Après une arrivée de nuit dans le mouillage encombré et rouleur de Gustavia sur l’île de St Barthélémy  

Ça a l'air pas mal l'île des milliardaires...

Mais comme on a pas gagné à l’Euro million, nous passerons juste la nuit, puis cap sur St martin.

Nous apprendrons plus tard que le mouillage était payant 8 euros, mais du fait que nous soyons repartie tôt  on nous a rien demandé...

 St Barth et St Martin ne sont qu'à une vingtaine de milles, mais la navigation entre les îles aux caraïbes est toujours agitée...

Nous longeons le coté hollandais, dans la baie de Philipsburg une concentration impressionnante de bateau de croisière, 6 monstres des mers sur le même quai, ça sent le tourisme de masse...

Sur le littoral hollandais, les hôtels géants nous confirment cette impression.

Coté Français, c'est très différent, que des petites construction qui s'intègrent bien dans le décor

 Nous louons une voiture, pour 30 dollars, très folklorique ces agences de location, on a l'impression que rien ne se passe, puis la voiture arrive on ne sait d'où ? il faut juste être patient...

 Nous partons pour faire le tour de l'île et écumer les supers marchés à la recherche de Pelfort Brune et de Ricard...(c'est notre dernière escale française avant longtemps)

Mission accomplie, Ricard 6,99 euros le litre qui dit mieux...

Nous passons dans Philipsburg, boutiques à touristes, casinos, fast-foods, tout pour les touristes Américains

 Cette île ne ressemble à aucune autre au caraïbes, non pas par le décor, elles se ressemblent toutes, mais par la population et l'ambiance, ici on parle couramment anglais, français et créole et souvent au cours d'une même conversation, question en anglais, réponse en créole, et précisions en français...de quoi en perdre son latin... par contre, on a pas vu l'ombre d'un hollandais ???

 On y parle aussi un peu l'espagnol,
car il y a beaucoup de personnes originaires de république Dominicaine.

Bus scolaire américain (les mêmes coté français et hollandais)

César qui ne lâche plus son cadeau de noël, (en retard je sais), son Ipod touch acheté HT du coté hollandais.

 Il pleut entre 5 et 6 fois par jour, ici mieux vaut ne pas avoir une décapotable...

Nous profitons de cette escale pour essayer et roder notre nouveau moteur d'annexe acheté en Guadeloupe.

 6 CV pour la petite APEX c'est le maximum, elle déjauge jusqu'à deux personnes, c'est un avion...

Mais en voyage, il faut savoir partir, nous laissons là, Aurélie et François de Zou Maî, qui cherche du boulot pour renflouer la caisse de bord, et nous partons pour une nuit de navigation en direction des îles vierges britannique.

 A bientôt pour de nouvelles aventures aux Iles vierges britannique et américaine.