader l' isochrone gagnante.
Cordialement. Artimon.

PS Tu pourras lire dans les lettres 44 et 47 le récit de deux cas d'école autour du Groenland et tu verras que le raisonnement est très simple dans ces cas là. Je ne prétends absolument pas pourtant, tant s'en faut, être un pro du routage

http://artimon1.free.fr/lettres_balthazar.htm

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OVNI 445
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réponse n°256678

Bonsoir,

Bonne idée le routage.

Oui j'ai utilisé plusieurs fois, avec un routeur professionel anglais une fois car mon équipage était anglophone et ensuite avec un routage fait par un ami qui fait des convoyages de façon professionnelle.
Le routage était envoyé toutes les 48 heures par mail sous forme de texte à partir des fichiers grib Ugrib et des fichiers synoptiques obtenus depuis les sites angalis, allemands et enfin de New Orleans et de Boston (NOAA).
Le routeur les recevait par le web et moi par iridium pour les grib et par BLU pour les fichiers synoptiques.
Chacun faisait son routage, lui a terre et moi en mer et ensuite je comparais mon routage au sien et faisait les ajustements nécessaires.

Tous les jours j'envoyais ma position + cap, vitesse, allure, vent (force et direction, état de la mer (direction et hauteur de la houle), pression barométrique, état du ciel et position que nous estinions atteindre 24h plus tard.
En plus le bateau était suivi par une balise DoLink.
Pour la transat de cette année je referai la même chose.

Je partage tout à fait la position d'Artimon: avoir un routage correct évite bien des problèmes, c'est amusant à faire, c'est intructif, c'est bien plus facile que de faire le point au sextant et cela donne confiance dans les choix que l'on fait et que l'on aura à assumer et expliquer aux équipiers si on se reprend une baston que l'on a pas pu éviter.

Très bien le livre de J.Y. Bernot: a lire, comme celui sur la météo.
Bon vent.

Marc sur S/Y Hanami II

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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réponse n°256684
Maclan a écrit :
Bonsoir,

Bonne idée le routage.

Oui j'ai utilisé plusieurs fois, avec un routeur professionel anglais une fois car mon équipage était anglophone et ensuite avec un routage fait par un ami qui fait des convoyages de façon professionnelle.
Le routage était envoyé toutes les 48 heures par mail sous forme de texte à partir des fichiers grib Ugrib et des fichiers synoptiques obtenus depuis les sites angalis, allemands et enfin de New Orleans et de Boston (NOAA).
Le routeur les recevait par le web et moi par iridium pour les grib et par BLU pour les fichiers synoptiques.
Chacun faisait son routage, lui a terre et moi en mer et ensuite je comparais mon routage au sien et faisait les ajustements nécessaires.

Tous les jours j'envoyais ma position + cap, vitesse, allure, vent (force et direction, état de la mer (direction et hauteur de la houle), pression barométrique, état du ciel et position que nous estinions atteindre 24h plus tard.
En plus le bateau était suivi par une balise DoLink.
Pour la transat de cette année je referai la même chose.

Je partage tout à fait la position d'Artimon: avoir un routage correct évite bien des problèmes, c'est amusant à faire, c'est intructif, c'est bien plus facile que de faire le point au sextant et cela donne confiance dans les choix que l'on fait et que l'on aura à assumer et expliquer aux équipiers si on se reprend une baston que l'on a pas pu éviter.

Très bien le livre de J.Y. Bernot: a lire, comme celui sur la météo.
Bon vent.

Marc sur S/Y Hanami II

 Je constate qu'un certain nombre de situations météo demandent des rafraîchissements des fichiers à une fréquence nettement plus importantes que toutes les 48h. Même si les prévisions sont maintenant le plus souvent bonnes à 48h il y a des surprises, par exemple la position des tentacules très balladeuses des anticyclones s'il faut franchir une dorsale, ou le creusement mal pris en compte initialement d'une dépression secondaire. Personnellement je rafraichis toutes les 24h et, dans certaines situations délicates toutes les 12h (exceptionnellement toutes les 6 heures si la prévision des fichiers a été sensiblement modifiée et que la situation est potentiellement dangereuse). Il faut prendre en compte que nous n'allons pas vite sur nos voiliers de croisière (130 à 200 milles par 24h) et échanger de la distance supplémentaire par rapport à l'orthodromie pour gagner en sécurité, ou en confort ou en vitesse (ou les 3 réunis!), ce qui est le but du routage, doit se recaler fréquemment alors que nous allons généralement moins vite que les dépressions. Cela ne veut pas dire qu'il faut échanger avec son routeur à ces intervalles. C'est votre dialogue avec lui qui fixera la périodicité des échanges en fonction des situations réelles.
Artimon 

