Solidarité à Leros

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Anonyme (non vérifié)
réponse n°262465
Pierreled a écrit :
Peio64 a écrit :
Et, pendant ce temps-là :

Dormez en paix, braves gens.

 Il ya un moment où l'on peut dormir en paix, car on ne peut pas accueillir toute la misère du monde , quand on en a déjà pris sa part ! Surtout quand dans le même temps, les monarchies du golfe , richissimes et sous peuplées , ne receuillent qu'un nombre infime de leur coreligionnaires arabophones, après en plus, avoir financé en sous main les extrèmistes religieux devenus  bourreaux . 

Le Quatar fait bien de l'humanitaire en France en achetant le PSG !!

Dormir en paix ?
Voyons une vraie misère :
Le nombre de suicides d'adolescents augmente régulièrement depuis les années 70.
Aujourd'hui, ce sont près de 1 000 décès par an, pour 80 000 tentatives !
A 15 ans, près de 21 % des filles et près de 9 % des garçons ont déjà tenté de se suicider.

Il est à souhaiter que ces jeunes qui ne trouvent aucun sens à leur vie, n'en trouvent pas un à leur mort, certains viennent d'en montrer un chemin effrayant.

Pour Xavier Pommereau, les filles qui vont mal retournent la violence contre elles, quand les garçons s'en prennent à la société, par des actes délictueux. Mais globalement, « un nombre très important de jeunes est en désespérance. Je l'évalue à un sur sept ». « Ils sont plus stressés, plus inquiets de l'avenir, en difficulté pour se sentir exister, pour affirmer leur identité, parce qu'ils ne sont pas étayés par le groupe, parce qu'ils manquent d'appartenance sociale et idéologique, parce qu'ils sont de plus en plus renvoyés à eux-mêmes pour se définir. Certains ados, les plus démunis, ne veulent pas de ce combat. » Des adolescents miroirs des angoisses de leurs parents, d'une société en état de stress, résume le psychiatre.
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réponse n°262473

Ben oui Peyo, le 30 glorieuses sont bien finies. On est plus stressés, plus inquiets de l'avenir,  l'état providence à la francaise est fini !!

On ne reviendra pas aux années où tu avait 30 ans , il faut s'y faire !


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réponse n°262477

A propos de solidarité, les attentats laissent des orphelins ...
et, par ailleurs, effet collatéral, la tante et la nièce sont créditées de 40% d'intention de vote au 1er tour des régionales avec comme argument principal "les migrants" ...
même De Gaulle, n'a jamais osé rêvé d'un score aussi élevé

Anonyme (non vérifié)
réponse n°262479

On dérive vachement du sujet moi le premeir mais on n'est pas hors charte. Europe sociale zéro europe politique zéro, on continuera à bouffer des perturbateurs endocriniens, à perdre nos abeilles, à bouffer du Monsanto (c'est politique ça ? zut, j'ignorais !!), à attendre une europe politique. Le confort des frontières européen n'existe que pour LVMH Adidas Nike, leurs produits sont eux bien protégés contre les contrefaçons : il faut bien protéger notre industrie en protégeant des produits fabriqués  en ...... Chine.
Controler l'identité exacte des migrants n'est donc pas effectuée, serait drole de voir les réfugiés pieds nus à cause de coast guard qui leur aurait fait bruler leur contrefacon Adidas.

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réponse n°262482
Pierreled a écrit :
Ben oui Peyo, le 30 glorieuses sont bien finies. On est plus stressés, plus inquiets de l'avenir,  l'état providence à la francaise est fini !!

On ne reviendra pas aux années où tu avait 30 ans , il faut s'y faire !

 
Je ne vois pas bien le rapport avec la présente choucroute mais crois-moi ou pas, les raisons d'être stressé et inquiets pour l'avenir ne manquaient pas il y a 40 ans (quand j'entrais dans la trentaine, donc).

- C'était toujours la guerre dite "froide" avec la menace très présente de se prendre d'un jour à l'autre des mégatonnes sur la tronche;
- C'est le premier choc pétrolier (1973) avec des conséquences économiques d'autant plus importantes qu'il n'était pas prévu (vers 1980 le chômage est à plus de 10% en moyenne, aussi bien en Europe qu'aux USA. L'inflation galope, les faillites se multiplient);
- Le terrorisme est déjà bien présent (prise d'otages à Vienne, bande à Baader etc.);
- En 1975, les Khmers rouges entrent à Phnom-Penh;
- C'est la guerre de Chypre entre deux membres de l'Otan (1974);
- C'est la déconfiture américaine au Vietnam avec les boat-people pour conséquence. A ce sujet et en rapport avec e fil, il est peut-être bon de rappeler que la France se montre capable à cette époque de recueillir 120 000 réfugiés asiatiques. Faut dire que dans leur grande majorité, ils ne sont pas de culture musulmane...

