Insubmersibilisation de mon First-25 pour transat

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réponse n°114523

Tu peux aussi prendre une approche inverse.
Sachant que le minimal est de 1m3 (à la louche) et que 2.3m3 c'est bien il faut rechercher un optimum entre les deux.
L'optimum dépend du volume habitable, du matériel embarqué, du niveau de confort (trouver 1,2m3 sur un mini c'est facile,
c'est vide).....
L'idée serait de remplir au moins 1m3 de mousse puis d'en ajouter autant que possible.

Une solution en deux temps consiste à avoir 1m3 de mousse pour rendre le bateau incoulable et 1,3m3 de vaches à air
gonflables à la main pour le rendre insubmersible, "confortable" et vidable...

Les vaches à air pouvant être l'annexe (pas le canot de survie) que l'on gonfle, en cas de besoin, dans le carré (on est
plus à cela près).

Une autre approche consiste à analyser les risques (rencontre avec un OFNI, bateau couché par une déferlante, défaillance
structurelle....) et à les couvrir par des solutions (procédures).

Eric Sourire

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LAGOON 410
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réponse n°114525

Devant le succes de cette question d'insubmersibilité,je voudrais poser une question aux techniciens du forum:
Pourquoi de la mousse avec sa complexité de mise en oeuvre et non tout betement de l'air qui pourrrait etre réparti dans de
nombreux objets gonflables épousant les recoins les plus inutiles du bateau et constitués de chambres à air de voitures ou de
camions et donc aussi d'un cout réduit et faciles à enlever.Chaque valve accessible pourrait donner lieu à vérification ou à
dégonflage et démontage.
Ce serait aussi une manière d' emmener avec soi un peu d'air du pays...

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réponse n°114527

La solution en deux temps me plait bien, mais je m'inquiète quant aux volumes gonflables.

Pour la mousse, je la répartie comme ceci:

- Pointe avant: 200 cm3
- Deux coffres latéraux du carré: 200 cm3
- Compartiment moteur: 500 cm3
- Plancher: 100 cm3 (peut-être)

Ca nous fait un total de 1 m3 - Le bateau est incoulable, d'après Eric.

En cas d'avarie grave, je me dis: Génial! On va pouvoir voir si c'est Eric ou bien BANANA qui avait raison! Dans les deux cas
j'enverrais un SMS au gagnant avec mon Iridium. Dans cet état d'esprit positif donc, gonflé par l'adrenaline; Je m'apprête tt de
même à executer la procédure de survie avec bidons + BIB...

Ok super, çà coule pas! un peu de repos tt de même... un peu plus tard...

Je tente de gonfler des vaches à air et l'annexe à l'intérieur... Mais avec un gonfleur à main et la pression cela ne doit pas être
trop facile? Voir impossible? En plus, il doit falloir que les volumes gonflés soient conservés et fixés le plus bas possible, bien au
dessous du niveau du pont si je veux rendre le bateau vidable. J'imagine que les volumes gonflables doivent non seulement être
à poste avant l'avarie, et avec système de gonflage sous pression? A confirmer, c'est juste peut être une fausse intuition ce
problème de gonflage.

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réponse n°114528

Cataphile, il y a de toutes façons des volumes, qu'ils soient remplis de mousse ou d'air, à mettre laisser à poste pendant toute la
nav, en cas de catastrophe. Des volumes "permanents". Le point délicat, c'est surtout leur fixation. Il faut qu'elle soit solide
pour conserver ces volumes assez bas dans les fond. Pour ces volumes permanents, je préfère le choix de la mousse car elle ne
crève pas.

Ensuite l'idée d'Eric intègre le gonflable dans le 2ème temps: Pour rendre le bateau vidable et non seulement incoulable. Là le
gonflable prend tout sont intérêt parce que tant les volumes ne sont pas gonflés, cela ne prend pas de place. Une fois le bateau
vidé de son eau, ces volumes peuvent alors être dégonflés.

Raphael

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réponse n°114534

Euh... Correction sur mes cm3... A transformer en litres de mousse... Mécontent Je retrouve la forme...

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réponse n°114540

________

On va pouvoir voir si c'est Eric ou bien BANANA qui avait raison!

_________

Mon boulot, c'est la sécurité et j'ai 2 diplômes d'ingénieurs. Mon terrain de jeu est l'Atlantique Nord d'Est en Ouest sur
des petits bateaux. Je n'ai peu être pas raison, mais .... !

Eric MDR

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réponse n°114541

C'est dommage que tu ais retiré le délire sur le First 25 transformé en nacelle de dirigeable, cela devenait inventif !

