J'ai fait une expérience bien involontaire de résistance de la D400 par vents très forts. Mouillé dans la baie Thétis où nous étions venus nous abriter de l'arrivée d'une tempête, à l'extrémité de la Terre de Feu, juste à côté du détroit de Le Maire, la D400 a parfaitement fonctionné par 35 à 40 noeuds toute une nuit, jusqu'aux vents de tempête (50 à 60 noeuds) que nous y avons subi pendant toute la matinée suivante. Ce n'est que lorsque le vent a sauté à la force de l'ouragan (100 noeuds établis plus rafales) que l'éolienne a rendu l'âme (et le bateau a été arraché du mouillage....) et a été détruite (roulements foutus, pales arrachées...). 
Naîf et faisant confiance à ATMB qui la donne tenant à 60 noeuds je ne m'attendais pas du tout à ce passage à l'ouragan. La prochaine fois... J'ai racheté une D400.$ dont je suis satisfait (avec empennage plus grand).
On peut donc faire confiance au bon fonctionnement de la D400 à 40 noeuds. Quand on est pris par mauvais temps fort dans un mouillage et que l'on est calfeutré c'est agréable d'avoir de l'électricité en abondance.
Cordialement

 En complément de réponse le bruit de l'éolienne et les vibrations jusqu'à 45 ou 50 noeuds étaient peu appréciables dans l'ambiance de vents aussi forts générant eux-mêmes beaucoup de bruit et de vibrations.
La différence de traînée entre l'éolienne bloquée et l'éolienne en rotation doit être à mon avis négligeable par rapport à la valeur absolue de cette traînée.
Cordialement

PS quand l'éolienne a commencé à se désintégrer il a bien fallu aller la prendre au lasso, le frein électrique étant complètement dépassé, mais c'était trop tard.

 J'ai répondu un peu vite concernant la résistance aérodynamique. Quand les pales sont bloquées l'écoulement de l'air autour des pales est décroché et leur portance s'écroule (comme un décrochage en avion). Il est donc certain que l'effort sur le matereau est très sensiblement réduit par rapport au fonctionnement normal pales en rotation (c'est d'ailleurs cette différence qui donne en gros une bonne part de l'énergie électrique).
Dans mon affaire quand le vent est devenu dément les pales, souples, se sont défpormées sous la pression et sont venues toucher le mâtereau (traces sur la peinture rabotée), d'où destruction des pales, déséquilibrage et vibrations considérables et destruction des roulements.
Cordialement