Bonjour
   j'ai possèdé il y a 30 ans un centurion 32, c' est une bicyclette....facile à piloter, pardonne les erreurs
au moteur marche AR facile
cockpit vaste la barre franche se relevant sur le pataras
accés peu pratique, j' avais fais élargir d'un coté pour éviter le volant de pataras
   bâche d'eau douce dans la quille, un peu juste, je n'aimais pas qu'elle fréquente les eaux de cale...!!!
  Trés stable sous spi, surfaces de voiles faciles à maitriser, raide à la toile, remonte correctement au vent
Coque de grande solidité, qualité des menuiseries,  trés bonne ventilation, pas d'humidité l'hiver (en méditerrannée), gréément bien dimensionné
  Comme tous les Wauquiez, lourd, mais solide, gardant sa côte, depuis 16 ans  j' ai un Hood38 de 80 mais je regrette parfois mon centurion

bonjour
  Mon centurion était de 76,N° 341 (je crois) sans trimer de quille, l' écoute de GV sur l'avant du cockpit peut être sur les modèles antérieurs des pbs , mais aucun problèmes de cadènes en 13 ans
pour la vitesse je me rappelle avoir fait Calvi-Cannes sur un seul bord à 6,5 nds au près bon plein, les autres fois c'était  toujours 20H de moteur à 1,5 litre de l'heure, au portant pas de souvenirs , chaque croisière se retrouvant face au vent si décidée dans l'hiver
je dois avoir une pub de Wauqiez, je vous la numériserai
A+

J'ai eu un centurion pendant 11ans... premier bateau... histoire d'amour. Il m'a mené d'Irlande en Grèce par Gibraltar.
Je pense qu'il faut faire très attention, ceux que je vois aujourd'hui dans les ports vont du petit bijou, quasi pièce de collection amoureusement entretenue au bateau ...affichant ses quarante ans.
C'est une conception ancienne (dire cela n'est pas une critique) quille semi longue, l'hélice n'est pas dans l'axe, il ne manoeuvre pas en marche arrière comme les bateaux récents. Son arrière étroit ne favorise évidemment pas la stabilité de route au portant (mais "bon rouleur, bon marcheur" n'est-ce pas...)
Les points à regarder :
Bien sûr le moteur... certains ont encore l'antique MD2B, bien sûr "increvable" mais quadragénaire...
Le pont : c'est du sandwich. Si ça craque trop, attention : délaminage.
Les hublots : beaucoup ont eu des pb d'étanchéité (qui se maîtrisent bien.)
Enfin il faut savoir que sur ce bateau la partie supérieure des aménagements (particulièrement la cloison entre carré et cabine avant, sont pris dans le contre moulage. Faire un essai à la mer au près et  voir si ça ne grince pas trop et ne bouge pas trop (on le voit au niveau de la porte). Dernier point, il y a, je crois, une assoc de  propriétaires. Je l'avais trouvée par google.

gaston a écrit :
J'ai eu un centurion pendant 11ans... premier bateau... histoire d'amour. Il m'a mené d'Irlande en Grèce par Gibraltar.

Le pont : c'est du sandwich. Si ça craque trop, attention : délaminage.
Les hublots : beaucoup ont eu des pb d'étanchéité (qui se maîtrisent bien.)

bonjour
je vais essayer de vous passer des photos de la doc des premiers modèles, apparament le pont n' est pas en sandwich, le mien ne devait pas l'être en tous cas

N'arrivant pas à tout passer donnez moi peut être votre adresse e-mail

 

bonjour,
si le pont se soulève au vent au niveau de la cadène: danger !!!
tu dois avoir la pièce stratifié à la coque qui retient le tirant de cadène qui se décole; rien de très grave en soi mais il ne faut pas naviguer comme cela.
le risque de dématage et d'arrachement du pont est bien réel.
j'ai eu ce pb sur mon first 345 il y a deux ans.

vu le prix prohibitif du chantier contacté, j'ai effectué le démontage des boiseries, les préparatifs moi-même. ensuite un stratifieur est venu faire le travail, un gréeur m'a réglé le mat et j'ai remonté l'intérieur.

pas mal de travail mais à la portée d'un bricoleur averti pour la préparation et le remontage.
bon courage
Tahaa

si tu comptes effectuer les préparatifs toi-même, sâches que c'est quand même un gros boulot.

retirer les boiseries sans les abimer est parfois un casse-tête.
ensuite, il te faut découper la strat du renfort sans attaquer la coque. pour cela, j'ai trouver une astuce: je glissais entre la coque et la strat décollée une tôle fine en acier. quand je découpait la strat et que la disqueuse arrivait à la tôle, cela produisait des étincelles: il était temps d'arrêter. quand toute cette strat est enlevée, j'ai poncé la coque avec un disque spécial (je te dirai le nom plus tard, je l'ai oublié)
il faut ensuite, après avoir sécurisé le mat avec 2 ou 3 drisses bien étarquées sur le rail de fargue, détendre complètement les haubans latéraux.
les travaux de strat doivent être fait bateau dans l'eau, c'est dans son élément qu'il est parfaitement dans ses lignes d'eau. il ne faut surtout pas le mettre au sec sur un ber.
si tu es sur Lorient, je pourrais te conseiller mon stratifieur
n'hésites pas à me joindre par mail si tu veux d'autres renseignements (fontainepatrice@orange.fr)
bon courage
Tahaa
bon courage

 http://www.centurion32.com/tonkoui/index.html