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JFA (Monocoque)
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réponse n°256685

Bonjour,

Bien sûr le routage offre de réels avantages, surtout dans les régions où la nav est très demandeuse: Antarctique, Drake, Patagonie, Malouines, mouillages de l'île de Pâques. C'est un net confort et son financement est avantageusement balancé par l'économie dans le matériel qui souffre moins.
Même dans des situations plus faciles -transat retour par exemple- la vue du routeur est forcément plus large que celle du skipper; c'est certainement dans ces conditions que son avis est le plus fiable; malgré les milles engrangés et le désir de liberté en mer, je ne me passerais pas de cette opportunité.
Searout de Michel Meulnet me semble tout indiqué.
Bon vent !
JC

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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Cotisant depuis 2007
réponse n°256688
Jcterue a écrit :
Bonjour,

Bien sûr le routage offre de réels avantages, surtout dans les régions où la nav est très demandeuse: Antarctique, Drake, Patagonie, Malouines, mouillages de l'île de Pâques. C'est un net confort et son financement est avantageusement balancé par l'économie dans le matériel qui souffre moins.
Même dans des situations plus faciles -transat retour par exemple- la vue du routeur est forcément plus large que celle du skipper; c'est certainement dans ces conditions que son avis est le plus fiable; malgré les milles engrangés et le désir de liberté en mer, je ne me passerais pas de cette opportunité.
Searout de Michel Meulnet me semble tout indiqué.
Bon vent !
JC

 La transat retour n'est pas forcément plus facile comme l'atteste malheureusement les naufrages des trois dernières années. On est en droit de penser que la quasi totalité de ces naufrages aurait pu être évitée avec un choix de route plus prudent et fait à temps. Artimon.

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AMPHITRITE MS 45
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réponse n°256690

 N'ayant pas confiance dans la reception des fichiers grib sur l'iridium , et la difficulté de charger de larges fichiers pour anticiper, j'ai pris les services de Searoute pour aller aux Açores l'année derniere, avec un mail par jour.
entière satisfaction et prix tres raisonable.

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OVNI 445
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réponse n°256696

Tout à fait d'accord avec la mise au point d'Artimont : Je constate qu'un certain nombre de situations météo demandent des rafraîchissements des fichiers à une fréquence nettement plus importantes que toutes les 48h. Mais dans le cas que je cite il s'agissait d'une transat entre les Canaries et les Antilles avec une météo clémente.
Quoi qu'il en soit, si le routage "venant de terre" était transmis/reçu tous les 2 jours, le routage à bord était fait tous les jours: réception de Gribs et réception des fichiers synoptiques par BLU aux heures régulières de transmission de Lockwood (UK) ou de New-Orleans voire Boston (USA).
Nous avons utilisé quelques fois l'Iridium pour discuter une stratégie (par exemple attente à la cape ou trajectoire d'évitement aux approches de Horta au retour ) mais cela a été rare.
Ceci dit je fais, peut être à tord, une différence entre  (1) 'charger des fichiers météo', les lire et en tenir compte pour évaluer ce qui va se passer dans les prochaîne heures: dans ce cas on ajuste un plan existant et (2) refaire un routage avec test de plusieurs hypothèses, auquel cas on est prêt à réellement tout changer car la situation est réellement différente (par exemple, arrivée d'une onde d'est au cours d'une transat Est-Ouest dans les alizés).

Quoi qu'il en soit un routage extérieur est un élément de sécurité important et la fréquence des envois réguliers dépend du programe. Si j'allais faire les canaux de Patagonie ou le détroit de Behring je pense que les 'rafraichissements' des données seraient bien plus fréquents.

Marc.

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OVNI 445
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réponse n°256714