La traversée de l'atlantique en ballon avec un chien de mer c'est un peu cela (voir lien).

Eric MDR

http://www.seasailsurf.com/seasailsurf/actu/spip.php?article4312

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réponse n°114542

______

Pourquoi de la mousse avec sa complexité de mise en oeuvre et non tout betement de l'air qui pourrrait etre réparti dans de
nombreux objets gonflables épousant les recoins les plus inutiles du bateau et constitués de chambres à air de voitures ou
de camions et donc aussi d'un cout réduit et faciles à enlever.

_____

C'est une très bonne remarque.

Sur Sterenn, la flottabilité est assurée par des vache à air (réservoirs d'eau remplis d'air du pays). Le tout gonflé avec
un gonfleur 12V MIC (Made in China) de matelas pneumatique.

La mousse est facile a mettre en ?uvre et l'on peut l'oublier après. Entre deux parois (contre-moulage par exemple) c'est
une bonne solution.

Les chambres à air introduisent de la pression qui n'a en soit aucun intérêt et peut créer des problèmes.

j'avais envisagé de dévoyer des airbags de voiture mais je crois que ce n'est pas très étanche....

Eric

Eric

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réponse n°114544

________

Je tente de gonfler des vaches à air et l'annexe à l'intérieur... Mais avec un gonfleur à main et la pression cela ne doit
pas être trop facile? Voir impossible? En plus, il doit falloir que les volumes gonflés soient conservés et fixés le plus
bas possible, bien au dessous du niveau du pont si je veux rendre le bateau vidable. J'imagine que les volumes gonflables
doivent non seulement être à poste avant l'avarie, et avec système de gonflage sous pression?

________

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué (Principe Shadock)

Ton bateau flotte au ras de l'eau. Il n'y a pas le feu au lac.

Tu sors ton annexe ou ta vache à air du coffre, tu la jettes dans le carré et tu commences à la gonfler avec ton gonfleur
d'annexe à partir du cockpit. Comme elle est dans l'eau elle va être un volume de flottabilité efficace. La pression de
l'eau est faible en surface. (12 m d'eau = 1 atmosphère)

Eric

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réponse n°114549

Salut Eric. J'avais écrit ce message surtout pour ne pas vexer BANANA. Si je ne t'avais pas pris au sérieux, j'aurais déjà doublé
la dose de mousse MDR Même n'y connaissant pas grand chose en la matière, j'avais tout de même eu l'intuition que tu maitrisais
plutot bien le sujet Sourire Et à mon avis, je ne suis pas le seul à avoir eu cette intuition. Et encore mille mercis pour toutes ces
infos; Entre ce matin et ce soir, j'ai appris beaucoup de choses. Merci Eric.

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réponse n°114552

Eric. J'ai supprimé ce post parce qu'en jettant un oeil sur Wikipedia au sujet des Montgolfières, j'ai cru comprendre que çà ne
pouvait pas porter lourd, en tous cas pas un voilier rempli d'eau. Pensant que ce sujet / l'insubmersibilité / c'est un sujet
intéressant pour les archives de STW, j'ai eu peur de le polluer avec des infos inutiles. Cela dit, comme tu as des compétences
en aéronautique et si tu as trouvé ce post intéressant, alors peut-être que je m'étais trompé et que c'est une voie à creuser.
Dans ce cas, reparlons-en. Une montgolfière, c'est (pour moi) une sorte de voile; Cousue d'une certaine manière on va dire ( le
sens de la description n'est pas mon fort non plus tu l'auras compris) ; Un genre de Spinaker; Ensuite, en cas de galère du genre
bateau avec pont sous l'eau mais qui flotte, on envoie le camping gaz pour faire de l'air chaud sous la montgolfière et hop! On
s'envole! A confirmer par toi lol. J'ai l'impression que çà ne peut pas porter lourd une montgolfière. Sourire

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réponse n°114553

Merci pour l'article Eric et franchement intéressant. J'aime bien l'ULM et aussi et je suis entrain de passer mon brevet d'ULM
pendulaire. Peut-être un jour l'aerostat? Un projet qui combinerait ciel et mer m'intéresserait vraiment dans l'avenir.