Bref, les "30 glorieuses" se terminent très brutalement à cette époque là, époque où je terminais mes études (27 ans) et où j'entrais dans la vie active. Voir Mr Larousse pour se rafraîchir la mémoire : http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/la_crise_des_ann%C3%A9es_1970....

Peio
Haize Egoa
_

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réponse n°262485

Situation économique, situation politique, ok.
Les changements qui m'etonnent :
- le rapport à la vie : malaises, suicides en augmentation (chez les jeunes !!!), qui alimente aussi kamikze et départ en syrie ?
- réponse aux événements qui ne semble QUE sécuritaire
- à notre époque, la vision monopole du groupe Hersant était dénoncée : bcp plus forte concentrataion actuellement, bafouant les ordonnances de 44 édictées par les résistants au sortir de la guerre : consensuel médiatique étouffant
- nouvelle conception de la liberté d'expression : les propos d'un humoriste sont pris comme tels et non pas comme celui du personnage incarné : Timsit, Dieudonné, etc ... Le prochain qui incarne un personnage nazi, chaud pour lui, licenciements de Siné, de Guillon, de Portes par .... Philippe Val,

drole d'évolution

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réponse n°262486
Peio64 a écrit :

- C'était toujours la guerre dite "froide" avec la menace très présente de se prendre d'un jour à l'autre des mégatonnes sur la tronche;
- C'est le premier choc pétrolier (1973) avec des conséquences économiques d'autant plus importantes qu'il n'était pas prévu (vers 1980 le chômage est à plus de 10% en moyenne, aussi bien en Europe qu'aux USA. L'inflation galope, les faillites se multiplient);
- Le terrorisme est déjà bien présent (prise d'otages à Vienne, bande à Baader etc.);
- En 1975, les Khmers rouges entrent à Phnom-Penh;
- C'est la guerre de Chypre entre deux membres de l'Otan (1974);
- C'est la déconfiture américaine au Vietnam avec les boat-people pour conséquence. A ce sujet et en rapport avec e fil, il est peut-être bon de rappeler que la France se montre capable à cette époque de recueillir 120 000 réfugiés asiatiques. Faut dire que dans leur grande majorité, ils ne sont pas de culture musulmane...

Peio
Haize Egoa
_

  Bref j'en conclu que depuis tes 27 ans t a pas pu dormir en paix, tenaillé que tu était par les soucis du monde  

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réponse n°262488
Pierreled a écrit :
Peio64 a écrit :

- C'était toujours la guerre dite "froide" avec la menace très présente de se prendre d'un jour à l'autre des mégatonnes sur la tronche;
- C'est le premier choc pétrolier (1973) avec des conséquences économiques d'autant plus importantes qu'il n'était pas prévu (vers 1980 le chômage est à plus de 10% en moyenne, aussi bien en Europe qu'aux USA. L'inflation galope, les faillites se multiplient);
- Le terrorisme est déjà bien présent (prise d'otages à Vienne, bande à Baader etc.);
- En 1975, les Khmers rouges entrent à Phnom-Penh;
- C'est la guerre de Chypre entre deux membres de l'Otan (1974);
- C'est la déconfiture américaine au Vietnam avec les boat-people pour conséquence. A ce sujet et en rapport avec e fil, il est peut-être bon de rappeler que la France se montre capable à cette époque de recueillir 120 000 réfugiés asiatiques. Faut dire que dans leur grande majorité, ils ne sont pas de culture musulmane...

Peio
Haize Egoa
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  Bref j'en conclu que depuis tes 27 ans t a pas pu dormir en paix, tenaillé que tu était par les soucis du monde  

 
Simplement, disons que les fameuses "trente glorieuses" n'ont pas été si "glorieuses" que ça, au moins sur certains plans et que présenter ces années (et celles qui ont immédiatement suivi) comme un monde de paix et d'harmonie où il faisait bon vivre me semble un tantinet fallacieux
Finalement, nous avons depuis deux décennies les avantages des inconvénients alors qu'auparavant, nous avions les inconvénients des avantages Sourire