Bonjour
Je n'ai jamais utilisé de routage à terre mais il me semble que si l'on éprouve le besoin d'être rassuré par un conseil périodique depuis la terre il serait stupide de gâcher le plaisir d'une traversée en n'y ayant pas recours. Ne naviguons nous pas en plaisance ?
Cependant, l'affirmation "...quoi qu'il en soit, un routage extérieur est un élément de sécurité important..." me semble devoir être quelque peu nuancée.
S'il s'agit de faire la "meilleure route", la plus rapide, celle qui permet d'être toujours au meilleur endroit au meilleur moment, le recours au routeur apportera évidemment beaucoup : outre leur compétence que peu d'entre nous peuvent prétendre égaler, les routeurs disposent de sources d'information diverses qu'ils peuvent croiser (et savent interpréter...) et en plus ils sont assis dans un fauteuil !
Pour ce qui est d'assurer la sécurité (je ne parle pas ici des zones"particulières" évoquées par Artimon : je ne les ai pas fréquentées) le recours à un routeur ne me paraît pas forcément nécessaire :
Il est aujourd'hui facile de recevoir à bord des fichiers grib sur un espace suffisamment large et pour un temps suffisamment long pour se faire une idée de la situation à venir. (j'utilise Iridium et chopper de Maxsea -c'est un moyen parmi d'autres- et malgré un usage plutôt intensif, je n'ai jamais épuisé mon crédit ni connu de réelles difficultés de réception. Pour les vastes zones, il suffit d'utiliser le pas de 12h).
A quatre jours, les prévisions sont bonnes. A 5 ou 6 jours, elles sont indicatives "elles indiquent le type de situation à laquelle on aura à faire face avec une idée du trajet et du rythme de passage des individus météorologiques" (Bernot).
Même en prenant la prévision "bonne" à quatre jours : nos bateaux sont capables dans ce laps de temps de parcourir 5 à 600milles. Cela ne permet pas de jongler avec les systèmes météo mais autorise d'efficaces stratégies d'évitement des zones dangereuses. Cela permet, comme l'écrivait Artimon d'éviter "d'aller comme des boeufs dans la gueule du loup." Cela permet... d'assurer la sécurité.
Bien sûr, l'utilisation de ces fichiers implique qu'on soit familiarisé avec leur nécessaire interprétation, outre la pratique, l'utilité des ouvrages de JY Bernot a déjà été soulignée plus haut.
Pour étayer mon propos, je citerai deux exemples.
Je suis passé, en novembre dernier, de la Réunion à Durban. L'arrivée sur l'Afrique du Sud ne doit pas être prise à la légère : le courant des Aiguilles porte au suroît à une vitesse qui peut atteindre six noeuds et les coups de vent de SW générés par les fronts froids qui se succèdent sur la zone sont fréquents. Le courant s'opposant au vent lève une mer très dangereuse et c'est dans ces conditions que s'observent les "vagues scélérates"... qu'il vaut mieux éviter de rencontrer. Lorsque j'ai eu passé le sud de Madagascar, je me trouvais à cinq jours de Durban : je "voyais" les fronts  (d'accord ils ne figurent pas sur les fichiers d'où la nécessaire interprétation...) et j'ai pu tranquillement me "glisser" entre deux d'entre eux dans des conditions tout à fait tranquilles (il a suffi de "cravacher" un peu pour avoir une bonne marge...) Moins chanceux ou plus lent, j'aurais eu la possibilité de ralentir, de me mettre à la cape pour étaler le coup de vent en dehors de la zone dangereuse. En tout état de cause, j'assurais la sécurité.
Plus récemment, en avril dernier, je suis remonté directement de Sainte Hélène aux Açores. Depuis plus de 800 milles au sud des Açores, je voyais  les dépressions qui circulaient plus "haut" dont certaines bien basses en latitude. J'ai choisi le moment de mon passage et les conditions que j'ai rencontrées (à peine plus de 40 noeuds dans un front froid... mais pas longtemps). J'avais toute latitude pour éventuellement ralentir, mettre à la cape ou même "partir à droite" (mais cela compliquait la suite...). Quand je me suis engagé je savais ce qui arrivait derrière : la sécurité était assurée.
C'est incontestablement un plaisir intellectuel que d'avoir la possibilité de faire des choix judicieux (ou pas...) en s'écartant de la simple orthodromie. Certains - j'en suis- trouveront que le plaisir est d'autant plus grand qu'ils auront construit leur route seuls.
Gaston, voilier Kendalc'h 

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DI ALU GARCIA SALT 57cc
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réponse n°256726

 @Gaston. tout à fait d'accord avec ton intervention. Je confirme qu'Iridium permet de récupérer d'une manière fiable, facilement et pour un coût très raisonnable les fichiers gribs (moi aussi chopper NOAA Maxsea) sur de larges zones (il faut des couvertures larges pour comprendre ce qu'il se passe autour). Le récent passage de la résolution à 0,25° est une amélioration importante mettant, je pense, les fichiers NOAA maintenant au même niveau que le modèle Européen (je mets à part les fichiers très fins non adaptés pour nous à la navigation océanique). Il est bon de compléter, car pour moi ce n'est pas toujours évident de tracer les fronts sur les fichiers gribs, par la réception (toujours par Iridium) du synoptique Fax météo de Météofrance ou de la NOAA (je trouve ce dernier plus intéressant car il indique clairement en plus le déplacement dans les 24h suivantes des centres dépressionnaires) qui donne, retraité par des prévisionnistes l'évolution de la situation générale et des centres actifs, ainsi que le tracé des fronts (gratuit sur les deux sites). On peut compléter aussi (toujours par Iridium) par des photos satellites (également gratuites sur les deux sites, mais j'avoue que j'aurais besoin un de ces jours d'une formation pour en extraire la substantifique moelle.
Enfin la lecture rapide des bulletins Navtex (gratuits) rédigés par des prévisionnistes professionnels, même s'ils ne donnent qu'une prévision sur une courte durée (lendemain+tendance 24h suivantes), permettent de vérifier que l'on ne s'est pas gourré dans son analyse. Artimon.