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réponse n°114555

Ok. Comme j'écrivais, c'etait juste une impression de difficulté, mais en aucun cas une certitude, et là tu me rassures. Merci. As-
tu des modèles de vaches à air à recommander? A+

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réponse n°114558

Finalement, je me demande si on n'est pas tous en train de se compliquer la vie. Parce que, franchement, combien y a-t-il sur les eaux du globe de
voiliers insubmersibles ? 2 % ? 5 % ? Guère plus. Et combien en coule-t-il parmi les 95 ou 98 % restants ? Ne serait-il pas plus simple et moins coûteux,
en temps, en énergie, en argent et en angoisse, de bien travailler la survie : radeau facile d'accès, bidons étanches avec tout le nécessaire, dont VHF
portable de secours, GPS portable de secours ? Et si on veut vraiment ne rien laisser au hasard : balise Sarsat et Iridium (ça ne devrait pas coûter plus
cher qu'une insubmersibilisation faite dans les règles de l'art). Quant au risque de se faire perforer par une bille de bois ou exploser par un container (et
dans ce dernier cas, d'ailleurs, aucune mousse ne pourra rien contre la dislocation du bateau), acceptons-le comme faisant partie du jeu et comme un
piment de l'aventure. Si on s'est bien préparé et équipé, on s'en tirera.

C'est ce que je me disais quand je partais pour 2 000 à 3 000 milles avec mon Coco dont je n'étais absolument pas sûr qu'en cas de voie d'eau la mousse
d'insub' ne se décollerait pas sous l'effet de la traction... Mais mon container de survie était prêt, et le bib bien accessible à l'arrière du cockpit et non
pas enterré au fond du bateau.

Mais je comprends que notre ami Hyperpot veuille se sentir rassuré. Peut-être que quand il aura digéré toutes ces angoisses et ces calculs de sécurité il
sera prêt à se dire : allez ! on y va ! Et qu'importe la mousse pourvu qu'on ait l'ivresse !

Quand même, il serait bien (et facile à faire) de réaliser une crash-box.

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réponse n°114560

Bernard, à mon avis, le fait que le bateau soit insubmersible ne devrait pas venir au détriment d'une bonne procédure BIB car de
toutes façons, il y a le risque incendie qui reste important. Je vois çà comme un + au cas ou le skipper, suite à un choc, serait
incapable d'enclencher la procédure BIB. S'il y a gros temps, que le bateau se prend de grosses déferlantes, se retourne etc. Il
y a des chances pour que le skipper se retrouve sous choc; Un membre cassé etc. Envoyer le BIB par gros temps avec une
jambe cassée, c'est délicat. Ce risque est augmenté par le couple "longue nav " + "petit voilier". La majorité des voiliers qui font
ces longues nav océaniques ne sont pas insubmersibles mais moins vulnérables au gros temps. Si je me réfère à "Navigation par
gros temps" d'Adlard Coles et Peter Bruce, le risque de se faire couler par une déferlante est proportionnel à la longueur de la
coque. Donc l'insub est, à mon sens, un + important niveau sécurité, pour petits voiliers sur longues navs. Voila pour les
réflexions philosophiques du Dimanche matin.

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réponse n°114578

La montgolfière est une idée complètement délirante techniquement mais cela fait du bien au milieu d'un post technique et
horriblement sérieux.

Eric

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réponse n°114581

___________

As- tu des modèles de vaches à air à recommander?

___________

Pour Sterenn, j'ai pris des vaches à eau pas cher trouvée sur Ebay et des vache à eau Vetus de récup...

La classe Figaro exigeait des vaches à air Vetus d'une conception équivalente à des vaches à eau.

La vache à eau m'a paru facile et suffisamment solide.

Après le moins cher est le mieux : occase, récup, bas de gamme....

Eric

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_______

Finalement, je me demande si on n'est pas tous en train de se compliquer la vie. Parce que, franchement, combien y a-t-il
sur les eaux du globe de voiliers insubmersibles ? 2 % ? 5 % ? Guère plus. Et combien en coule-t-il parmi les 95 ou 98 %
restants ?

_______

Bonjour

C'est un thème en soit. Il a déjà été partiellement abordé.

Réponses rapides :

- Lorsque les vagues passent par dessus le bateau..... que tu te fais coucher régulièrement..... Je trouve cela bon de
savoir que le pire des cas est un canot de survie en dur de 9m de long (ou de 6.5m).

- Les efforts sur le collage de la mousse sont faibles (1kg/cm2 max)

- la flottabilité ne remplace pas le BIB, la Balise... c'est complémentaire.

- je ne serais pas parti sur un bateau qui coule (femme et enfants à la maison).

- les classes Mini, Figaro2, 40, 60 open.... exigent des réserves de flottabilité, il doit y avoir une raison.

Eric

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"La montgolfière est une idée complètement délirante techniquement mais cela fait du bien au milieu d'un post technique et
horriblement sérieux"

Dommage, l'idée commençait vraiment à me plaire Eric Sourire Véritable inquiétude: Que les hommes en blouse blanche arrivent sans
prévenir lol.