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réponse n°262489
Germain a écrit :
Situation économique, situation politique, ok.
Les changements qui m'etonnent :
- le rapport à la vie : malaises, suicides en augmentation (chez les jeunes !!!), qui alimente aussi kamikze et départ en syrie ?
- réponse aux événements qui ne semble QUE sécuritaire
- à notre époque, la vision monopole du groupe Hersant était dénoncée : bcp plus forte concentrataion actuellement, bafouant les ordonnances de 44 édictées par les résistants au sortir de la guerre : consensuel médiatique étouffant
- nouvelle conception de la liberté d'expression : les propos d'un humoriste sont pris comme tels et non pas comme celui du personnage incarné : Timsit, Dieudonné, etc ... Le prochain qui incarne un personnage nazi, chaud pour lui, licenciements de Siné, de Guillon, de Portes par .... Philippe Val,

drole d'évolution

 
Voui... Il ne faut pas oublier que ce n'est que depuis 1982 (merci Mitterand) que nous avons des chaînes de télé et de radio autres que celles contrôlées directement par le pouvoir en place.
N'oublions pas non plus la censure qui frappait régulièrement la presse écrite (interdiction de Hara Kiri Hebdo en 1970, par exemple, pour cause de Une irrévérentieuse).
Si l'on parle des "trente glorieuses" en termes de libertés publiques et non plus de boom économique, alors je pense qu'il faut réduire considérablement leur nombre. Elles s'arrêtent dans ce cas pour moi au début de la guerre du Vietnam. Pardon, faites excuses : "au début des opérations de maintien de l'ordre au Vietnam". Ce n'est que longtemps après qu'on a pu utiliser le terme "guerre". Tout comme pour l'Algérie, du reste.

PS : pour ce qui est des suicides en augmentation, à quand remonte une statistique fiable et classifiée par tranches d'âges, professions etc. ?
Ca me rappelle les cancers, eux aussi "en augmentation". Il faut prendre en compte qu'on en diagnostique beaucoup plus et beaucoup plus précocément qu'auparavant. On vit beaucoup plus vieux, aussi.
Je suis assez vieux pour avoir entendu dire qu'un voisin était "mort de consomption" Sourire

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réponse n°262512

Coucou,

Il y a dérive, peut-être faudrait-il penser à abattre.

Stéphanie

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Iblis a écrit :
Coucou,

Il y a dérive, peut-être faudrait-il penser à abattre.

Stéphanie

 

Ou virer de bord.

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réponse n°262516

Pour en revenir au sujet, voici ce que je lis ce matin sur la page Facebook d'une bénévole présente à Leros (pas le temps ni le courage de traduire, désolé) :

"26.11.2015 - Lakki - Leros

Last night a huge storm hit the island of Leros, hours of torrential rain, extremely high winds and lightning strikes lasted long in to the night. Under normal circumstances I would have felt in awe of such a powerful and natural force, maybe stayed up to watch it through my bedroom window and then eventually fallen asleep.

However, last night I lay in my bed and cried. I cried for the refugees that we all knew were stranded on the military island of Farmakonisi. Approximately 160 people, including many young children, exposed to the elements and deprived of food, water, warmth and light. It was impossible to sleep and it turned out that I wasn't alone, with many of the volunteers expressing the same anguish at knowing that refugees were so close to safety and warmth yet out of our reach.

The situation on Leros is very unique in that the refugees first come ashore on to the military island of Farmakonisi, often in boats that have deflated and sunk. They are wet, cold and exhausted following their journey across the sea from Turkey and some have injuries from scrambling over jagged rocks to safety. There are no volunteers allowed on to this military island to receive and support the refugees and we are hearing regular reports that although much needed assistance is given by the military to rescue the refugees from the sea, follow up support is minimal.

The logistics of transporting the refugees from Farmakonisi to Leros is not straightforward either. There is currently a mechanical problem with one of the coastguard boats and so there is only one smaller coastguard boat available to make the journey. We have heard that this boat works to rescue refugees on other nearby islands too and is currently only able to bring refugees to Leros during the night. Due to it being a military island, there are restrictions that limit the use of any other rescue boats to make rescue journeys and as a result some refugees find themselves stranded there for many days.

This has been the case this week - and bad weather over the last 24 hours has further hampered the already limited ability to bring the weak and vulnerable refugees to safety on Leros. It is a truly heartbreaking situation and one that many many people feel needs to be addressed. As the season changes and the conditions at sea deteriorate it appears vitally important that additional ways are found to bring the refugees across to Leros as quickly as possible. And as well, for emergency supplies of food and shelter to be consistently supplied to the ones who remain stranded on Farmakonisi for whatever reason.

With only one boat of refugees being brought on to Leros during the early hours of this morning, this gave volunteers unexpected time to continue with improving and developing the camp facilities. It also gave some of the volunteers time to spend with the refugees already in camp, getting to know them a little better and listening to the stories they have to tell of the tragic situations they have left behind them.

When I was last here in October there were very limited opportunities to do the above! It has been incredibly rewarding to work alongside the many wonderful volunteers here. So many positive steps are being taken every day to ensure the refugees receive the best support and care that can be offered.