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Feeling 446
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réponse n°256727
Jcterue a écrit :
Bonjour,

Bien sûr le routage offre de réels avantages, surtout dans les régions où la nav est très demandeuse: Antarctique, Drake, Patagonie, Malouines, mouillages de l'île de Pâques. C'est un net confort et son financement est avantageusement balancé par l'économie dans le matériel qui souffre moins.
Même dans des situations plus faciles -transat retour par exemple- la vue du routeur est forcément plus large que celle du skipper; c'est certainement dans ces conditions que son avis est le plus fiable; malgré les milles engrangés et le désir de liberté en mer, je ne me passerais pas de cette opportunité.
Searout de Michel Meulnet me semble tout indiqué.
Bon vent !
JC

 bonjour
entierement d'accord avec toi jean claude,sur ton conseil,j'ai utilisé les services de michel meulnet sur mes trois dernieres transat est/ouest,je trouve que cela apporte une vrai securitée supplementaire,et méme si on ne peu pas toujours eviter les conditions defavorable,bien savoir permet de bien prevoir! de s'organiser et de profiter des meilleurs conditions possibles
francis 


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réponse n°256744
Francissxm a écrit :
Jcterue a écrit :
Bonjour,

Bien sûr le routage offre de réels avantages, surtout dans les régions où la nav est très demandeuse: Antarctique, Drake, Patagonie, Malouines, mouillages de l'île de Pâques. C'est un net confort et son financement est avantageusement balancé par l'économie dans le matériel qui souffre moins.
Même dans des situations plus faciles -transat retour par exemple- la vue du routeur est forcément plus large que celle du skipper; c'est certainement dans ces conditions que son avis est le plus fiable; malgré les milles engrangés et le désir de liberté en mer, je ne me passerais pas de cette opportunité.
Searout de Michel Meulnet me semble tout indiqué.
Bon vent !
JC

 bonjour
entierement d'accord avec toi jean claude,sur ton conseil,j'ai utilisé les services de michel meulnet sur mes trois dernieres transat est/ouest,je trouve que cela apporte une vrai securitée supplementaire,et méme si on ne peu pas toujours eviter les conditions defavorable,bien savoir permet de bien prevoir! de s'organiser et de profiter des meilleurs conditions possibles
francis 

 Que voila un bon résumé pragmatique ...

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- Pirogue 2 Places (Monocoque)
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Maclan a écrit :
Francissxm a écrit :
Jcterue a écrit :
Bonjour,

Bien sûr le routage offre de réels avantages, surtout dans les régions où la nav est très demandeuse: Antarctique, Drake, Patagonie, Malouines, mouillages de l'île de Pâques. C'est un net confort et son financement est avantageusement balancé par l'économie dans le matériel qui souffre moins.
Même dans des situations plus faciles -transat retour par exemple- la vue du routeur est forcément plus large que celle du skipper; c'est certainement dans ces conditions que son avis est le plus fiable; malgré les milles engrangés et le désir de liberté en mer, je ne me passerais pas de cette opportunité.
Searout de Michel Meulnet me semble tout indiqué.
Bon vent !
JC

 bonjour
entierement d'accord avec toi jean claude,sur ton conseil,j'ai utilisé les services de michel meulnet sur mes trois dernieres transat est/ouest,je trouve que cela apporte une vrai securitée supplementaire,et méme si on ne peu pas toujours eviter les conditions defavorable,bien savoir permet de bien prevoir! de s'organiser et de profiter des meilleurs conditions possibles
francis 

 Que voila un bon résumé pragmatique ...

 Bonjour .

oui et j'ai eu du plaisir a vous lire . Cela m'a permis de naviguer (Artimon , gaston et les autres )
Bonnes naves et bons vents

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réponse n°256791

 Merci a tous
bien cordialement
Jacques

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Lagoon 440
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réponse n°256853

J'ai aussi fait appel à Michel / Searout (voir +haut) pour une transat et une Transpac. 100% satisfait. Pas très cher en regard du budget d'une transat. Très sécurisant et apporte un confort psychologique important. Par ailleurs, les choix de routage ne sont pas remis en question et le responsable n'est pas challengé puisqu'il n'est pas à bord. Je ne referais pas une grande traversée sans routeur.

http://sailingsalamander.blogspot.com/

Le site de la Grande Croisière...