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Ils ne m'ont pas encore trouvé !

Tu as donc quelques années devant toi.

En plus maintenant ils te donnent de jolies pilules et tu te sens bien !

Eric MDR

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réponse n°114610

Insubmersible, oui, mais tu utilises quoi comme techno pour brouiller les radars? MDR

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réponse n°114618

Entre les Canaries et les Antilles en novembre-décembre, des vagues qui submergent le bateau et le couchent tous les quarts d'heure, il n'y en a pas des
masses. Si Raphaël avait dû couler, c'était dans sa descente de la Manche, dans le passage de la pointe de Bretagne, dans le Golfe de Gascogne, au cap Fin
isterre ou le long du Portugal.

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First-25
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réponse n°114619

Bernard, sur la première partie du trip, à l'exception de la traversée du Golf de Gascogne, en direct de Groix à Gijon, le reste du
programme était côtier, donc possibilité de repli permanent en cas de mauvaise météo annoncée. La météo est peut être
statistiquement beaucoup plus stable entre les Canaries et les Antilles, en Décembre et selon les Pilot Charts, mais en cas
d'exception aux statistiques, pas de possibilité de repli. Plus çà va, plus j'entends parler d'exception. Lisant ton
livre "L'Atlantique en père peinard", entre Lanzarote et le pot au noir, tu n'as jamais rencontré les Alizés de N-E. Ensuite, un ami
qui avait fait une transat classique France -> Canaries -> Antilles à bord de son 13m il y a quelques années, il s'est pris le résidu
d'un ouragan qui passait dans l'Atlantique pas trop loin des Canaries à une période sans risque... Il s'est tout de même pris du
45 noeuds pendant 72H, pas trop loin des Canaries. Je ne sais plus quel nom avait été donné à cette grosse dépression; Mais
elle n'avait pas un nom pour rien. Des bruits courent comme quoi la "bonne période" pour traverser n'est plus la même qu'avant,
qu'il faut peut-être ajouter un mois lol. Bref, météo statistiquement meilleure qu'aux latitudes 50° mais pas de possibilité de repli
pendant trois semaines, avec un certain nombre de témoignages d'exceptions aux stats + femme et enfant qui m'attendent à
l'abris ; Cela me motive pour compenser les risques liés à la petite taille du bateau: Plus de chance de se faire couler qu'un gros.
Si j'étais célibataire, un bloc de mousse expansée m'aurait peut-être suffit; Quoique... Euh... Non... Les hommes en blouse
blanche Clin

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EDEL 4
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réponse n°114637

Pour en revenir au calcul du volume d'air ou de mousse nécessaire au final pour assurer une flottabilité de 50 %, l'exemple
de Sterenn avec le cube de mousse est bien choisi. Et cela me permet de voir mon erreur dans le raisonnement:
Effectivement, un cube de mousse de 2.3 m3 chargé d'une masse de 2.3T va s'enfoncer jusqu'à son sommet dans l'eau. Cela
revient à dire que si on y pose le First 25 (théoriquement) celui-ci se retrouvera le bas de la quille au ras de l'eau, ce
qui n'est pas le but recherché.
Conclusion: pour arriver à sortir 50 % du franc bord en cas d'avarie, il faudrait pouvoir estimer le poids des 50 %
inférieurs du bateau, et lui opposer un volume de mousse ou d'air correspondant.
Donc, loin des 4.6 m3 que je proposais, et plutôt vers les 1.5 m3, ce qui est tout à fait envisageable.

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First-25
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réponse n°114639

Merci Alain. Cela fait plaisir de voir les chiffres converger vers une même valeur. Je pense aussi que je vais opter pour du tout
gonflable afin de récupérer de l'espace hors longues navs; Economiquement, celà doit être aussi beaucoup plus intéressants. Le
risque de dégonflage peut être compensé par l'augmentation du nombre de vaches à air et la réduction de leur taille.

Durant les navigations critiques du genre transat, je laisserai qqchose comme 1.2m3 à poste. Des vaches à air supplémentaires
seraient gonflées en cas d'avarie, au besoin, si le franc bord était trop petit pour vider le bateau, mais également pour améliorer
le confort en cas de voie d'eau incontrôlable (si une voile ne suffisait pas etc. ).

A+ Raphael

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GIB'SEA 76
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réponse n°114646

bonsoir, ton chiffre de 1.2 m3 parait très bon, grosso-modo j'évaluais 1.1 m3. 700 litres pour le lest, 400 l pour la coque et+.
tu vas y arriver;
JJ

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