There are great friendships being formed amongst the volunteers and refugees and even though we know that we may never again see the refugees we meet here during our time volunteering, we all know that they will remain in our hearts forever."

Je rappelle qu'on peut toujours aider avec quelques sous à ce qu'il faut bien qualifier de "sauvetage".

Peio
Haize Egoa

Anonyme (non vérifié)
réponse n°262536
Peio64 a écrit :
Pour en revenir au sujet, voici ce que je lis ce matin sur la page Facebook d'une bénévole présente à Leros (pas le temps ni le courage de traduire, désolé) :
.../...
Je rappelle qu'on peut toujours aider avec quelques sous à ce qu'il faut bien qualifier de "sauvetage".

Peio
Haize Egoa

 

Google translate est mon ami !!
"La nuit dernière, une énorme tempête a frappé l'île de Leros, des heures de pluies torrentielles, vents extrêmement violents et la foudre a duré longtemps dans la nuit. Dans des circonstances normales, je me serais sentie dans la crainte d'une telle puissance naturelle, je suis resté à la regarder à travers la fenêtre de ma chambre et puis, de sommeil, je me suis mise dans mon lit et je pleurais. Je pleurais pour les réfugiés que nous savions tous bloqués sur l'île militaire de Farmakonisi. Environ 160 personnes, dont beaucoup de jeunes enfants, exposés aux éléments et privés de nourriture, d'eau, de la chaleur et de la lumière. Il était impossible de dormir et je ne suis pas la seule, avec un grand nombre de bénévoles à exprimer la même honte sachant que les réfugiés étaient pourtant si proche de la sécurité et de la chaleur mais hors de notre portée.

La situation sur Leros est très unique en ce que les réfugiés viennent d'abord à terre sur l'île militaire de Farmakonisi, souvent dans des bateaux dégonflés et irrécupérables. Ils sont mouillés, ont froid et sont épuisés après leur voyage à travers la mer depuis la Turquie et certains ont des blessures faites sur les rochers. Il n'y a pas de volontaires autorisés sur cette île militaire pour recevoir et soutenir les réfugiés et nous entendons des rapports réguliers que, bien que l'aide nécessaire est donnée par l'armée pour secourir les réfugiés de la mer, le soutien est minime.

La logistique de transport des réfugiés de Farmakonisi à Leros n'est pas simple non plus. Il y a actuellement un problème mécanique avec l'un des bateaux de la garde côtière et donc il n'y a qu'un seul petit bateau de la garde côtière disponible pour faire le voyage. Nous avons entendu dire que ce bateau a trop fonctionné pour secourir les réfugiés sur d'autres îles voisines et est actuellement seulement en mesure d'apporter secours aux réfugiés de Leros pendant la nuit. Parce qu'elle est une île militaire, il existe des restrictions qui limitent l'utilisation de tous les autres bateaux de sauvetage de faire des voyages de sauvetage et en conséquence, certains réfugiés se retrouvent bloqués là pendant plusieurs jours.

Cela a été le cas cette semaine - et le mauvais temps au cours des dernières 24 heures a en outre entravé la capacité déjà limitée pour amener les réfugiés faibles et vulnérables en sécurité sur Leros. C'est une situation tellement déchirante  que beaucoup de gens sont interpellés. Comme les changements de saison et les conditions en mer se détériorent, il semble extrêmement important que des moyens supplémentaires soient trouvés pour amener les réfugiés à travers à Leros aussi rapidement que possible. Aussi bien pour les fournitures urgente de nourriture qui doivent être systématiquement fournie à ceux qui restent bloqués sur Farmakonisi pour une raison quelconque.

Avec un seul bateau de réfugiés amenés à Leros ce matin, cela a laissé du temps aux bénévoles pour améliorer les installations du camp. Cela a également permis à quelques bénévoles de passer du temps avec les réfugiés déjà présnets dans le camp, d'apprendre à les connaître un peu mieux et d'écouter les histoires qu'ils ont à raconter de ces situations tragiques qu'ils ont laissés derrière eux. Lors de ma dernière présence en Octobre, il n'y avait très peu de possibilités de faire ainsi Il a été incroyablement gratifiant de travailler aux côtés des nombreux et merveilleux  bénévoles ici. Donc, de nombreuses mesures positives sont prises chaque jour pour assurer les réfugiés qui reçoivent le meilleur soutien et les soins qui peuvent être offerts. De grandes amitiés se forment entre les volontaires et les réfugiés, et même si nous savons que nous ne pourrons jamais revoir les réfugiés que nous rencontrons ici au cours de notre  bénévolat, nous savons tous qu'ils resteront dans nos coeurs pour toujours "

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Merci, Germain.

Peio
Haize Egoa

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