Au près bon plein (au près serré, les mouvements de tangage sont trop violents pour celui qui opère au pied de mât).
Sinon, en solo sans pilote, c'est très facile à faire en se mettant à la cape (virer foc à contre, choquer la bôme en grand,
pousser la barre sous le vent). C'est une allure stable barre amarrée sous le vent, et la GV faseye librement.
Le plus pratique est le système de prise de ris automatique, dans lequel tout est renvoyé dans le cockpit, mais cela
nécessite souvent de changer la bôme car elle doit être équipée pour les renvois, de 6 poulies vers le point d'amure,
ajouter des poulies en pied de mat et des coinceurs sur le roof, pour se servir des winchs. Tu pourras man?uvrer sans
risque, même si le vent forcit brusquement. Tout dépend du prix que tu veux mettre
Sur mon Gib Sea 105, je passe au près serré. Je prépare mon fourbi et je choque la GV en grand... enfin pas tout à fait, je ne
file pas suffisament d'écoute pour que la bome ne puisse taper le bas hauban. Le bateau ralenti et quand l'erre est suffisament
cassée, je lofe en grand. le bateau ne peut passer le lit du vent comme cela, la GV fasseye bien et barre amarée, même par mer
forte c'est une alure stable suffisament loffé pour la sécurité et suffisament abatu pour le confort.
Les prises de ris se font en pied de mat. Par contre la balancine est renvoyée au cockpit. C'est incroyable comme cela facilite la
vie. De plus elle est dimensionnée pour servir d'écoute de secour.
En solo, le vrai luxe, ce n'est pas l'acastillage, mais la stabilité du canote.
Sur le 105, le grément de GV et un peu original. Le vi de mulet coulisse dans une gorge du mat. La voile est issée à bloc à la main
sans résistance. L'étarquage se fait par le bas au moyen d'un palan confortable, réglable même sous tension... plus besoin de
cuningham... Ni de manivelle de winch. Je ne comprends pas pourquoi un tel dispositif si fréquent en voile légère ne se
rencontre pas plus souvent en croisière.
j'ai solutionne le probleme d'oeil en fixant un pontet sur le mat puis une garcette et au bout un mousqueton je peux crocheter le
mousqueton dans l'oeil en passant autour de la ralingue;cela marche tres bien il suffit de dimensionner par rapport au
deplacement;Bon vent.Jeff.
Tout ramener au cokpit : drisse, boss d'amure, bosse d'écoute.
prendre ou larguer les ris au près
les garcettes ne servant qu'à ramasser la toile peuvent être supprimées (à la rigueur remplacées par de l'élastique)
Bonne Année & bonnes navs.
Cokelund(e/2)
Au près bon plein (au près serré, les mouvements de tangage sont trop violents pour celui qui opère au pied de mât).
Sinon, en solo sans pilote, c'est très facile à faire en se mettant à la cape (virer foc à contre, choquer la bôme en grand,
pousser la barre sous le vent). C'est une allure stable barre amarrée sous le vent, et la GV faseye librement.
Le plus pratique est le système de prise de ris automatique, dans lequel tout est renvoyé dans le cockpit, mais cela
nécessite souvent de changer la bôme car elle doit être équipée pour les renvois, de 6 poulies vers le point d'amure,
ajouter des poulies en pied de mat et des coinceurs sur le roof, pour se servir des winchs. Tu pourras man?uvrer sans
risque, même si le vent forcit brusquement. Tout dépend du prix que tu veux mettre
Sur mon Gib Sea 105, je passe au près serré. Je prépare mon fourbi et je choque la GV en grand... enfin pas tout à fait, je ne
file pas suffisament d'écoute pour que la bome ne puisse taper le bas hauban. Le bateau ralenti et quand l'erre est suffisament
cassée, je lofe en grand. le bateau ne peut passer le lit du vent comme cela, la GV fasseye bien et barre amarée, même par mer
forte c'est une alure stable suffisament loffé pour la sécurité et suffisament abatu pour le confort.
Les prises de ris se font en pied de mat. Par contre la balancine est renvoyée au cockpit. C'est incroyable comme cela facilite la
vie. De plus elle est dimensionnée pour servir d'écoute de secour.
En solo, le vrai luxe, ce n'est pas l'acastillage, mais la stabilité du canote.
Sur le 105, le grément de GV et un peu original. Le vi de mulet coulisse dans une gorge du mat. La voile est issée à bloc à la main
sans résistance. L'étarquage se fait par le bas au moyen d'un palan confortable, réglable même sous tension... plus besoin de
cuningham... Ni de manivelle de winch. Je ne comprends pas pourquoi un tel dispositif si fréquent en voile légère ne se
rencontre pas plus souvent en croisière.
Pour moi, bateau lourd, tout au pied de mat avec des balcon de mat, c'est impeccable.
Le seul défaut est le sens de la prise de l'oeuil d'amure dans le crochet : babord ou tribord !
Xavier & Ananda
j'ai solutionne le probleme d'oeil en fixant un pontet sur le mat puis une garcette et au bout un mousqueton je peux crocheter le
mousqueton dans l'oeil en passant autour de la ralingue;cela marche tres bien il suffit de dimensionner par rapport au
deplacement;Bon vent.Jeff.