Mal de terre
publié le 02 Février 2013 19:17
Question à deux balles...
J'ai la chance de faire partie de ceux qui s'amarinent vite et qui ne souffrent du mal de mer que dans des conditions assez dures. Par contre, le mal de terre, je me le prends plein pot. Je ne suis pas malade, mais j'ai l'impression que la planète n'est plus stable.
Un exemple : l'été dernier, après 15 jours de mer, je suis allé à terre acheter un pare-battage. Ca tanguait tellement que je n'arrivais pas à marcher droit. Et en entrant dans le magasin, je me suis carrément fait une hallucination : j'étais convaincu que la boutique était monté sur flotteurs, qu'elle était sur l'eau. Sur la tête de mes enfants, l'illusion était si forte que je suis ressorti pour voir comment ça avait été contruit pour flotter comme ça. Il m'a bien fallu 15 ou 20 secondes pour comprendre que non, c'était juste une maison normale...
Bon, comme je ne suis pas malade, ça a un côté marrant, et d'ailleurs ça fait marrer tout le monde. Mais c'est quand même pénible. Dès que je suis deux ou trois jours sur un bateau, ça me reprend. Encore là, je rentre de trois jours à bord, au ponton je précise. C'est vrai que ça a soufflé fort, mais niveau bougeotte, rien à voir avec une nav. Eh bien il m'a fallu 24 heures pour que la sensation disparaisse... J'imagine qu'il n'y a aucun moyen de lutter contre ça ?
J'ai la chance de faire partie de ceux qui s'amarinent vite et qui ne souffrent du mal de mer que dans des conditions assez dures. Par contre, le mal de terre, je me le prends plein pot. Je ne suis pas malade, mais j'ai l'impression que la planète n'est plus stable.
Un exemple : l'été dernier, après 15 jours de mer, je suis allé à terre acheter un pare-battage. Ca tanguait tellement que je n'arrivais pas à marcher droit. Et en entrant dans le magasin, je me suis carrément fait une hallucination : j'étais convaincu que la boutique était monté sur flotteurs, qu'elle était sur l'eau. Sur la tête de mes enfants, l'illusion était si forte que je suis ressorti pour voir comment ça avait été contruit pour flotter comme ça. Il m'a bien fallu 15 ou 20 secondes pour comprendre que non, c'était juste une maison normale...
Bon, comme je ne suis pas malade, ça a un côté marrant, et d'ailleurs ça fait marrer tout le monde. Mais c'est quand même pénible. Dès que je suis deux ou trois jours sur un bateau, ça me reprend. Encore là, je rentre de trois jours à bord, au ponton je précise. C'est vrai que ça a soufflé fort, mais niveau bougeotte, rien à voir avec une nav. Eh bien il m'a fallu 24 heures pour que la sensation disparaisse... J'imagine qu'il n'y a aucun moyen de lutter contre ça ?
C'est un phénomène normal, variable selon les personnes. Rien à faire que de laisser à nouveau l'oreille interne à se faire à une nouvelle situation. Mais moins pénible que le mal de mer, c'est passager.
Imaginons ce que ressentent les astronautes !!
Et un grand vertige giratoire en plongée ? Cà c'est terrible ! On ne sait même plus où est le haut et le bas ! Alors relativisons et voyons çà comme une expérience que les pûrs terriens ne connaissent pas.
Bonjour de Fendlabise,
C'est quand meme embarassant lorsque tu reviens directement dans les terres interieures hauts savoyardes "pour citer" , que tu tangues un peu a l'entree d'un Pub de bourgois sans avoir bu un decis d'alcool et te voir refuser l'entree avec force de vigiles et de chiens Rotweiller; bienvenue chez les ploucs, sure que l'on est loin de la Bretagne mais trop pret de la suisse.
Cordialement
Bonjour,
Pour améliorer la chose, il faut s'assoir en plein air avec une vue dégagée sur l'horizon et regarder au loin .
Eviter de rentrer dans un magasin ou pire dans une douche en arrivant au port avec un mal de terre.
D'aucun recommande de se faire secouer pour activer la remise en place des otolithes de l'oreille interne!
Vous pouvez le demander à un kinésithérapeute ou bien chercher querelle à un voisin de ponton ou un docker particulièrement costaud....
Faire comme les Belges, qui, tout le monde le sait, ont un front plat.... A force de se frapper le front du plat de la main en se disant "que j'suis con, que j'suis con". Les otolithes n'y résistent pas. Pardon à nos amis Belges, qui savent que nos femmes ont des petits seins et de gros tétons parce qu'on a des petites mains et une grande gueule